Oh mon dieu, pauvres dauphins
Je trouve ça glauque.
Je veux dire, quand on voit toutes ces personnes hystériques, se presser dans le cadre pour apparaître au mieux sur la photo, c'est effrayant.
Néanmoins, je ne dirais pas que la nature humaine me dégoûte.
Prenez n'importe quel être humain isolé, je suis certaine qu'il y a plus de compassion et d'empathie en lui que si l'on prend une foule. Ici, c'est l'effet foule qui a lieu, dans son aspect le plus néfaste.
J'espère que chaque personne présente sur ces photos sera sévèrement punie.
Toutefois, je pense que ça n'éduque pas. Il faut bien choisir les sanctions. Car vous pouvez les faire raquer autant que vous voulez, les coller en taule, tout ce qu'on y gagnera, c'est de la colère, de l'incompréhension voire même, une envie de vengeance contre l'origine du délit, plutôt que de comprendre en quoi ils ont fauté.
Une foule, un peuple, ça s'éduque. Le respect et l'empathie pour autre que soi, humain ou animal, ça s'apprend. Je suis intimement convaincue que dans ce genre que cas, quelle que soit la sanction attribuée, elle ne sera utile que si elle est additionnée à de l'éducation. Je pense qu'il est nécessaire d'envoyer ces personnes faire des travaux d'intérêt généraux dans des centres d'étude et de protection de la faune sauvage par exemple (et pour l'espèce concernée, c'est encore mieux). Parce que l'on protège mieux ce que l'on connaît. De plus, s'occuper d'autres que soi, devrait remettre leur ego à plat.
Il y a eu une affaire récemment, en France, d'un ex compagnon qui en voulait à sa copine et qui pour se venger d'elle (je sais plus la raison mais peu importe), a mis le feu à son chat, puis l'a balancé du 7ème. Moi ce genre de personnes, je pense que le coller à bosser à la SPA (avec surveillance), jusqu'à ce que ça rentre ne fait pas de mal. D'abord, il voit les choses d'un autre œil puisque c'est lui qui reçoit et soigne les animaux blessés par d'autres. Peut-être que cela pourrait permettre d'ouvrir le bon côté qui est caché chez ces personnes, car nous en possédons tous un.