rinkui
mais pour écarter le problème du cavalier il suffit simplement qu'immédiatement il s'interroge et modifie sa pratique. c'est immédiat et gratuit. C'est quand même moins contraignant en temps, organisation et coût. Et la réponse tu l'as aussi tout de suite. en tout cas sur le laps de temps où tu attends la visite de ton pro
Il s'agit d'agir sur soi.

La seule difficulté c'est : envisager que je sois la cause. Que les cavaliers actuellement en contact avec ce cheval soient la cause.
Un de mes prof nous disait : il y a des chevaux qu'on tutoie, c'est la majorité, et des chevaux qu'on vouvoie. Si tu tutoie un cheval qu'il faudrait vouvoyer, il te le fera savoir.
Encore faut-il être capable de se poser la question au moment où ça part en sucette, voir avant si on a un peu d'intuition ou d'expérience : de quelle façon dois-je m'adresser à ce cheval ?
Ce qui est accepté hier par un cheval, ne signifie pas que ce sera accepté demain. Parce que Pompon n'est pas un objet inanimé. Donc, avant ou en attendant de passer en revue la batterie d'objets inanimés, il faut considérer le relationnel, le vivant, le social inter-espèces, la politesse réciproque. Un cheval qui a un problème de santé exprime des choses, parfois subtiles. Si on ne capte pas ses signes, on se fait sanctionner. Un cheval que notre pratique agace envoie des signes, parfois subtils,.. Même résultat si on ne fait pas assez attention...