globs j'y ai eu pensé mais ça ne donnerait rien. Pour l'instant il a été balancé auprès de SA famille et celle-ci est bien prévenue qu'on ne veut plus rien à voir à faire avec eux deux.
Le "Quand est-ce que vous NOUS (...)" on y a eu droit aussi
Mais tu (enfin je dis "tu" mais c'est plus général) vois , ça montre bien ce dont parlait
kasugaii en début de post : tout est imbriqué. C'est une pyramide.
Où tu mets la limite ? Selon les regards, je pourrai être fautive car j'étais habillé très court. Ce qui ne changera pas : mon corps se thermorégule très mal, j'ai besoin d'être découverte et j'aime aussi m'habiller ainsi.
Certains pourraient dire que je n'aurai pas dû répondre et provoquer une escalade. Mais si je n'avais rien dit qu'on pourrait me servir du "Pourquoi tu l'as pas recadré direct ?".
Quant à LA remarque finale, qui passe donc bel et bien outre la notion même de consentement, on la met où la limite ? Sur le compte de l'alcool parce que c'était une blague et qu'il ne faut pas trop en faire, ça arrive ? Et si un jours il passe à un niveau au-dessus, à me faire des réflexions beaucoup plus suggestives* ou à avoir un geste déplacé ?
À quel moment on décide où mettre le STOP envers ces comportements si ce n'est pas dès le début ? On attend une agression physique pour accepter l'idée qu'il y a un problème. Et à ce moment là, on se demande pourquoi la personne n'a rien fait avant
*parce que des remarques qui deviennent très limite au vu de ses paroles, j'en ai eu aussi au cours de la journée. Ça commence par un "Tu es ravissante !", ça termine quand je refuse de faire la bise "Oh ça va, je suis pas ENCORE amoureux de toi !". Isolée, ça passe. Au regard de ses paroles, ça devient malsain.
On attend toujours le smiley qui vomit
peechy
Oui, c'est une technique de self-defense