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Dresseurs cinglés
Posté le 27/12/2023 à 20h49
Hello!
Le 24 au soir nous avons fait un repas avec mes soeurs, et nos maris/conjoints. C'était cool, on était fatigué mais c'était bien sympa.
Le dimanche a été un peu différent.
Une semaine auparavant, la mère de mon conjoint et son ex (oui oui) se sont écharpées car nous on avait un truc avec mes soeurs le 24 au soir, et les enfants devaient être avec leur mère le 25.
La grand-mère a donc ch*ié un tank à la mère parce qu'elle ne verrait les enfants ni le 24 au soir ni le 25 midi.
Il restait encore le 25 au soir, ça se serait fait facile mais non.
Du coup, on a dû changer les plans, faire le 24 au soir avec mes soeurs sans les enfants et le 25 midi avec la GM, le tout pour JC sous le feu d'interminables critiques rabaissantes et humiliantes de sa connasse d'ex (qui fonctionne exactement comme un pervers narcissique au féminin avec lui et avec les enfants... le plus jeune n'en peut plus, mais elle pense qu'il lui faut un psy et des antidépresseurs mais au secours!!!)
Toujours aussi crevés car on sort à peine de la période 2 d'école, on s'attèle donc le dimanche matin à préparer un repas pour 5 (nous, les enfants, la GM), tout en nettoyant au passage la maison. Et à 10h30, nous apprenons par message que le neveu de JC, qui n'était pas convié (il crèche chez la GM, est odieux avec elle, et n'a ni ne veut aucun contact avec nous), sera là, pour ne pas être tout seul.
Ben j'ai vrillé.
J'ai dit à JC qui j'allais lui montrer ce que c'était que dire non, et je me suis barrée avec un petit sac au cas où l'envie de revenir ne me viendrait pas tout de suite). Je souhaitais faire un électrochoc, car je le vois ployer d'année en année sous la pression les injonctions et des reproches gratuits et non fondés, sans se rebeller et en acceptant de se faire accuser de tous les maux. C'est une vraie emprise, et les enfants fonctionnent pareil.
Je trouve ça dingue.
Depuis des années je ne supporte plus de pression familiale pour de choses aussi anodines que des repas, et je me donne le droit de décider à qui, dans ma famille, j'accorde ou non du crédit. J'ai appliqué la même logique. Je ne voulais pas ce con de nerveux qui suce la couenne de la GM qui se laisse faire, tout en ne donnant aucun signe d'amabilité aux autres. Je n'allais pas cuisiner pour lui!
Je suis rentrée le soir après la fin des "festivités", et après avoir passé une bonne partie de la journée avec mes belles juments rassérénantes.
Je pense que JC doit parler de tout ça à qqn.