J'ai mis plusieurs jours à lire les 139 pages, mais je voulais rien rater ! Au milieu de toutes les taquineries, il y avait plein d’informations très intéressantes. Du reste, j’ai maintenant l’impression de vous connaître un peu !
Pour les études d’infirmières, c’est une réorientation qui n’en ai pas une… Je suis secrétaire médicale, et je travaille dans un hôpital. Si j’avais pu, je me serais sûrement orientée directement sur les études d’infirmières, mais j’avais un très gros handicap : la phobie des aiguilles. Mais après qu’on m’ai découvert une maladie qui a nécessité de nombreuses prises de sang, je me suis décidée à faire quelque chose contre cette phobie, car ça devenait l’enfer. J’ai donc fait de l’hypnose, et là, miracle, en 4 séances, j’ai pu faire une prise de sang en regardant du début à la fin ce que me faisait l’infirmière, et sans trembler, sans pleurer, sans boule au ventre, rien… c’était tout simplement incroyable pour moi. Du coup, plus rien ne s’opposait à ce que je fasse ce dont j’avais toujours rêver : devenir infirmière. Alors j’ai passé le concours, j’ai eu l’écrit, l’oral est le 12 mai (on croise les doigts pour moi s’il vous plait).
Et là, ça m’ouvre des perspectives que je ne pouvais même pas envisager avant. L’équithérapie me permettrait d’allier 2 de mes passions, les chevaux et l’aide aux autres.
Pour le sans mords, je suis sûre que c’est mon éducation qui est à refaire. Je suis montée une fois en Hack (longues branches par contre) sur un cheval qui avait la commissure blessée et ne pouvait plus avoir de mord et j’ai trouvé ça très confortable. Mais par contre, c’était pas du tout adapté à un travail de dressage (ce qui nous était demandé au club : cherchez l’erreur…). Comme tu dis Sueño, c’est une question d’apprentissage pour le cheval comme pour le cavalier, quand je pourrais m’y mettre, toutes mes appréhensions devraient s’envoler.
erell29 a écrit le 29/04/2010 à 15h22: |
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Si pour moi un jour, il y'a une aide par les chevaux elle se symbolisera par des contacts au sol (rien à voir avec du travail à pied). Et surtout du vécu ensemble.
Pour moi, ce n'est pas monter sur le dos du cheval qui aidera le gamin à se sentir mieux. C'est son contact. Le toucher, l'échange, la chaleur, la tendresse... et toute les choses qui passent entre eux et qui passent à milles lieux au dessus de nos têtes !
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Je suis d'accord avec toi pour cet aspect. Du reste, et surtout pour les handicaps mentaux, c'est le contact à pieds qui est privilégié, d'après ce que j'ai pu voir. Mais je suis sure qu'on peut arriver à allier les 2 : complicité avec le cheval et monte.
Du reste je veux, de mon coté, continuer à monter.
Je suis un peu contradictoire dans toutes mes reflexions

mais c'est pas facile de remettre en cause 20 ans de bourrage de crane ! (merci Menudo de ton soutien !)
En tout cas, ce post est une mine d'or pour moi, ça m'aide beaucoup à démarer cette remise en question.