Bonjour :).
Merci pour cette longue explication, qui a le mérite d'éclairer les choses.
Personnellement, je suis un simple amateur peu éclairé. Je sais juste une partie de ce que je veux et ce que je ne veux pas. Mais pour moi.
Je respecte les méthodes de chacun, bien qu'elles puissent me choquer. Je ne trouve effectivement pas ça normal.
Maintenant, compte tenu du fait que vous êtes éleveur, je comprends bien que les nécessités sportives et économiques vous fassent choisir de telles techniques.
Personnellement, je désapprouve, ce dont vous vous fichez bien et vous avez raison !
Si je vois le côté positif de la chose, c'est qu'au moins, en suivant le parcours de ces poulains, nous pourrons espérer savoir si cette expérience est, si pas concluante, au moins bénéfique.
Je retiendrai donc ce paragraphe d'explication. (Mais je refuse d'entrer dans le débat cheval de sport-cheval de loisir qui, pour moi, est le reflet d'une simple nécessité économique et non pas un choix optimal.)
neyrat a écrit le 11/11/2012 à 08h49: |
| | Il s'agit donc désormais de poursuivre ce travail d'éleveur après le sevrage de manière réfléchie afin que s'exprime pleinement à l'âge adulte leur potentiel génétique d'athlète de haut niveau. L'expérience montre que le facteur limitant de la performance sportive est la douleur ostéo-articulaire. Le but de l'éleveur est donc d'optimiser la qualité des os et des articulations pour le jeune cheval puis le cheval adulte soit confortable lors de l'acomplissement de son futur métier de sportif. Ce confort lui permettra de pleinement collaborer avec son cavalier d'où un apprentissage positif et rapide sans violence ni surchage de travail. |
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Enfin, je le redis, merci de cette explication qui ouvre des perspectives que je, personnellement, n'avais pas considéré.