Et cette année il avait justement piscine. Il était à priori dans les plus déluré. J'étais ravie. Et j'ai zailleurs refusé d'accompagner parceque je pense qu'il serait resté "dans mes jupes" j'aimerais bien qu'il.prenne des cours de natation mais pour le moment il refuse comme tout truc nouveau...
Le fils de mon conjoint est un peu comme ça et c'est vraiment compliqué. Quand tu es parent tu est coincé entre forcer la main et risquer de braquer et de bloquer encore plus. Lui n'a jamais voulu apprendre à faire du vélo par exemple, par contre il a fait de la natation et il est à l'aise y compris avec les vagues à la mer. Mais il reste très craintif de la nouveauté. Il s'est dépassé à Disneyland en faisant space mountain et le grand 8 de Marvel, peut-être parce qu'il m'a vue le faire avant alors que j'étais terrorisée.
Il est ado alors c'est plus difficile de franchir des limites, physiques, alimentaires, ou encore mentales, que quand tu es petit. Son rapport au collège est compliqué aussi, pourtant il est excellent élève, avec très peu de travail. La question est de savoir s'il arrivera à trouver son compte au lycée, personne ne le sait pas même lui.
Tu lui rends service pour plus tard là c'est sûr, en le poussant sur des blocages. Ca te donnera à minima une meilleure perception de la limite à ne pas franchir, surtout quand il va être plus grand. L'estime de soi, je ne sais pas si elle est influencée par cette approche, je suis moins sûre, et je ne sais pas s'il y a une solution tellement c'est ancré. C'est toujours très bien d'entendre de l'encouragement, du positif, et "je suis fier(e)" de toi (mon père il m'avait dit ça pour la première fois j'étais en licence... gloups). Après quand on a la confiance en berne, on cherche aussi le retour positif de ses pairs et c'est là que c'est dur.