@regiscorrs question con mais ca doit etre mega galere de faire et graisser les pieds a l'aveugle ?
suis emue de savoir que c'etait les dernieres avec poney paulux, mais c'est super interessant et challengeant les essais de chevaux, le cookai a l'air ultra fin a monter , que de reglages ! nero c'est une experience, peut etre pourras tu y revenir dans un second temps ou de temps en temps ?
Pour les sabots, j’avais galéré un peu les premières fois au début pour reprendre les marques, m’curer les pieds ne me pose pas le moindre souci, même l’autre jour quand j’ai aidé une des filles dont le cheval a des Duplo (?) que je ne connaissais pas du tout. Pour graisser les pieds, une fois bien nettoyée je fais la partie inférieure et le bas de la paroi puis je laisse poser le pied, je fais les trois quarts de la paroi au pinceau facilement et je fais des mouvements du bas vers le haut tout le tour Pour ne pas mettre de graisse sur le poêle… Et encore, avec la Grèce blonde ça ne craint pas grand-chose, mais pour le goudron je suis d’autant plus concentré, pour ne pas finir avec un cheval au pied-noir et ne pas finir noir moi-même…
Et, oui, mon partenariat avec Paulux touche à sa fin, je garde le principe de la DP jusqu’au 15 octobre sa retraite définitive, pour faire mes petites séances solo des mercredi, là c’est plus moi qui me fatigue et qui fait mes étirements quand lui ne force pas énormément, et les vendredis on fait donc les essais de nouveaux partenaires.
Pour Nero, si moi j’affine et je stabilise encore certaines choses et que lui prend un peu plus de métier, je pense qu’il sera envisageable de réessayer.
Avec Cookaï, il y aura besoin de quelques séances pour nous adapter l’un à l’autre, sur le moment ça m’a beaucoup changé, mais dans mon ressenti je n’y vois rien d’impossible.
Vendredi, on va voir ce que ça peut donner avec Hatos, un Haflinger dont plusieurs cavalières au club ont l’air de penser que ça pourrait bien matcher pour moi, verdict dans quelques jours.
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Sinon, après cet essai un peu « particulier » avec Nero, quelques heures au club samedi avec pique-nique sur place sous le seul rayon de soleil depuis un certain temps, ça nous a fait le plus grand bien.
Puis, dimanche et lundi, petit stage orienter dressage avec Myriam Duvochel, avec mon pauvre papy qui a dû m’accompagner une heure chaque jour, et nous avons bien transpiré malgré un maximum de 18°C et de la pluie presque toute la journée les deux jours, vive le grand manège !
Vu les résultats de mes tests de nouveaux chevaux, on s’est surtout concentré sur le bonhomme, stabilité, décontraction, précision etc.
On a surtout été très attentif à l’(in)constance de ma tension de rênes, de notre équilibre latéral à tous les deux ; le dimanche, je ne sais pas combien d’aspirine j’ai pris : je n’ai pas compté le nombre de tours que j’ai pu faire en épaule en dedans, que j’ai finalement réussi à faire sans nous mettre dans le pare bottes et 100 quitter la piste pour autant, au pas et au trot, il faudra voir si on arrive à reproduire ça…
On a fini sur des cessions, où elle m’a applaudit parce qu’il y a eu vraiment une très grosse amélioration depuis le dernier stage d’avril ou mai, alors que j’en ai finalement fait assez peu depuis.
Le lundi, petite mise en route et quelques épaules dedans, puis elle avait l’air « frustrée » de ne pas m’avoir fait galoper la veille…
On a commencé par pas mal de travail de rassembler, au pas et au trot, Des transitions à gogo entre pas trot et arrêt.
Puis : « tu pars au galop du pas ? »
Oh oui, quand j’ai déroulé quelques fois la reprise Club 2 Grand prix, ça n’a pas été un sujet.
Et là, je me dis qu’il faut que je les ai du premier coup, et j’en fais un à chaque main sans souci. Du coup, on essaye d’aborder la transition inverse Galopp pas. On avait abordé un peu ça il y a quelques temps en cours, à partir du carré. Là, on est passé par des voltes de plus en plus petite. On aura pas fait mieux qu’avec un quart de foulée de trot, moi je commençais à être un peu cuit et je pense que je manquais un peu d’abdos à ce moment-là…
Encore un bien bon stage si on oublie la météo, il n’y a plus qu’à trouver le bon partenaire pour reprendre le travail ! Affaire à suivre…