Les perles sexistes de cheval annonce

pour une fois c'etait je crois egalitaire. Lorsque j'etais encore au UK, un jour en sortant du mon parking pour aller au ecuries, je m'apercois qu'un pneu est crevé. du coup je me gare a cheval sur le trottoir pour ne pas gener la circulation.

Personne ne sait arreté pour demander si besoin d'aide sauf vers la fin. un ambulencier d'origine asiatique qui est passé dans un sens puis á fain demi-tour pour demander. Sympas qu'en-meme. Aucune reflexion juste demandé si j'avais besoin d'aide. J'etais entrain de remettre les boullons.

Je pars dans le hors sujet, excusez moi, je m'en vais après, mais j'ai tiqué fort là dessus : quel est l'intérêt de préciser l'origine de la personne (surtout dans cet exemple, où cela n'apporte rien) ? J'avoue que j'ai trouvé à cela une connotation raciste qui m'a fort dérangé (je n'ai jamais dit que tu étais raciste, je préfère le préciser, qu'il n'y ai pas de malentendu, juste que j'ai tiqué sur cette précision)

Je retourne sous-mariner

J’ai tiqué aussi mais je ne pense pas que c’était dans une intention raciste. Mais je comprends ce qui te gêne aussi, on aurait pas dit “un automobiliste blond m’a aidée” donc qu’est ce que ça apporte son origine ?

A la limite ça aurait été une nationalité réputée pour être serviable (pour moi mon cliché c’est les canadiens sont polis et serviables voilà), ça aurait pu faire sens dans le contexte

lune22140 la culture asiatique dont certaines formes de politesse est très différente de la nôtre.
C'est dans ce sens que je l'ai compris.
Car mentionner une ethnie, une nationalité etc... n'est pas obligatoirement raciste.
Sinon on peut aller jusqu'à dire un être humain, un mammifère voire un être vivant au lieu de dire un homme, une femme , un enfant...

rapide49 j'arrive après la bataille mais je trouve cela très beau et positif ta manière de ne pas présager de l'orientation sexuelle de ton fils !

La notion de coming out m'a toujours laissé extrêmement songeuse ( pour ne pas dire autre chose ) et je trouve cela vraiment top de voir des parents dans cette ouverture d'esprit

ladygodiva "une personne" ? x3

(je ne l'ai pas lu de façon raciste non plus, mais je peux comprendre le malaise)

ladygodiva après “asiatique” ca veut tout et rien dire… oui c’est différent de la culture occidentale mais chaque pays a sa culture et il y a des différences très marquées, comme en Europe

Sur l'homosexualité HxH, on est quand même un pays qui a un gros marché de manga cochon à ce sujet l'Allemagne aussi je crois.
D'ailleurs au Japon les lectrices sont appelées '' fujoshi '' (fille pourrie). Beaucoup de fanservice aussi dans les manga sans romance, et même à une époque (je ne suis plus trop) c'était pas surprenant de voir les gars d'un groupe s'embrasser sur scène. (Et je ne citerai pas Gackt qui n'hésitait pas à aller dans le plus coquin)

Pourtant c'est au Japon ! J'ai toujours trouvé ça hallucinant le fossé entre le divertissement et la '' vraie vie ''.

Voilà instant Q'lture

Les filles par contre c'est plus le côté mignon... Mais là c'est un univers très glauque (les idoles).

badmonster oui il y a des differences et des généralité.
Mais, pour moi, je trouve important de décrire une personne. Ce qui se passe pour la "réécriture" de nombreuses œuvres littéraires me terrifie.
Mais certes, dans le post, une personne (ou quelqu'un) ça peut suffir.

clarousse
C'est important d'être ouvert pour le bon équilibre et épanouissement de son ou ses enfants.
Quand je vois des parents qui tournent le dos à leur enfant parce qu'il rentre pas dans la case qu'ils ont choisi pour lui me dépasse.

rapide49 pareil. Et pour avoir des enfants rejetés, mis à la porte par leurs parents parce qu'ils sont gays dans m9n entourage, quand je vois leur souffrance...pourquoi faire des enfants si c'est pour les jeter comme des kleenex?

badmonster pour la cuisine, j’étais dans ce cas. Je n’ai absolument jamais cuisiné avec ma mère ou mes grands parents (sauf un gâteau épisodique avec ma grand mère), du coup j’étais en panique la première fois que j’ai du me faire des pâtes (vers 12/13 ans je pense), je cherchais le mode d’emploi sur le côté de la boîte… « mais on met combien d’eau ?? Faut mettre autre chose en plus de l’eau pour cuire des pâtes ?? » (on notera que 1) je savais quand même qu’il fallait de l’eau et 2) déjà à l’époque je réfléchissais trop quand y en avait pas besoin), j’ai appelé ma grand mère du coup. Idem la première fois que j’ai du me faire cuire un steak (vers le même âge), je voyais de loin ce qu’il fallait faire (le mettre dans une poêle quoi), mais j’ai quand même du appeler mon grand père…

Toute mon adolescence (déjeuner + assez souvent diner en semaine), j’ai tourné aux pâtes/steaks/repas préparés par maman et congelés (mais la cuisine ça n’a jamais été son truc). C’est que quand j’ai eu mon appart et que je faisais donc mes propres courses que je me suis aventurée vers des trucs un peu « exotiques », genre des conserves de légumes

Mais du coup oui, je trouve que c’est vraiment chaud et pas du tout rendre service aux enfants… étant ado ça m’aurait soulée de devoir participer à la cuisine/ménage/vaisselle (mais si on m’y avait mise plus jeune ça serait sûrement devenu une habitude et ok), mais je serais retrouvée moins perdue quand c’est devenu à moi de tout faire du jour au lendemain…

clarousse j'ai utilisé mon compte Instagram pour faire mon coming-out à ma famille, le 17 mai. On sait jamais

tekesuta
Ce n'est pas comparable pour la même raison. On parle de deux cultures différentes et d'industries qui le sont tout autant. Si les mangas se sont fait une jolie place en Europe, l'industrie du JV et du cinéma (surtout américain) a un poids monstrueux.
Mais ils ne deviennent pas plus inclusif pour faire les bons samaritains, on est d'accord. C'est juste parce que ça leur ramène un public dont ils oubliaient l'existence et donc la manne financière que ça représente

badmonster
Oh j'ai eu un pote qui savait pas non plus qu'il fallait mettre de l'eau avec les pâtes. Ça cuisait pas très bien, apparemment.

ladygodiva

Mon meilleur amis est homo, et quand j'étais ado et jeune adulte je ne me rendais pas compte à quel point les homosexuels pouvaient souffrir, jusqu'à ce que M. m'appelle en pleine nuit et me dise "si je te dis que je suis homo qu'est ce que tu me dis ?", je lui ai juste répondu que ça ne changeait rien que je l'aime toujours et que tant qu'il était heureux et bien j'étais heureuse pour lui.
On s'est connu on avait 13 ans et il me l'a avouer on en avait 25 (perso je l'ai toujours su, mais on n'en parlait pas).
Et le lendemain quand il m'a rappelé, j'ai compris à quel point ça devait être dur et terrible de vivre cette peur du rejet, parce qu'il m'a dit maintenant que t'es au courant et que tu m'aimes toujours je vais pouvoir essayer de le dire à ma famille, au pire je sais que toi tu seras toujours là.
Ca m'a tellement fait mal pour lui, et depuis ça me "hante" de me dire que des gens peuvent rejeter leurs enfants, leur petits enfants pour ça, c'est vraiment un truc que je n'arrive pas à comprendre.

ladygodiva c’est juste que dans le contexte l’info n’apportait pas forcément grand chose :)

Mais sinon je suis d’accord avec toi, je suis choquée de certaines re écritures. Une remise dans le contexte de l’époque, oui bien sûr, mais on ne peut pas nier le passé