| |
C'est la ou je te rejoins Y a des moments de pur equilibre ou la main devient toute neutre,et ou j'aime bien ne plus rien avoir a faire a ce niveau en tout cas,mais comme dit Nuno Oliveira il ne faut pas laisser le cheval dans ce vide trop longtemps....
Pour ton cheval de club a 500kg dans les mains,ma jument etait comme ça,des que je l'ai eu elle a été treuil dans sa maniere de se tenir,je radote mais c'etait bien 40 minutes pour se debarasser de la pesanteur...............lol,je n'ai compris qu'a la fin le pourquoi du comment,a la base arthrosique sur 5 à 6 vertebres,elle savait concretement ou etait son confort,c'etait moins difficile de s'appuyer plutot que d'accepter de passer sous elle....! |
|
|
Au niveau où j'en suis avec mon propre cheval, je suis amenée à jouer dans mes doigts souvent car lorsqu'il cède et que j'arrête de pianoter, et ben ça ne dure jamais longtemps, donc ma main ne peut pas se figer. De plus dès que je demande
quelque chose (épaule en dedans, transitions etc) j'agis avec mes doigts pour demander!
Concernant le cheval de club que je monte régulièrement, il ne connait que cette façon de travailler (contact énorme et jambes à ond) et en en le montant que tous les 15 jours (et en faisant partie des X cavaliers qui le montent) je ne pourrais pas l'habituer à une équitation plus légère. Et surtout, ma monitrice me répète souvent de garder du contact, de garder des jambes... ce qui est très dur pour moi mais bon, il faut bien que je me plie à ses exigences!
SOFFAD, il se trouve que parallèlement au travail que j'effectue seule avec mon propre cheval, avec lequel j'essaie de faire de l'équitation de légèreté, je prends des cours en club une fois par semaine ou tous les 15 jours; mon but premier était de me prefectionner à l'obstacle, en ce qui concerne ma position (qui était catasptrophique) notamment, afin de pouvoir ensuite sauter avec mon cheval. Etant donné qu'on ne fait pas de saut à chaque reprise au club...je me retrouve à travailler sur le plat, avec des méthodes que je n'apprécie pas tellement (et à l'obstacle non plus d'ailleurs, car on monte le cheval comme on le monte sur le plat).
Au moins je peux dire que je pratique deux méthodes qui ont presque tout d'opposé, ce qui me permet de critiquer (en bien ou en mal) en connaissance de cause.
Ensuite je trouve que j'arrive assez bien à faire la part des choses entre ces deux mondes, car avec mon cheval je ne fais pas du tout comme avec les chevaux du club. J'aurais d'ailleurs plutôt tendance à vouloir faire comme avec mon cheval avec eux, ce qui me vaut de nombreuses interpellations de la part de la monitrice pendant la reprise!