| | et pour en revenir au sujet principal, malheureusement je le vois mal barré.... je travaille mon cheval comme je peux, j ai toutes les peines du monde à trouver un enseignant qui n encapuchonne pas les chevaux de sa carriere, et je me fais traiter de randonneuse par les proprios de ces memes chevaux... Une contre..... 30? mais tant pis je tiens bon, et j essaie d expliquer, en vain.... ils tournent pour la plupart en CSO ( sur des series ridicules) mais travaillent en dressage des chevaux coincés, sur les épaules et ils trouvent ça beau... |
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"Je me fais traiter de randonneuse"
Mais les randonneurs ne sont pas forcement des abrutis incultes ?
Moi, c'est mon but, grosso modo : dressage l'hiver, longe, jeux liberté et l'été : dehors !!! (enfin, surtout dehors, à "l'aventure")
J'ai aussi entendu à plusieurs reprises dire d'un cheval "dressage" qu'il ne pouvait pas aller en extérieur :
il "refusait énergiquement" "ne supportait pas"
Alors, si c'est si "facile" d'être randonneur, pourquoi une partie des chevaux de dressage n'est pas capable de faire un acte aussi naturel que se promener rênes longues au pas dans un sentier dégagé ????
Et rênes longues... Au pas, au trot, au galop, ou bien "au travail", rênes ajustées, à chercher à être droit, à travailler les déplacements latéraux .........
En ce qui concerne les positions "courageuses", oui, on est souvent très seuls. Par exemple, j'ai choisi le parage plutôt que le ferrage (heureux pieds nus !!!) ... C'est quasi une croisade !
Et je pense que d'ici un mois je vais monter mon Apaloosa en licol éthologique en promenade : dans ma ferme équestre, ça va faire scandale ...
Et je continuerai de le monter avec ma monitrice en filet pour le dressage, comme cela, j'aurai "tout le monde " à dos ....