labeo a écrit le 08/11/2013 à 10h18: |
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Je ne sais pas ou tu vie et ce que tu as appris mais la réalité est tout autre.
Nous avons vendu un demi-trait, le maquignon est venu l'embarquer et n'a demandé aucun papier de quelque sorte que ce soit.
Les chevaux destinés a l'abattage partent souvent sans aucun papier et c'est la que l'on s’aperçoit de la dangerosité de la chose sauf les animaux d'élevage mais la encore, j'ai vu des choses aberrantes.
C'est quelques jours plus tard que le nouveau propriétaire du cheval a demandé ses papiers avec la carte de propriétaire remplie et signée.
Tout cela parce qu'en France, peut être qu'on vérifie les puces (et encore faut il que le possède n'en possède qu'une seule ou qu'elle n'ai pas migrée) mais les chevaux en partance pour l'Italie (ou ailleurs) sont abattus sans que rien soit vérifiés (on a pu le voir récemment avec l'histoire des chevaux abattus en Belgique) |
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Et bien quelle réponse sympathique
Et oui je parle de la règlementation française et pas de la règlementation des pays limitrophes.
En France, les services vétérinaires en poste en abattoir ont tous un lecteur de puce, et ont l'obligation règlementaire de vérifier la puce et le carnet du cheval avant débarquement et si ce n'est pas possible avant le débarquement, ils vérifient avant l'abattage.
Lors de non conformité, si le cheval n'est pas débarqué il repart direct et il va probablement dans un camion pour l'Italie par exemple.
Tant que l'Europe n'aura pas pris de décision ensemble dans ce domaine ce genre d'abbération persisteront...
Si le cheval est débarqué, il est abattu puis mis en consigne le temps que le propriétaire se mette en conformité (si c'est possible) puis il est saisie si l'anomalie persiste ou que l'identification/feuillet médicamenteux n'est pas conforme.
Au fait pour info, je parle de ce que je vis au quotidien ...