La légèreté... mais de quoi?

legerté d'un cheval qui n'est pas contraint de force a se soumettre a qlq chose, mais qui le fais ac bonheur... il n'essaye pas d'aller ds la direction opposé que celle dont lui demande son cavalier....
le cheval est léger ds ses allures lorqu'il est en mouvement avec une bonne propulsion des postérieurs...pas comme un cheval qui n'a pas envie de travailler et "trainent les pieds..."
lergerté ds les gestes... un cavalier ne doit pas arracher la bouche d'un cheval, ni lui planter un éperon ds une côte pr lui demander qlq chose...

la legerté du cheval et du cavalier se fait seulement lorque les deux sont en osmose totale....

Pour moi, je dirais des actions douces, des mains qui bougent pas, et un cheval qui machouille son mors à une allure régulière, avec un contact super léger .

on dit que le cheval est léger quand il a une bonne impulsion et qu'il s'équilibre lui-même, avec un cavalier qui se contente d'aides presque invisibles, de quelques grammes de tension sur les rênes.

Attention, je ne parle pas de "cheval léger " mais d'équitation de légèreté.

Il s'agit donc plus du cavalier que du cheval.

moments trop rares et de réelle harmonie ...
où tu as l'impression comme une evidence que ton cheval a toujours été fait pour te porter et toi pour être dessus ...

c'est en partie çà la légèreté ...

eh bien si tu parles d'équitation de légèreté du point de vue du cavalier je dirais que c'est un cavalier qui sait ne pas gêner son cheval, et qui lui donne les indications les plus précises possibles avec des actions les plus fines possibles: par exemple que le cavalier ait juste à serrer à peine les doigts sur les rênes pour que le cheval s'arrête.
surtout aussi un cavalier léger, selon moi, cède dans ses aides dès que le cheval donne un début de réponse à sa demande. donc par exemple quand tu serres les doigts sur les rênes pour arrêter ton cheval, d'une tu ne fais jamais de tension continue, et de deux tu relâches dès que le cheval est arrêté.

vanrhijn62 a écrit le 22/11/2008 à 20h54: eh bien si tu parles d'équitation de légèreté du point de vue du cavalier je dirais que c'est un cavalier qui sait ne pas gêner son cheval, et qui lui donne les indications les plus précises possibles avec des actions les plus fines possibles: par exemple que le cavalier ait juste à serrer à peine les doigts sur les rênes pour que le cheval s'arrête. surtout aussi un cavalier léger, selon moi, cède dans ses aides dès que le cheval donne un début de réponse à sa demande. donc par exemple quand tu serres les doigts sur les rênes pour arrêter ton cheval, d'une tu ne fais jamais de tension continue, et de deux tu relâches dès que le cheval est arrêté.

On est d'accord que la légèreté ne s'invente pas alors, c'est une technique?

effectivement je pense que ça se travaille, autant pour le cavalier que pour le cheval.
en effet tu ne vas pas demander d'être léger dans ses aides à un cavalier complètement débutant (quoique ce serait l'idéal d'apprendre tout de suite à monter en légèreté, mais en général la première fois que tu poses tes fesses sur un cheval on te dit coup de talons pour avancer, etc...), et le cavalier ne peut pas être léger sur un cheval qui ne répond pas à la jambe par exemple.

vanrhijn62 a écrit le 22/11/2008 à 21h44: effectivement je pense que ça se travaille, autant pour le cavalier que pour le cheval. en effet tu ne vas pas demander d'être léger dans ses aides à un cavalier complètement débutant (quoique ce serait l'idéal d'apprendre tout de suite à monter en légèreté, mais en général la première fois que tu poses tes fesses sur un cheval on te dit coup de talons pour avancer, etc...), et le cavalier ne peut pas être léger sur un cheval qui ne répond pas à la jambe par exemple.

J'aime bien ton analyse, je la trouve trés juste, c'est précisément ce qui différencie une méthode de l'autre.

Arriver aux airs les plus rassemblés avec les aides les plus discrètes possible, de façon à ce que l'on ne voit plus rien du cavalier, sans géner le cheval.
C'est réellement une histoire de COUPLE.

Cela passe par quelques règles de bases et indiscutables qui se doivent d'être appliquées avec une grande discipline et beaucoup de patience.

BA monter avec légerté c'est déja quand on est au tro ne pas retombé lourdement sur la selle et avoir la main douce.

A tort ou a raison, je pars du principe que le cheval QUI VA CHERCHER la main, sur des ACTIONS DE JAMBES de son cavalier, est un cheval qui s'APPUIE et donc qui TIRE...

Pour moi, la légèreté est, avant tout, une affaire d'EQUILIBRE...
Equilibre du cheval qui se tient pratiquement SEUL, sans l'aide de la main, et c'est LE CAVALIER qui va chercher la bouche du cheval avec une main VIVANTE, laquelle main va INSTANTANEMENT rechercher la mobilité de la machoire et veiller a ce que le cheval ne S'APPUIE PAS...
C'est a ce moment précis, sur un cheval équilibré, que les JAMBES du cavalier entrent en actions par touches LEGERES et SUCCESSIVES demandant l'avancée des POSTERIEURS sous la masse..

Et c'est là, pour moi, seulement a ce moment, que nous touchons a la LEGERETE... combinaison de la main qui "GARDE" (sans TENIR) l'équilibre du BOUT DE DEVANT... et des jambes NON PLAQUEES qui entretiennent l'impulsion par EN DESSOUS...

LA LEGERETE ?? Au départ, un cheval qui se "TIENT SEUL" (donc relevé du devant)...Une main "VIVANTE" qui ceuille une bouche qui ne "s'APPUIE PAS'... et des jambes qui "ENGAGENT" (donc abaissement des hanches)

la legerete de l'ensemble,pour le cheval c'est une legerete de bouche une legerete a la comprehension des aides donc un affinage des des aides allant jusqu'a l'invisibilite donc equitation superieur,la legerete de l'equilibre donc un cheval qui auras cette extreme facilite au transfert de poid.pour le cavalier,c'est celui qui vas savoir ce faire oublier en ayant des actions des plus discretes de sorte que tu ne puisse voir ni comprendre

Abaissement des hanches. Sur des menbres fléchit (GRASSET et jarret) le grasset correspond a notre genou. on imagine pas un athlétes humain ne pas plier les genoux, il en est de même pour les Chevaux.
Les actions discréte sont trjs visibles car elles résulte en general des action de parrallélisme entre le cavalier et sont Cheval. Le cavaliers anticipe sur son Cheval et fait dans son corp ce qu'il va demander a son partenair équestre. si ces action sont invisibles, c'est qu'en général elle n'existe pas et que le cavalier monte sans le poids du corps...

Daccord avec Soffad a 100 %