Le post des supers mamans de ca...

neonetmath baby arrive bientôt ?? :)
J'ai hâte de lire son arrivée.

Je râle parce que je suis dans l'embarras qqes tps avec l'opération, les modes de garde et France Travail mais j'ai la chance de pouvoir trouver du taf en 10 jours sans souci. Je suis diplômée en transport et logistique, avec expérience et en plus une expérience en relation client : ça ne sera pas une galère de trouver.



Et pour répondre oui ma conseillère est une vieille pie qui voulait me convoquer la durant mon arrêt. Elle avait même les 3 offres à me soumettre la bourrique. Elle sait que je suis au chômage parce que ça m'arrange la, elle n'est pas con. Bien sûr que j'aurai pu bosser de janvier à mars mais c'est hyper désagréable vis a vis des employeurs car avec la préparation de l'opération j'avais des rdv toutes les semaines. J'aurai eu trop d'absence.

melye
J'avais lu ton message sur le forum adultes, je suis tellement désolée de lire dans quelle situation tu es, ainsi que ton conjoint, et j'espère vraiment que cet arrêt pourra se prolonger et te permettre de sortir la tête de l'eau.

lololabiscotte
L'équilibre pro/perso c'est un peu le problème de ma vie. J'ai toujours été "précaire" dans le sens où je n'ai pas la sécurité de l'emploi et que jamais je n'ai le sentiment que je peux me permettre de refuser une mission. Pourtant ça fait plusieurs années que ma situation pro est plutôt stable et satisfaisante ! Mais je suis dans un milieu hyper concurrentiel et j'ai fini par décider de bifurquer un peu pour être plus sereine niveau charge de boulot "garantie".
Mon souci c'est que je ne sais pas m'arrêter, si j'ai pas de boulot je stresse immédiatement, donc je fais en sorte de toujours avoir un peu de visibilité, mais ca fait que je ne fais pas de pauses...

Et là ça devient un gros dilemme avec les deux enfants, la maison en travaux, celle à rénover/louer à côté de chez nous... D'autant que le hasard a fait qu'on m'a proposé une traduction (littéraire) pendant mon congé maladie/maternité (le truc dont j'ai rêvé des années avant de faire autre chose), j'ai pas pu refuser. Donc j'ai bossé pendant mon congé. Et puis on m'en a proposé une autre après mon accouchement. J'ai négocié un long délai mais j'ai pas pu refuser encore. Ça a été pire que chaud étant donné qu'en janvier j'ai repris en parallèle mon "vrai" boulot, à mi-temps. Une fois le texte rendu, avec mon conjoint on s'est bien mis d'accord sur le fait que là, stop, au moins pour quelque temps, mais il sait que dans un monde idéal j'aimerais pouvoir cumuler correction et traduction (genre une par an quoi). À qui on a proposé une traduction hier ? Je ne sais pas encore ce que je vais faire, d'un côté renouer avec mon métier d'origine me plaît, et puis gagner des sous aussi on va pas se mentir, mais je n'arrive pas à déterminer si je suis plus utile en gagnant de l'argent ou en étant disponible, pour les travaux notamment.

Mais pour te dire à quel point je suis une catastrophe et la pire des patronnes avec moi-même : vendredi dernier, j'apprends le décès de ma grand-mère à midi. Je sais que les jours suivants s'annoncent durs, moralement et physiquement car je vais devoir faire des allers-retours etc. À 18 h je reçois un texte à traduire (petit) mais qui sort de nulle part (je n'avais pas eu de contact avec ce client depuis deux ans et on ne m'avait pas prévenue en amont qu'on aurait besoin de moi). Week-end de Pâques, j'ai pas répondu sur le coup et je ne pourrai le faire que mardi, sachant qu'ils veulent le boulot pour jeudi. J'aurais évidemment dû dire non mardi et les laisser se démerder. D'autant que le boulot en question ne m'intéresse pas et n'est même pas bien payé, et que je m'en fous de plus bosser avec ce client. Eh bien malgré tout ça, je l'ai fait. Cas désespéré, je te dis.....

lipstyxxx ça s'appelle la conscience professionnelle

lipstyxxx J'avais plus en tête que tu étais salariée à mi-temps !

Je te rejoins sur pleins d'aspect (maison/enfants/travaux/job d'indépendant). Les périodes où tu n'as pas de boulot c'est parce que tu prospectes par à coup ou tu as assez d'ancienneté pour que ça soit toujours tes clients qui te contactent ?

Je te rejoins sur le moment ou il n'y a pas de boulot = stress. Là j'ai 3 missions qui se profilent pour les 3 prochains mois (+ 1 call client pour vendredi pro mais besoin clairement établi et à la demande de la prospecte). J'ai par contre des grosses baisses de moral lié à mon job à chaque début de cycle (ou les 48h avant) ou je regarde les petites annonces . Je n'avais PAS du TOUT cette impression quand j'étais salariée ! Je ne sais pas si c'est un SPM plus carabiné en vieillissant ou vraiment lié à mon statut de freelance.

J'avoue que les missions pendant le congé maternité/la grossesse ouch ! Rien que pour la dispo psychologique.
Là Salomé a + 2 ans et je sens clairement que j'ai beaucoup beaucoup d'énergie à consacrer à mon activité et bcp de disponibilité psychologique pour créer mes templates, docs d'accompagnements et d'onboarding. Bref, c'est carré pour mes clients et je me sens d'autant plus légitime et compétentes. Il y a un an, je me centrais quasiment que sur la mission.

C'est quoi ton métier d'origine ?

Je te comprends vis à vis de la rémunération, c'est un de mes leit motiv. Je dois régulièrement me rappeler par contre que pour le nombre d'heures travaillées je gagne plutôt bien ma vie alors même que j'ai moins d'un an d'activité dans une région dans laquelle on a débarqué et donc 0 contact pro en local. Je me fixe des objectifs à 3 mois réalisables, et j'ai un plan idéaliste sur 5 ans.

Et je te comprends pour la difficulté à dire non. J'ai pris des missions qui étaient un peu éloignées de ce que je fais (mais j'avais du temps et donc je m'en suis pas trop mal sortie mais ça ne me sert pas pour mon expérience et à monter en compétences). J'essaie maintenant de vraiment démarcher dans ma cible tout en continuant à participer aux actions entrepreneuriales locales mais en présentant seulement mes compétences SEO et copywriting (de toute façon en local on me démarche surtout pour de la création de site internet, du référencement Google et épisodiquement de la stratégie de com/marketing, clairement pas pour du copywriting).
Par contre je ne dis plus oui aux trucs mal payés si la mission n'est pas intéressante. Je me dis que le temps que je passe à être mal rémunérée pourrait être employé sur de la prospection, de la formation ou pour ma boite tout simplement !


Là mon souci c'est vraiment cette frustration lié à une boite qui décolle bien (franchement les 3 prochains mois si tout se goupille bien vont être overbooké, je vais surement bosser le weekend également) et la gestion des imprévus d'enfants !
On a fait ce choix que je gère tout parce que mon conjoint ramène le salaire qui nous permet de vivre, mais ça me rend ouf en même temps. Groossse ambivalence de mère.de

Ahhhhhhhhh que ça fait du bien (et mal au Q) de remonter à cheval

Petit trotting pr recommencer ! La ponette a bcp progressé dans sa locomotion ! C'est vraiment top !

Je vais gérer les extérieurs pdt 15 jours, avant son prochain cce et ensuite on reprendra les cours !

guimsly T'as la foi de reprendre en trotting toi Moi c'est pas tellement le fessier qui douille mais l'intérieur des cuisses !

D'ailleurs hier ostéo pour moi, oh my gooood, ce fut douloureux mais tellement soulageant ! Tout était coincé là dedans, sacrum +++ (donc nerf sciatique), ça tirait sur les hanches, le psoas qui me faisait mal et qui avait pris cher bref, 45 min rien que sur la zone bassin/lombaires. Je suis sortie de là, j'avais la sensation d'être saoûle, pendant 20 min. Mais au moins je ne me sens plus comme une mamie de 80 ans qui a mal à toutes ses articulations et met 5 min pour se redresser ... 2em séance dans 15 jours pour vérifier s'il y a encore des blocages et travailler le haut du corps qu'elle n'a pas eu le temps de faire.

J'espère qu'avec ça + la kiné abdo les douleurs ligamentaires qui persistent dès que je veux accélérer le pas/courir finiront par s'estomper ... Je ne m'étonne plus d'avoir été si limitée pendant toute la grossesse quand je vois que même après, j'ai toujours mal.

lutin01
Tu n'étais pas allée voir l'ostéo avant ? Tu es bien en chantier...

Faut que j'y retourne également !




Demain, j'attaque la kiné pr mes épaules qui sont très douloureuses ... Et faut que je reprenne le vélo d'appart car mon souffle est parti en vacances

guimsly Non, j'avoue que j'aurais dû y aller plus tôt mais je repoussais toujours, entre les rdv pour bébé, les séances de rééducation pour moi j'avais pas envie de m'en rajouter. On s'accommode de la douleur mais c'est pas bien ... Et encore, là c'est mon conjoint qui m'a pris le rendez vous en mode je te laisse pas le choix t'y vas ^^

lutin01
Ah ça, je vois bien pr les (milliers de) rdv post accouchement...

C'est ce que je disais à mon ostéo l'autre fois, heureusement que mon congé mat fait 16 semaines... Il me reste 4 semaines et ça commence tout juste a se calmer (reste kiné et cardiologue)

Donc je viens de prendre rdv chez l'ostéo... Juste avant de reprendre le boulot

lololabiscotte Oui, on n'est pas exactement dans le meme cas de figure. Mon métier de base, c'est traductrice littéraire (donc des livres pour des maisons d'édition), mais c'est très dur de trouver du travail donc j'ai élargi à d'autres choses, comme la transcription en anglais et en français et la traduction non littéraire, et puis ensuite je me suis formée à la correction et j'ai eu la chance d'être embauchée dans une bonne (et grosse) maison d'édition, où je suis depuis 7 ans. Mais j'ai un statut hyper particulier : pas de salaire fixe, payée à la mission, pas d'indemnités si pas de travail à me donner. Donc une salariée indépendante quoi ! J'ai la mutuelle d'entreprise et le CE, et j'ai le droit de dire non quand on me sollicite, ça c'est pour les avantages. Et puis étant bien implantée maintenant dans mes équipes, je suis très sollicitée et pourrais cumuler deux plein-temps si je le voulais ! Mais même si le travail est extrêmement diversifié, des fois j'ai envie d'autre chose, et j'ai besoin de me rassurer je crois quant au fait qu'on me "veut" (je sais pas comment le dire ahah), donc si on me propose un truc je vais avoir du mal à dire non, même si ca me gonfle et même si ça ne m'apporte pas grand chose !

Mon rêve serait de pouvoir rester correctrice salariée et de baisser ma charge de travail une ou deux fois par an pour faire une traduction littéraire en parallèle, histoire de renouer avec mon métier d'origine.

Je ne prospecte quasiment jamais (sauf, comme toi, quand le hasard fait que j'ai trois jours sans travail et que je me mets en mode panique et regarde les annonces... Alors que de toute façon je ne peux pas faire autre chose sans arrêter un autre truc en échange, ce que je ne souhaite pas. Vive la logique ahah), ou alors en interne mais c'est différent : je bosse pour trois maisons d'édition différentes du même groupe, mais une en particulier donc quand ils ont pas grand-chose je vais frapper à une autre porte et on me file un truc, en gros. Depuis ma reprise en janvier j'ai voulu rester à mi-temps (avant j'étais plus qu'à plein temps), officiellement pour avoir du temps pour autre chose que travailler. Mais si on me propose des traductions, aussi...

Je sais en tout cas que la partie prospection, je ne pourrais pas, c'est ça qui m'a fait bifurquer de mon métier d'origine (mais aussi parce que secteur bouché donc environ 2% de chances que la demande aboutisse).

lipstyxxx Je comprends totalement que la prospection puisse rebuter ! C'est quelque chose qui me demande du temps (que ça soit en réunions d'entrepreneurs ou en cold email) et des compétences supplémentaires à mon métier.

Cela dit, le dernier cold email envoyé a porté ses fruits (seul mail envoyé du mois de mars, sur un temps de sieste avec les 3 à la maison, le truc totalement improbable haha) : j'ai eu un call avec la prospecte 4 jours après et j'ai rdv demain avec elle pour une très grosse propale qui pourrait couvrir 2 mois de salaire à elle seule. Ça m'a pas mal reboosté, je crois que je commence à y prendre goût et à comprendre les rouages du système. On a des chiffres un poil plus élevé en rédac web sur la prospection, et encore un peu plus sur le copy mais je crois que c'est surtout quand tu fais du cold mail peu ciblé (ce qui n'est pas mon cas, je passe vraiment beaucoup de temps à chercher un potentiel prospect et mon mail est détaillé + vidéo). Je ne suis pas sure d'être gagnante sur le temps passé mais ça flatte mon égo sur le nombre de retours (4 retours sur 8 mails depuis janvier, 1 positif et 1 on verra plus tard).

Et effectivement du coup t'es dans une position assez intermédiaire. Disons que l'avantage quand même c'est la sécurité des missions !

Et ce qui t'empêche de rester correctrice salariée si je comprends c'est la difficulté à ne pas prendre les missions qu'on te propose ?

Concernant le temps de travail, j'en parlais avec Melye, aujourd'hui j'ai environ (+/-) 25h de travail/semaine pas trop mal payé (je dis ça parce que je n'ai pas de retraite/prévoyance/mutuelle &co dans ma déduction de charges). Je ne vois pas comment je pourrais augmenter mon temps de travail à cause de la place que prennent les enfants/les imprévus et le reste.

C'est assez frustrant parce que ça m'empêche de passer + temps sur toute la partie commerciale de mon activité alors que j'aime beaucoup ça. Je sens que ça touche vraiment la part très féministe en moi alors que c'est un choix qu'on a fait cette répartition des tâches et qu'elle me permet quand même de créer une entreprise "à temps pleins".
Bref, gros cheminement pour moi de me dire : que c'est ok que ça prenne + de temps et qu'en vrai c'est vraiment pas mal d'en être là aujourd'hui !

Grosse fierté également pour moi de ramener un salaire qui permet d'avancer dans nos projets et de sortir un peu la tête de l'eau financièrement. Ça faisait 5 ans que je ne touchais rien d'autre que les aides de la CAF pour les enfants sur la capitalisation de mes années de prof, je n'ai jamais pu toucher du chômage ou avoir une aide à la formation. J'ai tout financé seule et avec tout mon CPF.

lololabiscotte
Ça fait plaisir de te lire aussi épanouie en tout cas !! Et oui je comprends que ça flatte l'égo quand on te répond, c'est pour ça que des fois je réponds quand même à une annonce (mais je n'envoie plus de candidature spontanée). Le pire ça a été la fois où j'ai candidaté, été retenue, que j'ai fait un essai rémunéré concluant… et que je n'ai jamais donné suite parce que concrètement j'avais ni le temps ni l'envie de faire ce travail-là. Je suis pas très fière d'avoir fait perdre son temps à tout le monde…

Je n'ai pas compris ta question pour le fait d'arrêter d'être correctrice salariée ? Je ne prévois pas d'arrêter, je suis en CDI et je sais que je garderai mon post éternellement si je le veux, tout simplement parce que s'ils n'ont pas de boulot pour moi, rien ne les oblige à m'en donner, que du coup je ne leur coûte rien, et qu'en plus si je ne fais pas un minimum d'heures, je n'ai pas droit au CE et à la mutuelle. Donc en gros, ils peuvent me virer sans me virer, tranquille. C'est pour ça que je conserve un "stress" en dépit du fait que ça fait plusieurs années que je bossais 170 heures par mois pour eux et que rien ne laisse présager que ça change si je ne le souhaite pas.
Après, la traduction c'est mieux payé et ça me fait plaisir d'en refaire, donc j'aimerais faire un peu des deux. Mais j'adore la correction aussi, donc je ne veux surtout pas arrêter ! Et ça arrive qu'on me démarche pour des missions ponctuelles en AE (comme le musée Lugdunum de Lyon pour ses expos), du coup ça me fait encore plus de boulot, mais comme je ne sais/veux pas refuser… Je fais un vrai boulot là-dessus avec ma psy pour essayer de réussir à profiter de mes temps off plutôt que de le vivre mal.

Je ne compte pas mes heures donc je ne sais pas exactement quelle est ma charge de travail (là aussi mon travail est particulier parce que je suis payée à l'heure sur une base bien encadrée par une convention en fonction du type de travail demandé, mais au final si je fais en 30 heures ce qui était censé en demander 40, eh bien personne n'en saura rien et c'est tout benef pour moi, et à l'inverse, si j'ai besoin de temps supplémentaire et que c'est justifié, mes cheffes sont hyper réglo et me rajoutent des heures ; pour la traduction, c'est payé à la page, et tant que j'ai rendu le bouquin bien traduit dans le temps imparti, là aussi personne n'a envie de savoir quand et comment j'ai travaillé). Mais globalement, je trouve que l'équilibre avec les enfants est correct, on s'autorise le centre aéré le mercredi, mais Clémentine ne va jamais à la garderie, donc on a quand même toutes nos fins d'aprem + week-end avec les enfants. En revanche, je travaille tous les soirs une fois tout le monde couché jusqu'à parfois minuit, et parfois un peu le week-end (sieste/soirée). Donc c'est vraiment sur mon temps à moi que le travail prend, pas sur le temps avec enfants…

lipstyxxx Pardon oui je parlais du mi-temps. Mais ok je comprends mieux le gap.

J'avoue qu'en rédac web il est très courant de rémunéré au mot et ça me rend ouf (ma première mission j'étais payée 4 cts le mot !! Absolument pas rentable). Depuis plusieurs mois je facture au forfait et je me sens plus libre. Je ne sais pas non plus combien de charge de travail effective j’abats dans les faits parce que les 25h correspondent uniquement au temps ou mes enfants ne sont pas avec moi mais je bosse en ce moment même, hier matin également, les soirs de la semaine régulièrement et notamment sur des rdv ou réunions avec des collectifs ou clients. C'est un peu le problème de bosser chez soi.

Je comprends que ton temps perso soit ce qui saute, c'est également mon cas (je n'ai pas fait de sport depuis janvier !). J'essaie de me garder à minima 1 sortie copine/semaine : café ou autre (la saison des brocantes reprend youhou !) mais j'ai peu de place pour autre chose.


Et merci pour ta première phrase. Je crois que tu touches un truc ! Effectivement je me sens vraiment bien même si le rythme va beaucoup trop vite pour moi (mais c'est le cas pour nous toutes non ?!). Je sens que les années de down s'éloignent à mesure que les filles grandissent et que mon activité se développe.

lololabiscotte Oui la rémunération au mot je n'aime pas du tout non plus. Mais en correction c'est carrément au signe . Mais je trouve que pour le coup les bases de calcul sont correctes. Et en traduction littéraire, ça devient du grand n'importe quoi. À la base, le tarif c'est x euros par feuillet de 1 500 signes en français. La plupart des feuillets font moins, mais si tu as une page sans changement de paragraphe ni dialogue, tu auras 1500. Depuis quelques années on est passés au comptage informatique, qui est certes bien plus juste, mais si le tarif ne change pas tu perds 20% de ta paie. Et puis t'as ceux qui rémunèrent d'après le feuillet de la VO, donc pareil tu perds 20%, et t'as ceux qui décident qu'un feuillet c'est 1800 signes. Bref, ça devient très compliqué de comprendre les tarifs annoncés...