Les chevaux : 1 marché a la dérive ?

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Malioth

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Les chevaux : 1 marché a la dérive ?
Posté le 06/02/2021 à 15h27

Compliqué de trouver des chevaux d'enseignement ou de loisir en Basse Normandie ; pourquoi a votre avis ?

Nous sommes particuliers et rien dans nos critères plutôt simples... par contre, on trouve à foison des jeunes chevaux élevés pour le concours que les gens n'arrivent pas à vendre !

Ne serait-il pas temps d'arreter de vouloir être un champion a tout prix et revenir aux bases simples pour un sport plaisir ?

Aucun professionnel pour ces gens-là ?
S'il n'y a aucune étude de marché, je comprends que les banquiers ne prêtent pas facilement...

Utamay

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Les chevaux : 1 marché a la dérive ?
Posté le 07/02/2021 à 11h03

Le prix des chevaux de loisir est un débat qui revient très souvent...

Je pense de mon côté que le marché est totalement cassé par les réformés de course : s'ils ne sont pas bons pour courir, leur destin, ça va être soit la boucherie (à moins de 1000e) soit le loisir... et à 1500e ou même 1000e, le vendeur se fait déjà une marge par rapport à la boucherie ! Et comme ce sont des chevaux très présents sur le marché, qui sont censés partir vite (car plus on les garde, plus ils coûtent), ils sont vendus à un prix cassé qui attire les petits budgets. On ne va pas se mentir, beaucoup de gens en achètent non pas par conviction mais parce qu'ils ne coûtent pas cher.

Et dans tous les sujets qui en parlent, les gens s'énervent contre les "préjugés" et les encensent : ils sont géniaux, ils ont un gros coeur, ils sont polyvalents, ils ont même des moyens pour aller en compétition...
... alors, si on fait un raisonnement simpliste, pourquoi payer 4 fois plus cher pour un cheval qui fera le même job ?

Quand je cherchais la mienne, je ne voulais ni TF ni PS parce que j'étais contre le débourrage à 2 ans et une exploitation aussi jeune + pas le courage de rééduquer un jeune cheval sorti des courses... Ma monitrice de l'époque m'a dit que c'était stupide, que les TF étaient des super chevaux déjà montés et attelés, que son voisin en vendait un de 3 ans pour 1600e (= la moitié de mon budget), qu'il était super pour l'extérieur, que si elle avait de la place pour un cheval de plus, elle le prendrait...
Si je lui avais annoncé un budget à 5000e pour faire du promprom et un peu de carrière, je pense qu'elle m'aurait prise pour une folle.

Édité par utamay le 07-02-2021 à 11h07



Michiwa

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Les chevaux : 1 marché a la dérive ?
Posté le 07/02/2021 à 11h06

pcql C'est sûr, mais un enseignant forme aussi et surtout des cavaliers. ^^ Si le but est 100% de monter et former des chevaux on n'est plus sur le même métier et dans ce cas là on n'a pas besoin de passer un diplôme pour enseigner !

argamelle C'est rare mais ça fait plaisir à lire !
Ceux que j'ai vu prenaient des jeunes, les mono montaient quelques fois histoire d'accepter les 3 allures. Ensuite ça passait en groupe adulte G7, puis à 4 ans si le machin était sympa c'était mis dès les cours g2-g3 !

Marlin

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Les chevaux : 1 marché a la dérive ?
Posté le 07/02/2021 à 11h13

Dans ma région on voit plus la tendance inverse. Beaucoup de chevaux de loisirs revendus par des particuliers. Mais trouver le "bon" n'est pas facile, il y a toujours un petit tas de poussière sous le tapis

Dans le club du coin, la gérante achète des jeunes, les forment, les utilisent 2-3 ans en école et les revend. Par contre j'ai l'impression qu'elle achète pas cher, mais pas cher du tout.
Spécialisée dans la couleur, les loulous une fois sur annonce partent en quelques semaines/jours. Sa clientèle est fidèle, satisfaite elle revient d'année en année.

C'et pas bête du tout, jamais de "vieux" qui trainent dans l'écurie, les nouveaux sont dégrossis par de bons élèves, elle, elle les valorisent en concours. Et les nouveaux loulous attirent ses élèves.

Pcql

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Les chevaux : 1 marché a la dérive ?
Posté le 07/02/2021 à 11h20


michiwa a écrit le 07/02/2021 à 11h06:
@pcql C'est sûr, mais un enseignant forme aussi et surtout des cavaliers. ^^


Je dois être trop vieux, mais j'ai du mal à voir en quoi les 3 gogols bariolés qui gueulent comme des ânes sur des gamins à fond les ballons avec des chevaux à plat et sur les épaules sur une club 3 "forment des cavaliers", mais on va éviter de rentrer dans ce débat hein ;)
En tous cas ça ne change rien au fait que la plupart sont incapables de débourrer puis former un jeune cheval, et que donc ils galèrent à remonter leurs structures.

Aurelie20

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Les chevaux : 1 marché a la dérive ?
Posté le 07/02/2021 à 11h26

harasstgermain

Je suis tout à fait d'accord
Nos chevaux et poneys de loisirs sont à vendre 5000/6000€

Nous en avons rarement à vendre et quand nous en avons ils partent vite.
Là je vais bientôt avoir une jolie petite jument pie de 5 ans, jeune mais facile qui travaille au poney club et je sais qu'elle va partir vite car elle est montable par un niveau galop 2
Nous avons trop de chevaux/petits chevaux sur le poney club par rapport aux nombre de cavaliers, ce qui va permettre de la vendre dans quelques mois.


Par contre, nous avons un jeune cheval de 4 ans, un beau welsh cob noire, taille petit cheval
Il sera plus difficile à vendre car débourré en décembre, au travail léger, il va nécessiter un galop 5/6 pour l'instant.
Mais bien formé il sera un très bon cheval de loisirs mais il aura un peu de sang et sera pour un cavalier qui a l'habitude des poneys qui avance donc pas pour de petits niveaux équestres.

Liteulorce

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Les chevaux : 1 marché a la dérive ?
Posté le 07/02/2021 à 11h31


michiwa a écrit le 07/02/2021 à 11h06:
@pcql C'est sûr, mais un enseignant forme aussi et surtout des cavaliers. ^^ Si le but est 100% de monter et former des chevaux on n'est plus sur le même métier et dans ce cas là on n'a pas besoin de passer un diplôme pour enseigner


Le bp n'étant pas un diplôme d'enseignement mais d'animation tout va bien !

Liteulorce

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Les chevaux : 1 marché a la dérive ?
Posté le 07/02/2021 à 11h35

[quote=pcql] le marché va à un moment se rééquilibrer, et ça fera mal ;)[/quote]

Où pas ,comme pour le prix de la viande bovine.

Et je pense que les animalistes vont faire le reste.

edit: sans compter avec avec la pression des citadins d'après covids.

Édité par liteulorce le 07-02-2021 à 11h43



Firenight

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Les chevaux : 1 marché a la dérive ?
Posté le 07/02/2021 à 11h48

En même temps, la typologie des éleveurs à aussi évolué. Avant le cheval était souvent une production annexe à l'activité agricole (sauf pour les courses), on avait donc un modèle économique complètement différent des actuels petits éleveurs mono-production, sans parler des hors-sols où effectivement le coût de production explose.
Quand l'exploitation est basée sur les bovins (lait ou viande) et céréales, le cheval était (est) un à-côté moins couteux qu'un mono exploitant, les charges sont déjà là. Si en plus, y'a un cavalier sur la ferme, ben les coûts de production ne sont pas les mêmes (économie d'échelle).

Édité par firenight le 07-02-2021 à 13h54



Harasstgermain

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Les chevaux : 1 marché a la dérive ?
Posté le 07/02/2021 à 11h49

pcql
Tout à fait d’accord.
On considère qu’il y a moins de naissances avec les chiffres Ifce de 2018, les autres ne sont pas sortis

2019 la descente continue ou peut être au mieux une stabilisation des naissances

2020 le Covid: beaucoup moins de juments à la saillie donc 2021 beaucoup moins de naissances et dans 3 ans un trou sur les jeunes ne permettant même plus le renouvellement des très vieux chevaux que les cavaliers ont gardé
Mais qu’ils ne peuvent plus monter

Le marché (économique) est soumis à la loi de la nature moins de naissances donc moins de chevaux donc chevaux plus chers

Quand aux réformes de courses les prix vont aussi monter du à la demande et au prix de la boucherie qui lui aussi augmente

Si on considère ces éléments, des chevaux pas chers c’est pas dans l’air du temps
La rareté faisant le budget

Les cavaliers vont-ils se tourner vers les réformes de course?
Pas tous...je suis d’accord
Il faut un travail de remise à l’équitation classique
Ce travail se paie aussi
Et les associations qui s’en occupent ne le font pas gratuitement
Ni les clubs
Ni les moniteurs
Alors qui va le faire?

Ce ne sera pas des amateurs non formés dans des centres équestres ou l’animation prime sur l’acquisition des apprentissages techniques

(Je vous entends déjà hurler)

Ni des moniteurs dont le niveau ne cesse de baisser qui seront capables d’utiliser ou de dresser ces chevaux

Les chevaux de loisirs et d’instruction sages et dressés seront rares et chers
Si les clubs prennent le temps de les former ce ne sera pas pour les vendre

De la qualité de leur cavalerie dépendra leur activité et leur survie économique

Je suis d’accord que l’heure de cours à 10 euros
Une idée géniale de la fédération
C’est se tirer une balle dans le pied
On ne vit pas en tirant les prix vers le bas

Alors on fait quoi?
On refait les combats d’arrière garde avec le
« c’était mieux avant ».
On fait comme l’orchestre du Titanic et on joue jusqu’à la fin pendant que le bateau coule

Ou...
Dites-le nous ça fera avancer

Cherchour

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Les chevaux : 1 marché a la dérive ?
Posté le 07/02/2021 à 12h02

J’ai connu deux clubs où effectivement la mono était en charge de bosser les jeunes chevaux d’enseignement ou reprenait ponctuellement les plus vieux pour régler des problèmes. D’ailleurs dans les deux cas les cours étaient d’une grande qualité, la cavalerie aussi.

Dans les autres en principe une fois débourré c’était un bon cavalier niveau galop 7 qui testait, puis c’était « travaillé » en cours par les cavaliers et le cheval passait progressivement sur des niveaux de cours inférieurs en fonction de son caractère et de son évolution.
Et les caractériels pareil ils étaient refilés aux « bons » niveaux quand il y avait un problème à régler.

Du coup passé le galop 5, quand tu veux progresser sur des chevaux d’école ça devient rapidement compliqué dans beaucoup de clubs

Édité par cherchour le 07-02-2021 à 12h02



Utamay

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Posté le 07/02/2021 à 12h17

Je voudrais aussi ajouter que beaucoup de chevaux sont "gentils" tant que tu ne leur demandes rien. S'il s'agit juste de marcher et trotter à la queue-leu-leu, je pense que beaucoup de chevaux un peu mous ou assez conciliants de base vont faire le job.

J'ai connu le même fonctionnement que cherchour : en tant que G5, j'étais comptée dans les bons niveaux, donc j'ai souvenir d'avoir fait cours avec les 5 ans tout frais et les TF tout juste débarqués... J'ai souvenir d'une séance avec une jeune trotteuse par exemple : clairement, ça devait être une de ses premières séances voire la première, on avait fini au grand trot sur la piste du manège et le mono voulait voir si j'arrivais à la faire tomber dans le galop. Pour le coup, on peut dire que c'est une jument qui n'avait pas de travail, qui ne savait "rien" faire (même pas galoper), mais elle n'était pas méchante, je pouvais rester dessus avec mon G5 et faire du travail de base au pas et au trot... Du coup, elle pouvait travailler et payer son avoine.

Par contre, dès qu'on voulait commencer à faire du vrai travail de dressage, on n'avait que 2 ou 3 chevaux assez dressés dans tout l'écurie pour le faire. Quand j'ai commencé à travailler pour mon G6, je montais toujours la même.

Fandada

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Posté le 07/02/2021 à 12h54

Finalement qu'on achète un jeune à former ou un tout prêt, le prix est à peu près équivalent.
Dans le cas du jeune, il y a plus de choix et le coût est étalé. Par contre il faut savoir être patient et attendre ce qu'il faut. Et le résultat risque de ne pas être celui espéré.

Dans le cas du tout prêt c'est simple : on profite tout de suite. Par contre il est plus difficile à trouver et il coûte cher.

Bref, comme souvent l'argent est le nerf de la guerre.

Anemone47

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Posté le 07/02/2021 à 15h43

vaste sujet , avec déjà pas mal d'éléments de réponses évoqués , je pense que le marché du cheval de loisirs est large , mais effectivement là où le bât blesse c'est souvent sur le prix : je ne sais plus qui l'a écrit au-dessus , mais oui élever bien un cheval de loisirs , coûte aussi cher qu'un cheval de sport ! Donc à part le vendre au sevrage ou avant 18 mois , l'éleveur retombe rarement sur ses pieds , encore moins s'il s'agit de le vendre prêt à travailler à 4 ans , puisque la clientèle de loisirs tourne sur un budget d'environ 3000 e grand max ...
La concurrence déjà citée des réformés trotteurs , considérés comme de "parfaits chevaux de loisirs " , sic , qu'on peut acheter pour une bouchée de pain , voire se faire donner , la foule de chevaux cocktails de prés qui fleurissent dans les prés des maquignons provinciaux , ne coûtent rien à élever car sans soins , ne coûtent rien à travailler car placés dans les clubs , (dont c'est parfois une grosse partie du chiffre d'affaire du moniteur à travers la commission de vente ) , sans oublier les chevaux vendus dans l'urgence par des " éleveurs " ponctuels de chevaux de loisirs essorés au bout de 3 ans d'investissement .Bref , des chevaux de loisirs , il y en a à la pelle , partout , à tous les prix , surtout pas chers , mais si on veut rentrer dans un certain nombre de critères : visite d'achat convenable , modèle sérieux , origines un minimum connues et référentes , caractère et éducation pratiques , sans parler en plus de robe particulière ou de race particulière , il faut un budget en adéquation .

Anemone47

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Posté le 07/02/2021 à 15h52


pcql a écrit le 06/02/2021 à 22h32:
Il y a 30 ans, tous les clubs étaient remontés de TF et de PS, et ça allait en amateur ;)
Mais : il y avait de vrais moniteurs, qui classaient au moins en amateur élite (classe C) ou gagnaient en pro ( classe B) avant de passer les tests puis d'aller 1 an à Saumur apprendre le métier. ceux-là savaient acheter un TF de 3 ans, faire les CC ou les CL avec, tourner 1 saison sur 115/120 avant de le mettre au club.
Les actuels BPJEPS formés à la va-vite avec un galop5, comment dire ... c'est déjà beau s'ils arrivent à ne pas dédresser un cheval de 7 ans déjà clefs en main (et pour le coup, c'est du vécu ;) ) , mais alors former de A à Z un jeune : no way ! Et encore moins un PS avec un peu de sang ou un TF qui a besoin d'un travail technique pour lui donner de l'équilibre ;)


Vous occultez une chose pourtant évidente : le trotteur de maintenant n'est plus celui d'il y a 30 ans , dans cette race la pression de sélection donc l'évolution du modèle et des allures est extrêmement forte et rapide , les trotteurs sont de plus en plus hyper-spécialisés dans leur fonction originelle : courir au trot à pleine vitesse sur des pistes fermes plates , et quasi droites .D'autant plus qu'il y a de moins en moins de critères d'aplombs ou de modèle pour faire reproduire , c'est uniquement la perf qui motive , le trotteur sera de plus en plus difficile à rééduquer pour la selle .

Gobi

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Posté le 11/02/2021 à 14h11

Sans compter que les éleveurs qui rêvent du crac produisent des chevaux moyens mais avec des origines vendeuses. En les bradant à pas cher (au regard des origines) ils bénéficient du rêve que vendent les papiers. Cependant ce ne sont pas nécessairement des chevaux de loisir, ils ne sont pas sélectionnés sur lesmêmes critères.


Et dans ce que je lis de vos commentaires, il faudrait encore deux distinctions : le cheval de sport de loisir (pour équitation classique ou club classique) type bon cheval de CSO club et/ou petit amateur (oucce ou dress) mais (et on l'oublie souvent) il y a aussi le bon cheval d'extérieur (qui mérite aussi un vrai travail d'élevage) ou celui qui sera un compagnon idéal pour la famille ...


Et enfin, qui parmi nous peut revendiquer que le prix ne soit pas un desn critères majeur de sélection de produits même si ça doit se faire au détriment des conditions de travail et/ou de rémunération des travailleurs ? Et particulièrement dans le milieu agricole (trop chères les tomates de France à 2 euros le kg...)
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