alecto
C’est bon, je suis dedans. Je me suis presque forcée à refermer le livre hier soir. Et à cette heure ci, je l’ai rouvert devant mon café.
elea2008
J’ai une position un peu différente concernant le fait de poursuivre ou non une lecture qui nous déplaît. Je considère qu’on ne peut juger d’un bouquin que si l’on a dépassé les 100 premières pages. Souvent le démarrage est longuet mais le propre du bouquin est puissant. Et c’est le cas ici. J’ai attendu quelque 90p avant de realiser que j’etais dedans et que « c’est bon, l’histoire est enfin partie, on peut s’y mettre ! »
Il y a des tas de livres que j’ai abandonné. Notamment les « lectures de plage ». Je voulais les tenter car ils m’avaient été offerts mais non. Ce qui est plat, simplet et bateau, c’est (de mon point de vue) une perte de temps.
A contrario, il y a des livres comme Suskin et Orwell que j’ai relu plusieurs fois et que j’ai très TRÈS envie de relire encore. Malgré l’immensité abyssale de bouquins qu’il me reste à lire et à découvrir (d’ailleurs ça me déprime fort l’idée que je n’aurai assez de ma vie pour tout lire…)
ÉDIT ÉDIT EDIT ÉDIT ÉDIT ÉDIT ÉDIT
J’ai (déjà) fini ce livre. Je suis prise entre la joie, l’amitié et la tristesse. Vous savez quoi ? J’ai aimé Adam (je raccourcis le nom!) comme un amant. Tantôt mystérieux, bizarre, mais attachant, charmant, avec ce quelque chose qui éveille l’âme féminine. Alors refermer ce livre, c’était un peu comme lui dire Adieu ou Au revoir et … arf c’est douloureux. Donc j’avais besoin de l’écrire.
Irène m’a fait fondre le cœur. Malgré tout je la vois encore un peu comme une grand mère douce et délicate, avec un fort caractère mais qu’elle ne fera jamais ressentir au dehors. Je l’aime bien moi, Irène …
BREF vous avez capté j’ai aimé ce livre. J’ai peut être rien trop compris au départ mais j’ai accepté de lâcher et de suivre (comme Danglare finalement) et j’ai vécu une très très belle aventure.