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elle a bien précisé qu’elle ne savait pas si c’était possible, qu’elle cherchait juste une solution parce que c’est méga dangereux, pour elle comme pour les autres chevaux. Et personnellement je comprends qu’on cherche un moyen de changer quelque chose quand on a peur de se prendre le sabot de son cheval dans la tête de manière totalement imprévisible. En Normandie je n’ai jamais vu de mouches plates, juste des taons, et on n’a jamais eu de chevaux dangereux à cause de ça. Et franchement, un cheval qui tape à tout va comme décrit par l’auteur sans qu’on puisse l’anticiper (au point que les autres chevaux ne veulent plus s’en approcher quand même), bah perso je sais même pas si j’aurais encore envie de m’en approcher. Je reste persuadée que même par réflexe et dans la douleur, on peut avoir justement le « réflexe » de diriger son énervement ailleurs que sur quelqu’un. Un exemple tout bête (qui certes n’inclut pas la douleur) : plus jeune j’avais ultra peur des guêpes, si j’en voyais une je bondissais direct à l’opposé sans réfléchir. Mais c’est pas pour autant que j’allais balancer mon point dans la figure de mon voisin, je restais quasi inconsciemment respectueuse de l’espace des autres (par contre me manger un mur ou un poteau ca m’est surement arrivé, je fais attention aux personnes autour mais pas les objets). Et pourtant une phobie ça doit pas se contrôler beaucoup plus que la douleur.
et l'idée est là. S'il rétive davantage au port de la couverture qu'aux mouches c'est OK, tu lui mets pas, il se gère tout seul et c'est parfait pour lui comme pour toi
Mais pour autant, et après bientôt 11 ans à avoir mes chevaux et les gérer moi même, je peux affirmer que de l'aide extérieure, mesurément utilisée et adaptée au cas par cas à son pesant de confort nécessaire !
