|  | Je suis perplexe sur le lien de cause à effet fait entre le fait que le cheval continue de faire de la fourrure l'hiver soulignant donc qu'il n'a en aucun cas il n'a besoin d'abris en dur et qu'un abris naturel suffit totalement et qu'ils ne voient pas cet abris en dur comme un espace de confort ou ne recherchent pas le confort.
Je m'explique, tous mes animaux font du poil d'hiver jusqu'à mon chat qui pourtant n'a connu (et dont les parents/grands parents/arrière grands parents etc... Chat de race donc on peut remonter très très loin) que l'intérieur bien douillet d'un appartement. En soit ça signifierait qu'il a conservé ses aptitudes de chats sauvage vivant dehors. Mais la réalité c'est que chaque hiver il refuse catégoriquement de mettre une pâte dehors (alors qu'en été c'est joie et bonheur dans le jardin), qu'il se précipite sur le radiateur (il a un hamac de radiateur) et qu'il dort sur le ventre de mon mari là où c'est bien chaud. Tout ça en été il ne le fait pas donc pour moi c'est bien lié à une recherche de confort et à une perte d'au moins une partie de ses instincts naturels. Pourquoi y aurait-il une différence avec le cheval?
Il me paraîtrait logique que le cheval, tout comme l'ensemble des animaux domestiques, a perdu une très très grande partie de ses instincts naturels et recherche le confort (d'un abris en dur où il fait plus chaud ou froid l'été).
Bon après, dans mon club (dans lequel je suis depuis bientôt 20 ans - ça nous rajeunit pas), tous les chevaux sont dehors, été comme hiver (une partie est rentrée le soir en hiver), qu'il pleuve neige ou vente. Les miens à l'époque étaient dehors dans les mêmes conditions, tondus pour certains en fonction de leur travail. Sur l'ensemble de la cavalerie, zéro colique, tous bien dans leur tête, pas de tarés dans les rangs.
Dans un club parisien fréquentés pendant quelques années, tous au box, pas de sorties sauf pour être montés, on trouvait des coliques à répétition et des chevaux littéralement hystéro au box et/ou monté (et des cavaliers totalement terrorisés lorsque que le prof distribuait les chevaux).
Le jour où (je me suis fixée disons 2/3 ans) je rachète un cheval: au prés. Certes c'est pénible en hiver soyons honnête mais c'est pas non plus un trec de 2h pour le récupérer avant de le monter et j'ai pas non plus l'impression de devoir le récurer pendant 1h avant de grimper dessus. En revanche, peut être par anthropomorphisme, la nuit en hiver je préfère qu'il soit à l'intérieur.
Après je comprend les impératifs des chevaux de sport. Zéro jugement, chacun fait comme il peut et comme il veut. |
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Je me permet de rebondir sur les conditions de vie des chevaux de clubs .
Voilà presque 25 ans que je côtoie le monde cheval j y ai meme travaille de nombreuses années et j ai donc un peu de vécu sur le sujet.
Pour avoir étais monter et travaille dans beaucoup de structures club y compris,je n ai jamais constaté de chevaux en permanence en colique fou furieux en mauvaise état et j en passe.
Certes la seule chose qu' il est très fréquent c est effectivement l agressivité de certains quand on entre dans le box pour venir les préparer et encore la c est très très souvent plus lieu à du cinéma car au fond de lui le cheval n'a rien de bien méchant si on lève un peu la voix.
Il faut quand même savoir qu' un cheval de club est la pour faire tourner la boutique et qu il est donc indispensable aux yeux du propriétaire du club ou du gérant et personne ne me dira le contraire.
Un cheval en mauvaise santé, boiteux, dangereux, ne sera évidement pas apprécié voir catégoriquement refusé par le client.
Il s en doit de l image de marque du club .
Je dois avouer par contre qu' énormément de clubs ne mettent jamais leurs montures au pré car pas de près dispo pour les chevaux de clubs pas de près tout court .
Dans mon club actuel les chevaux sont tous en box individuel "et oui fini les tabulations ou le cheval était accroché à une cidre et pouvez mêlé pas se retourner "
Ils sont sorti tout les jours ou presque parfois une journée de repos .
Il ont futur foin deux fois par jours une alimentation de qualité un maréchal sur place deux jours par semaine le dentiste et l osteo si besoin et le vétérinaire fait un suivi régulier tout au long de l année.
Autre chose qui est primordiale le directeur du club prend grand soins de choisir un endroit adaptée pour envoyer à la retraite ses anciens chevaux de club .
"Et oui fini le temps ou in les envoyé sythematiquement à la boucherie ".
Donc oui il y a des clubs pourris qui maltraité leurs montures de club mais non ce n est pas une généralité.