Janvier sans alcool

Au taff de mon copain , c'est une "culture" de l'apéro qu'ils ont. ( Taff administratif pourtant). Et absolument tout est prétexte à boire. Mon copain se limite beaucoup plus que ses collègues et refusent régulièrement et s'en tient à du soft pendant les pause dej'

J'ai bossé dans la même boite, mais pas le même service, et idem... Il y avait un placard à bouteilles dans les bureaux...

Et le plus formidable, c'est que dixit les anciens, cela c'était vachement calmé, car avant la consommation était bien plus importante et assumée....

amghar j'ai travaillé dans la bière et j'habite depuis 10 ans en Belgique, à moins que tu ne te tappes des westvleteren tous les soirs, tu peux facilement trouver des équivalents sans alcool, leffe, hoegarden ou les pils

Sauf si, évidemment, tu bois pour l'alcool et pas pour la bière.

J'aime les Chimay, Quack , Maredsous, Karmeliet, Stephanus, guinness, murphy's, Petrus, Kastel etc etc. Non désolé, en sans alcool, je n'ai jamais trouvé l'équivalent et c'est encore + blindé de sucre. Pour le coup un perrier-citron me fait bien plus plaisir qu'un soda sensé avoir le gout de bière...

Je n'aime pas spécialement les leffes, je n'aime pas les hoegarden ni les bières blanches , ni les bières chinoises. Je trouve Kro, 1164 vraiment pas bonnes... Et effectivement, certaines bières sans alcool sont bien meilleures que celles-ci.

Et non , je ne bois pas les bières "pour l'alcool" , sinon j'acheterais des merdes en cannette à 80 cents du genre 86 ou lexus... Cela me couterais moins chère que les trappistes belges...

Je n'ai jamais dit que je voulais arrêter l'alcool à vie. Alors je suis peut-être faible et dépendante aux yeux de certaines, mais je continuerais à me fait plaisir de temps en temps avec un apéro que j’apprécie vraiment .

Je pensais hier ne pas répondre car je ne bois pas d'alcool, mais comme chacun y est allé de son grain, de sel...

Je ne bois pas non plus, car je n'aime pas l'alcool. De temps en temps, une kriek ou du cidre doux, autant dire que ça ne va pas chercher lion !

J'ai déjà eu des réflexions sur le sujet, ce d'autant que je ne fume pas non plus et que la fumée me dérange vraiment (genre maux de gorge le lendemain d'une soirée fumeurs, quoi...) et je ressentais bien l'exclusion quand on me disait que je ne savais pas "m'amuser" ...

Chez des amis pourtant très respectueux, j'ai eu des fois la petite réflexion "je ne trinque pas à l'eau/au soda/whatever sans alcool". C'est pas dit méchamment du tout dans ce cas-là, et pourtant tu la ressens bien, la p'tite pique...

M'enfin quand on essaye de me forcer à boire une coupe de champagne pour "fêter ça", je dis toujours que ce serait gâcher... Même aux pots du boulot, ça m'est déjà arrivé d'aller me remplir un gobelet à la fontaine car il n'y avait que du champagne, ahem...

C'est chouette de voir un sujet ce mois sans alcool ( avec la pression mise par les vignerons, je pensais que c'était assez foutue...)

Ce mois c'est vraiment l'occasion d'avoir une vrai réflexion sur sa consommation et celle de la société en générale. Car c'est vrai que souvent les effets de l'alcool sont très méconnus du style que à partir de 6 verres standards ( donc les quantité servies dans les bars par exemple) par semaine, et bien il y a une très grande probabilité qu'il y ait des conséquences sur le cerveau et la cognition ( moins bonne mémoire, attention... etc), et probablement sur le reste du corps mais c'est pas mon domaine.
Du coup faire un mois de pause, non seulement c'est permettre à son corps de se régénérer, mais aussi de réfléchir à la place de l'alcool dans sa vie, dans la société etc. Car il est vrai qu'en France, on a un rapport historique à l'alcool, suffit d'habiter à la campagne pour que des membres de la famille souhaitent donner de l'alcool au enfants, voire aux femmes enceintes " pour fortifier le bébé"
Alors bon certes faut pas non plus dramatiser, c'est pas non plus le pire truc du monde, mais de par le manque de transmission des informations sur la santé etc, cela peut pousser à avoir des comportement à risques sans même le savoir...
Pour mon apport personnel, je participe aussi à ce mois, sans que l'entourage me pousse à continuer de consommer ce qui est plutôt cool.
Mais c'est vrai que ce mois pourrait également être vue comme l'occasion d'ouvrir un débat là dessus, sur la place de l'alcool dans la société, et surtout de l'existence des conséquences même à petites doses, qui sont souvent méconnues... Mais bon pas gagné, quand on voit qu'un seul lobby a pesé d'avantage que tout un regroupement de scientifiques et professionnels de santé...

C'est chouette de voir un sujet sur ce mois sans alcool ( avec la pression mise par les vignerons, je pensais que c'était assez foutue...)

Ce mois c'est vraiment l'occasion d'avoir une vrai réflexion sur sa consommation et celle de la société en générale. Car c'est vrai que souvent les effets de l'alcool sont très méconnus du style que à partir de 6 verres standards ( donc les quantité servies dans les bars par exemple) par semaine, et bien il y a une très grande probabilité qu'il y ait des conséquences sur le cerveau et la cognition ( moins bonne mémoire, attention... etc), et probablement sur le reste du corps mais c'est pas mon domaine.
Du coup faire un mois de pause, non seulement c'est permettre à son corps de se régénérer, mais aussi de réfléchir à la place de l'alcool dans sa vie, dans la société etc. Car il est vrai qu'en France, on a un rapport historique à l'alcool, suffit d'habiter à la campagne pour que parfois des membres de la famille souhaitent donner de l'alcool au enfants, voire aux femmes enceintes " pour fortifier le bébé" (true story)
Alors bon certes faut pas non plus dramatiser, c'est pas non plus le pire truc du monde, mais de par le manque de transmission des informations sur la santé etc, cela peut pousser à avoir des comportements à risques sans même le savoir...
Pour mon apport personnel, je participe aussi à ce mois, sans que l'entourage me pousse à continuer de consommer ce qui est plutôt cool.
Mais c'est vrai que ce mois pourrait également être vue comme l'occasion d'ouvrir un débat là dessus, sur la place de l'alcool dans la société, et surtout de l'existence des conséquences même à petites doses, qui sont souvent méconnues... Mais bon pas gagné, quand on voit qu'un seul lobby a pesé d'avantage que tout un regroupement de scientifiques et professionnels de santé...
edit: ortographe & syntaxe

amghar une bière sans alcool n'est pas un soda ou un panaché, c'est une bière desalcoolisée.

Boire tous les soirs 33cl à 10 degrés, je comprends que ça nécessite un sevrage

[quote= j=15/01/2020 h=14h45]@amghar une bière sans alcool n'est pas un soda ou un panaché, c'est une bière desalcoolisée.

Boire tous les soirs 33cl à 10 degrés, je comprends que ça nécessite un sevrage[/quote]

elicendi

Mais enfin à quel moment ais-je dis que nous buvions une bière TOUS les soirs ???? Il faut lire les post avant de juger et de tirer des conclusions.... On doit en moyenne le faire 2 fois par semaine, exceptionnellement 3 fois .....

Et bien les bières sans alcool, n'ont, à mon gout, rien à voir avec la saveur de celles qui me plaisent...

amghar dans ton premier post "on aime beaucoup la bière du soir"

Oui ce n'est pas noté " On aime beaucoup la bière tous les soirs..." et il suffit de lire la suite du post....

Effectivement si nous buvions de façon systématique une bière tous les soirs, je ne me poserais même pas la question de savoir si nous devrions nous sevrer.

Ce qui m'a fait m'interroger, c'est que justement, je trouve qu'on ne boit pas tant que ça mais que ça me contrariait quand même de ne pas pouvoir prendre un apéro si j'en avais envie. Mais est-ce de la contrariété car je me force à me priver de quelque chose que j'apprécie, ou est-ce déjà un signe d'une dépendance. Frontière entre gourmandise et dépendance ( non parce-que le saucisson ca me manque aussi ^^ ).

Franchement pour moi le mois sans alcool c'est une pure connerie !!
Encore une idée à la con genre régime d'après les fêtes ou d'avant les vacances et maillot de bain...

Si on doit se forcer à arrêter un mois l'alcool, franchement il faut s'interroger.

Je ne parle pas du côté social et sympa de l'apéro où l'on aime la situation et aussi l'accompagnement.
Si toute l'année on peut se passer d'alcool et en consommer de temps à autre sans abus, pourquoi se "forcer" en janvier ?

En fait, en ce qui me concerne, c'est le hasard que ce soit tombé en janvier. Mon copain a proposé tout simplement car décembre a été un peu chargé niveau alimentaire et boisson et qu'on ramassé quelques kilos la couene. On aurait aussi bien pu le faire Mars ou en Aout ^^.

la-rowane
Ooh! Je suis exactement comme toi! Et je me prends les mêmes réflexions... Ça fait plaisir de ne pas se sentir seule

brax Bienvenue au club !

paodrey le boss dont tu parles, c est dénonciation directe. C est honteux.