|  |
Ton avis m'intéresse, car du fait de leur morphologie et de l'attache de leur encolure, je pensais que la mise en place (placé haut et pas de bout du nez qui sort, pas même un millimètre) était plus difficile avec les chevaux ayant un apport de sang arabe ou ayant les caractéristiques de ces chevaux là car j'ai vu quelquefois des PSA ou DSA et à dire vrai, leur placé n'était pas des plus irréprochables, je les trouve beaucoup mieux un peu plus bas. Qu'en penses-tu ? |
|
|
Il y a pas mal de type d'arabes... Les gens s'imaginent que tous les arabes sont typés comme des arabes de show, c'est loin d'être le cas!
Je n'ai pas de photo de mes chevaux sur le plat, hormis celle-ci avec ma fille (G3)
Edit : qui n'a pas encore appris à placer un cheval... J'ai pris cette photo parce que c'est la seule où l'un de mes PSA est dans une attitude qui s'approche un peu du sens dans lequel j'essaie de les avoir sur le plat.
Pour ce qui est de nos chevaux d'endurance, nous, on les travaille ronds et bas. Parce que c'est ce qui nous intéresse pour notre discipline. Un cheval haut-perché, c'est un cheval qui risque de creuser le dos. Sur de la distance, un cheval à l'envers, c'est multiplier la fatigue et les risques de boiteries. On a besoin de chevaux qui tendent le dos pour un engagement maximal des postérieurs.
En préparant mes premiers jeunes chevaux en endurance, j'ai grandement apprécié mon passé de travailleuse de plat. Les jeunes (et les moins jeunes), je les bosse comme je bossais mon ancien cheval de dressage : je suis une inconditionnelle du cercle et du huit de chiffre, de l'incurvation et de la contre-incurvation. Après, peut-être que je me ferais flinguer par les juges du rectangle (probablement, d'ailleurs), mais j'obtiens des chevaux suffisamment ronds, bas et au contact très léger dans l'optique de la façon dont je monte en endurance.