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si tu es heureuse c'est ce qui compte, c'est vrai que les chevaux c'est des dépenses...
, plein de bonheur avec tes chevaux



je pense que le monde équestre ne m'a jamais correspondu, les club je n'en parle même pas, je ne compte pas y remettre les pieds un jour non plus j'aime les chevaux et quand je vois les conditions de vie de certains...



tu as sans doute raison, rien de définitif, jamais trop tard. Cependant, je pense que s'il y a des choses que je ne fais pas maintenant je les ferai encore moins après...Les chevaux plus je m'en détache et moins j'arrive à y revenir. Puis les galères ne semblent vraiment pas s'arranger avec le temps au contraire. Je sais pertinemment que tout peut basculer du jour au lendemain non seulement j'ai vécu des choses ainsi mais aussi j'ai plein d'exemples dans mon entourage...et dans ce cas là les chevaux finissent par trinquer. Si je pense cheval j'imagine automatiquement le pire moment où je ne pourrai plus assumer parce que tel ou tel événement, je me dis que plus le temps passe et plus j'aurai des galères de plus...que je n'arriverai pas toujours à gérer directement.
J'aurai aimé aussi pouvoir aider les chevaux (je comptais avant en adopter un en association quand j'aurai pu économisé) mais je me dis que les chevaux ça serait un projet encore plus fou et irréaliste. Puis, quand je cherche des parrainages et vois des sommes comme 150.-/mois pour le moment je ne peux vraiment pas me le permettre. Si je pouvais je le ferai pour aider des asso.
Mais mes projets équestres, ce que je cherchais avec les chevaux c'est juste irréaliste. Je pense clairement que mes meilleurs années équestres sont derrière moi, peut-être que j'y ai fais ce que je devais et que je n'ai plus rien à apporter. Que j'ai trop changé pour y arriver de nouveau. Je pense que les difficultés équestres (même sans forcément monté et même pas dû aux chevaux mais plus à des circonstances) que j'ai pu rencontrer après cela ne sont peut-être pas un hasard, peut-être que ce n'est pas ma place, que quelqu'un d'autre ferait bien mieux. Les dernières fois que j'ai tenté de m'occuper de chevaux je culpabilisais beaucoup, c'était jamais assez, jamais assez bien.
plein de bonheur !
merci pour ce beau témoignage