|  | un entier c'est un vrai cheval et oui les hormones ça fait peur et c'est imprévisible mais c'est la vraie nature et l'homme qui veut toujours dominer trouve plus fort en puissance que lui et c'est pas facile à accepter |
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Quelle drôle de vision....
On ne doit pas avoir les mêmes références équestres. Faut lire les cavaliers et écuyers qui parlent de dialogue, de coopération, de travail en symbiose...
Si tous les individus étaient dans une perspective telle que tu la décris, personnellement, vu ma taille et mon poids, je devrais m'abstenir de monter à cheval. Ou me contenter de mini-shet avec bride, martingale et rênes allemandes.
Parce que, à part ce dernier cas, tout équidé est plus fort en puissance que moi. Et je l'accepte très bien...
Faut pas confondre le fait que certains puissent être impressionnés par des entiers parce qu'ils ne savent pas ce que c'est, n'ont guère eu l'occasion d'en approcher et d'en côtoyer et sont un peu "prisonniers" de ce qu'ils entendent dire (ou d'un mauvais vécu avec un entier en particulier) et des gens qui castrent parce qu'ils ont peur de ne pas dominer...
J'ai trois entiers : deux vont être castrés voire probablement les trois. Je n'en ai pas peur, je les ai fait naître et n'ai aucune inquiétude quant à mon incapacité supposée à ne pas les dominer lorsqu'il sera temps de leur grimper sur le dos. En revanche, pour moi, un entier, c'est fait pour saillir. Aucun intérêt à faire saillir les miens, question de papiers et/ou de morphologie (sauf peut-être le Sadepers, c'est pour cela qu'on se tâte encore, si je puis m'exprimer ainsi à propos de coucougnettes) et aussi parce que l'offre des étalons sur le marché nous semble bien suffisante et intéressante. Vois juste pas l'intérêt d'en faire des gros frustrés de l'hormone, sachant qu'ils sont destinés à la compétition et qu'ils vont être en contact permanent avec leurs congénères avec une règle stricte, celle du "pas touche, t'as pas le droit!"