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Des cavalier(e)s de dressage ?
Posté le 29/05/2014 à 01h06
Oui, le caveçon à ferraille, c'est sévère, c'est certain. Après... Bah autant c'est précis, autant c'est beaucoup plus dans les variations de contact et le mouvement du corps (et la gestion de tracé, pour certains exos) qu'on agit. J'ai pas énormément de contact sur le caveçon en phase de détente et beaucoup plus présente en phase de travail.
Pour les LR, je cherche un prof, mais j'y connais pas grand chose, mis à part le 8 de chiffre... Donc euh.
Mais ouais. Ramener les épaules devant les hanches, transitions, transitions dans l'allure, épaule en-dedans avec gris. (Donc on commence à rassembler tout doucement). Et transition galop trot et galop-pas (et trot galop et pas galop), en tentative de résolution des soucis de galop à droite.
Et avec Quinta, tentative de stretching, épaule en-dedans, déplacement des hanches et début d'un certain soutien de l'avant-main. Et transitions de base, équilibre sur le cercle.
C'est du boulot 'basique', l'Etoile est loin devant. Mais pour les miens, ça fait son office.
Par contre, je longe pas beaucoup en cercle pour la pie. Et gris, ça dépend. Chez prof en cercle, à la maison on alterne et on varie pas mal.
Edit : A propos de la main impulsive
"Ainsi, la main qui est stable vis à vis de la bouche mais jamais dure ou bloquée arrivera à canaliser l'impulsion sans jamais la contrarier. Elle permet la fluidité des mouvements grâce au bon fonctionnement du dos. Elle peut même utiliser l'envie du cheval d'avancer plus en lui laissant croire qu'il va pouvoir s'appuyer sur la main : on 'freine' un peu, en augmentant le contact sans durcir les doigts ; le cheval qui a de l'énergie tend un peu plus ses rênes, on laisse passer, et il s'active un peu plus ; alors on redonne du contact sur les rênes, et de nouveau le cheval veut les tendre un peu plus, et on redonne l'autorisation de plus pousse et fonctionner en ouvrant les doigts ; et on recommence. C'est, avec un cheval généreux, la main 'impulsive', si bien utilisée par les jockeys de galop, mais qui existe aussi dans toutes les utilisations du cheval. S'inspirant du principe action-réaction, elle a cependant tendance à faire tirer les chevaux et est donc réservée à des mains expertes.
Elle est à exclure totalement avec les jeunes chevaux, puisqu'il faut d'abord qu'ils apprennent à se porter en avant, ensuite à accepter le contrôle par l'intermédiaire du mors. C'est pourquoi le jeune cheval doit d'abord pouvoir travailler sur des rênes semi-longues et pas vraiment ajustées. C'est seulement lorsque cette étape est acquise que le contact se transforme pour aller jusqu'à la mise sur la main."
Le cheval juste, B. Maurel.
Yaya, ça rejoint le vocable de ton coach ? (Ca me perturbe, puis je suis tombée dessus hier, donc je partage.)