Possibilité moniteur "auto-entrepreneur&quo

Parce que, tant que les gens sont d'accord avec vous, tout va bien, dés qu'ils ont autres choses dans la tête, à tord ou à raison, ils deviennent vos détracteurs. Si encore il se taisaient... Mais la plus part, parlent. Vous pouvez, malgré de bonnes méthodes et idées, avec toute la bonne volonté du monde, tomber en disgrâce.
C'est à méditer, aussi.
Et il faut une sacrée force de caractère pour résister.

C'est sûr que les gens qui ne vous apprécient pas ont une nette tendance à parler davantage que ceux qui vous apprécient.
Mais si une personne fait appel à un enseignant différent, c'est déjà par curiosité.
Être curieux est un bon début pour la remise en question. Ça ne se fait pas forcément immédiatement mais petit à petit.
Et donc, cette personne va en parler et les autres verrobt forcément une différence dans son equitation. Certains se moqueront mais d'autres se poserons les bonnes questions.
C'est vrai que ça demande du temps.

ladygodiva

Le sujet est être auto-entrepreneur: les enjeux sont beaucoup trop importants pour se satisfaire de curiosité.

Les mots de frison78 sont cash, mais son approche, qui manque cruellement de poésie a pourtant bien les " pieds sur terre".

Ce qui, au passage, ne doit pas décourager l'auteur mais plutôt l'inviter à bien se préparer.

petitrot mais ...je n'ai pas dit le contraire

Méa culpa: j'ai un peu mélangé... Vous avez raison.

Pour corriger, je dirais qu'il ne vaut mieux pas compter sur la curiosité des gens et préparer un projet bien ficellé.

Merci, petittrot, c'est gentil!

Non, je ne suis absolument pas naive. Il y a des avantages à ne plus avoir 17 ans... Ca fait des années que je travaille, et les effets que vous décrivez, je les ai connus durant toute ma vie professionnelle. C'est la vie, ça en fait partie. Avec un peu de chance, on arrive quand même à trouver sa niche s'il existe un marché pour ce qu'on fait.

C'est aussi pour cette raison là que (du moins dans un premier temps), je n'envisagerais absolument pas de "tout plaquer" pour devenir monitrice. Mais d'essayer tout ça en gardant mon activité professionnelle actuelle en parallèle -- pour voir ensuite comment je repartis les deux en fonction de mon "succès". Ca donne aussi la liberté de ne pas travailler avec les élèves avec qui on ne veut pas travailler -- car ça aussi, ça existe!

Mais bon, tout ça est plus rêverie qu'autre chose en ce moment. Trouver le temps et l'argent pour une formation DJEPS, ce n'est absolument pas évident. Après, faudra convaincre un centre de formation, mon employeur actuel... y en a des obstacles!

Du coup, c'est un projet sur plusieurs années, à commencer par le plus accessible: passer ce fameux Degré 3 pour les équivalences. Je pense honnêtement avoir le niveau, le problème n'est pas là. Mais mon cheval est jeune, je ne veux pas le bousculer. Un parcours d'1m10, c'est pas pour tout de suite. Ce sera donc plutôt pour 2019, pas pour 2018. En espérent qu'ils n'auront pas encore tout changé dans ces histoires de formation, ce qui semble être leur spécialité.

Merci, petittrot, c'est gentil!

Non, je ne suis absolument pas naive. Il y a des avantages à ne plus avoir 17 ans... Ca fait des années que je travaille, et les effets que vous décrivez, je les ai connus durant toute ma vie professionnelle. C'est la vie, ça en fait partie. Avec un peu de chance, on arrive quand même à trouver sa niche s'il existe un marché pour ce qu'on fait.

C'est aussi pour cette raison là que (du moins dans un premier temps), je n'envisagerais absolument pas de "tout plaquer" pour devenir monitrice. Mais d'essayer tout ça en gardant mon activité professionnelle actuelle en parallèle -- pour voir ensuite comment je repartis les deux en fonction de mon "succès". Ca donne aussi la liberté de ne pas travailler avec les élèves avec qui on ne veut pas travailler -- car ça aussi, ça existe!

Mais bon, tout ça est plus rêverie qu'autre chose en ce moment. Trouver le temps et l'argent pour une formation DJEPS, ce n'est absolument pas évident. Après, faudra convaincre un centre de formation, mon employeur actuel... y en a des obstacles!

Du coup, c'est un projet sur plusieurs années, à commencer par le plus accessible: passer ce fameux Degré 3 pour les équivalences. Je pense honnêtement avoir le niveau, le problème n'est pas là. Mais mon cheval est jeune, je ne veux pas le bousculer. Un parcours d'1m10, c'est pas pour tout de suite. Ce sera donc plutôt pour 2019, pas pour 2018. En espérent qu'ils n'auront pas encore tout changé dans ces histoires de formation, ce qui semble être leur spécialité.

C'est surtout ça.
De plus, les gens qui ne vous apprécient pas ou plus, le plus souvent sont des gens qui sont responsables de cette dépréciation.
Ils n'ont pas complètement voulu suivre votre méthode donc forcément ils diront qu'elle n'a pas fonctionné. Ils n'ont pas suivis vos consignes, donc forcément ils diront qu'ils n'ont pas atteint leurs objectifs. Etc.....
Ils diront du mal, mais surtout pour ça ils mentiront parce qu'ils n'iront pas dire qu'ils n'ont pas suivis vos conseils, ils diront juste qu'avec vous ils n'ont pas atteint leur but, qu'en travaillant avec vous ils n'ont pas réussi à passer le cap souhaité ou qu'il n'ont pas réussi à résoudre un problème X, en cachant qu'ils ne travaillaient tout simplement pas assez, que seuls, ils continuaient de faire plus ou moins à leur façon dès que vous avez le dos tourné et ne suivaient pas à la lettre la méthode enseignée.

Les réseaux sociaux sont particulièrement prisés par ces gens qui, ainsi peuvent divulguer à un large nombre des rumeurs complètement infondées sur votre compte.
Curieusement il faudra énormément d'avis positifs pour qu'un cavalier fasse la démarche de prendre un cours avec vous, alors qu'un seul avis négatif mettra le doute et dans le doute, les gens diront toujours que puisque vous ne faites pas l'unanimité et bien pour ne pas prendre le moindre risque ils ne vous contacteront pas.

Et puis il y a la concurrence, et les autres acteurs de la filière. Là aussi....il y aurait beaucoup à dire sur le non respect ne serait-ce que de l'éthique sportive. Alors que c'est dans tous les règlements, que c'est une des conditions générales de délivrance des licences....

frison78 tout à fait

frison78 Je sais que tu as raison, donc je ne vais pas te contredire...

Dans mon monde de bisounours, je suis motivée par le bien-être des chevaux. Je sais que ça fait peut-être ridicule, peut-être aussi un peu arrogant. Mais j'y crois. Je ne compte pas inventer de nouvelle méthode (qui en plus requiert l'achat du matériel que je commercialise...), ni présenter des solutions miracle en deux séances. Juste le bon vieux travail de base, le boulot de longue haleine. Et je connais mes limites.

Et l'avantage de faire ça à côté de son "vrai" boulot, c'est qu'on n'en dépend pas. Personne ne veut travailler avec moi? Et ben tant pis.

La question, c'est juste si ça vaut la peine de passer par tout ce bazar de BPJEPS pour potentiellement rien. Ils placent la barre tellement haut que c'est complètement rédibitoire si on a l'intention d'en faire seulement une activité secondaire. Je pars du principe que c'est exactement l'objectif...

Il placent la barre haut pour sélectionner des candidats qui on deja un niveau technique suffisant pour enseigner correctement la discipline. Ça ne me choque pas. C'est même plutôt favorable à la diffusion d'une Equitation de qualité.

Je pense que même si c'est pour en faire une activité secondaire. L'enseignement doit être de la même qualité que si c'était la principale. Sinon, à quoi bon enseigner?

Maintenant, au vue des salaires actuelles des moniteurs, c'est vrai que se lancer relève du parcours du combattant. Qui plus est, c'est une formation longue, faite de travail, pas toujours agréable (mais tout est relatif) et un investissement personnel et financier non négligeable.

Le mieux, si on a les moyens et les ressources personnelles ou aides est de prendre une à deux années sabbatiques et de faire ça comme une expérience de vie. Mais il faut que l'intendance suive. C'est probablement plus facile à dire qu'à faire...

Oui enfin la barre haut pour un BPJEPS....il doivent avoir leur propre definition de la hauteur...sinon, il vont avoir du mal à recruter des candidats et comme ils leur en faut beaucoup

dressforever

J'ai les mêmes interrogations que toi.
je réfléchis à cette idée de coaching, sans être en concurrence avec les enseignants, plus dans une idée d'apporter une "expertise" reposant sur une expérience personnelle mature, un regard extérieur complémentaire des cours que peut recevoir un cavalier, l'aider à l’acculturation, l'analyse des techniques et du cheval, l'appropriation des choses, la prise de recul, comprendre la "philosophie" de l'équitation, .... Bref des trucs qui me semblent mettre du liant dans les offres existantes,...
pas une méthode précise, plus un accompagnement de parcours de vie de cavalier...

l'enseignement et de la formation de formateurs équestres en France reste le monopole de la FFe. c'est dommage. L'absence de concurrence empêche la montée en qualité à mon sens.

dressforever

C'est plus un DEJEPS qu'il te faudrait .

J'ai une copien qui vient de le finir . elle a fait la formation sur un an , 1 semaine par mois au centre de formation, financé par pôle emploi.
Faut dérouler sur amateur 2 en sortant de formation.

Ha bon? Pourquoi?