Ça va ptêt finir par clouer le bec à tous ceux qui éructent sur les réseaux sociaux dès qu’on s’interroge sur les harnachements ou les conditions de vie à base de « Ce sont des chevaux de haut-niveau, vous y connaissez rien fermez-la ».
C’est marrant, dans « cheval de haut-niveau », il y a cheval aussi
J’ai l’impression que ça commence doucement à s’infléchir. J’espère qu’à terme, on passera du package « box / marcheur / fer / muserolle » par défaut à « pré collectif / pieds nus » par défaut, et ensuite on adapte au cas par cas. Bref, considérer que le box, les fers, etc... peuvent aider certains chevaux, ponctuellement ou sur la durée, mais que ce n’est pas une obligation pour avoir son diplôme de cheval de sport.
Même en tant qu’amateur à petit niveau, trouver une écurie qui conjugue install correctes avec vie au pré, c’est compliqué. Grosse pensée pour la gérante qui m’avait répondu : un cheval qui travaille, ça dort au box.
Si les chevaux sont nourris 2 à 3 fois par jour, que les couvertures sont gérées, et qu’il y a de quoi bosser sur place quel que soit la météo, ça se fait très bien.
C’est sûr que si la pension pré se résume à jeter un roundballer de foin de temps en temps avec une vague carrière en herbe délimitée par un ruban dans un champ, ça complique un peu les choses.