Bref, le montoir reste une question d'éducation. J'inclue les entiers.
Un cheval qui ne connait pas l'immobilité à pied ne peut pas être immobile au montoir.
Un cheval, c'est comme un enfant, il faut lui instaurer des barrières, et des aspects négatifs. Le "non" peut être associé facilement avec un "stop, là, tu stoppes".
Le montoir ne doit pas être la résultante d'un "ben t'en juste un peu avance, là, ca ira, je suis pressé de travailler"... Non, il a juste un peu avancé, c'est niet. On recommence.
Un cheval ne fait pas la différence entre "un peu avancer" et "beaucoup avancer"... Ceci est l'erreur de beaucoup de cavalier (évidemment, en club, on n'apprend pas les codes), et autant de propriétaires.
C'est comme en balade, on a accepte ou non qu'il broute, ou choppe une branche. Mais quand on est dans un trec et qu'on doit tenir carte et boussole, rien de mieux qu'un cheval qui n'a même pas l'idée de choper une branche et se faire arracher la gueule car il pensait pouvoir brouter...
Au pré, dans son box, le cheval est chez lui...On ne le fait pas ch.... Au boulot, le rôle est inversé.
EDIT:Bon, on peut reprendre les travaux de professionnels émérites tels que JFP,....Oui, comme on dit c'est un pro qui manipule seul ses superbes chevaux en tant que pro....Pas amateur. Avec des années de remises en questions, un laps de remises en question, des conditions de rêves.... On peut toujours prendre conseils auprès d'eux, mais il faut aussi prendre conscience de nos conditions.