astorio a écrit le 08/08/2012 à 13h39: |
|  |
+ 10000
Ne pas galoper en montée parce que ça fatigue, pourquoi pas. Rester au pas en descente, oui, pourquoi pas.
Mais vous connaissez vraiment des terrains plats ? Même moi qui habite dans le plat pays, mon terrain de balade comporte beaucoup de pente douce mais longue. Donc, suivant vos conseils, je devrais faire uniquement des balades au pas.
Puis même, ils font comment en cross, ils repassent au pas à chaque dénivelé ? Cette année au JO, on aurait du faire le parcours au pas, voir même à pied tellement le terrain contenait de bosse. Et j'avais pas l'impression que les chevaux souffraient autant que ça. Ce sont des athlètes, c'est dur physiquement, mais c'est normal. |
|
|
Euh je veut pas foutre la mer**, mais au cross, vous les appelez comment les chevaux qui meurent et qui sont mals en point? des dommages collateraux?
Et ces chevaux là, quand ils terminent leur carrière et qu'on les refourgues, lorsqu'ils marchent ça craque de partout, ça tire... et j'en passe.
Alors après il y 'a aussi l'obstacle qui abime, bien sur, mais galoper nimporte comment nimporte ou, ben y'a pas a dire, mais ça n'arrange pas un cheval.
Honnetement ça me choque de voir ce qu'on peut faire faire aux chevaux sur certains cross. Ils sont tous capable de descendre une pente plein cul ou de la monter, après, c'est dans ces moments là je trouve que l'on peut aprecier la consideration du cavalier pour son cheval. Et au cross, je trouve qu'il y a un manque de consideration pour ces cas là ou les cotes sont prises " à la barbare ".
Après c'est mon avis, chacun a le sien, mais qu'on ne vienne pas dire que les chevaux ne souffrent pas. Car en fin de vie, ces chevaux là, ils morflent.
Ensuite je suis d'accord qu'aucun terrain n'est vraiment plat. Ma jument s'en donne à coeur joie dans les montées ou pentes douces. Dans les trop grosses, on ralenti l'allure, et elle en est pas plus malheureuse.