| | | elfik a écrit le 12/04/2012 à 18h07: | 
 |  |  | | Sérieusement, frison, le règlement est ce qu'il est, je suis d'accord. Maintenant, est-ce pour autant qu'il est bon? moi je pense que non. Voilà, c'est tout, c'est dit.
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Et bien écrit à la FEI ainsi qu'à la FFE qu'est ce que tu veux que je te dise? ce n'est pas moi qui fait le règlement, moi je l'applique en tant qu'entraîneur, juge et cavalière.
| | | elfik a écrit le 12/04/2012 à 18h07: | 
 |  |  | | Le jour où je sortirai en concours, tant pis si le jury me vire, mais si sur le moment, pour une raison x ou y (on n'est jamais sûr de son cheval à 100%, ça reste un animal aux réactions imprévisibles, quelle que soit sa prétendue "soumission"), j'aurai recours à la voix. La compétition ne doit pas se faire au détriment du cheval comme c'est trop souvent le cas. Ca reste un sport qui implique un animal, pas des robots. Or le règlement fait tout pour que ce soit robotisé.
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La violence peut éliminer un cavalier pas une simple intervention. On n'est viré pas pour avoir parlé à son cheval on a, en fonction de l'intervention et de la situation éventuellement des pénalités. Ce que tu décris là est une évidence comme l'eau ça mouille et le feu ça brûle. Tout n'est pas blanc tout n'est pas noir. Bien sûr que le jury tolère de rassurer un cheval qui peut prendre peur sur un rectangle 
 
  
C'est pas ça le sujet, on parle de se servir de la voix pour réaliser un exercice technique (une transition, un changement de pied, que des appels de langue ou des ordres vocaux répétés font carrément le travail que ne font pas l'assiette, les jambes ou qu'un cheval ne respecte clairement pas car sont dressage est insuffisant etc...) ça n'a rien à voir 

  on ne parle pas de la même chose....
| | | elfik a écrit le 12/04/2012 à 18h07: | 
 |  |  | | Il y a un fossé entre le bel idéal posé par le règlement et la réalité que l'on peut constater n'importe quel dimanche, au bord d'une carrière...
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ce n'est pas un idéal, c'est, pour d'une part mettre tout le monde sur le même pied d'égalité et permettre d'affiner les aides sensitives afin que justement il n'y ai que de la communication qu'entre le cavalier et le cheval. Tolérer les aides vocales, reviendrait à encourager les aides extérieures, qu'il serait alors bien difficile de dissocier des aides vocales du cavalier, je peux t'assurer (en tant que juge) que nous avons autrechose à faire sur les rectangles que de faire la police avec ce genre de litiges ingérables.
Ensuite c'est bien là tout le travail des entraîneurs et des juges chaque week end que de diriger les cavaliers (des plus petits niveaux) vers l'équitation telle est réglementée en compétition pour progresser dans le circuit.
Mais bon en France, les mentalités sont spéciales de toute façon...le français critique tout, râle tout le temps, il veut entrer dans un circuit avec ses règles, il veut absolument faire de travers quand la route est droite, il veut absolument toujours tout contester, il n'y a que lui qui fait bien et j'en passe...le résultat on le voit sur la scène internationale, le français à du mal à percer, mais bon d'après lui c'est pas à cause de sa mentalité...bein non évidemment 

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