@guppy13 si seulement je pouvais trouver des prés et gérer moi mais déjà j ai pas le temps entre le boulot et ma fille, et les prix sont super chers (haute Savoie).
mimidada
Honnêtement, quand je vois que c'est "trop compliqué" de nourrir un cheval sur 2 en stabulation, une 2ème fois/jour....

(mon gérant arrive à nourrir un ou 2 cheval par pré, parmi d'autres qu'il ne faut surtout pas complémenter => juste une question d'organisation pour ne pas perdre trop de temps, sachant qu'une fois routinés, tous les chevaux suivent l'organisation)
Même si tu es super prise, gérer un pré en location, c'est du boulot, surtout au début quand il faut investir, réparer, faire, s'organiser, mais la charge mentale "pension" baisse ++++.
Perso, c'était de devoir s'inquiéter de ce que ne faisait plus, la pension qui met une grosse charge, qui se transforme en ras le bol. Et de rester sur le qui-vive de ce que la pension défaillante pouvait aussi inventer à ne plus faire. Car moi, je suis partie assez rapidement, entre le 1er couac et le départ effectif. Mais les autres qui ont un peu traîné/hésité, ont eu droit à des frais vétos (coliques car chevaux pas nourris régulièrement, ni sortis comme prévu)
Parce que là, dans sa pension actuelle, même si je dois jongler avec la vie habituelle + prix de l'essence, etc pour y aller tous les jours pendant x temps, car il faut aider le gérant à faire des piqûres ou faire des soins quotidiens (mon cheval ne se laisse pas facilement attraper), ça ne me pèse pas.
Je n'ai rien à surveiller, si urgence/problème, je suis prévenue, bref, ça roule. Pour te dire, pendant le 1er confinement, j'avais l'esprit tranquille. Pourtant, je n'avais aucune nouvelle, mais avec mon gérant, c'est vraiment "pas de nouvelle = bonne nouvelle".