physis On est d'accord, en tout cas j'ai trouvé et je trouve dans l'acte du tatouage quelque chose de sécurisant, qui me permet d'apprécier mes épreuves de vie, mes plaies, mes rencontres, mes évènements. A l'époque, j'ai violemment meurtri mon corps pour marquer ma souffrance psychologique. Aujourd'hui, c'est l'inverse : je décors mon corps pour marquer l'acceptation, l'aller de l'avant, le bonheur, l'amour des rencontres, le plaisirs des passions...
Non pas qu'il ne soit pas heureux pour moi. Mais plutôt que pour lui, le tatouage n'est, de son point de vue, qu'une "passion artistique". En gros, comme le tatouage n'est pas ma passion, il ne comprend pas pourquoi est-ce que je me tournerais vers ça pour "aller bien, aller mieux, m'aimer, me faire plaisir" alors que je pourrais me balader à cheval en écrivant de manière parfaitement romancée ma vie, mes émotions. Je caricature, mais voilà.
Mon premier (et unique pour le moment) tatouage, je l'ai moi-même pensé, réfléchi, dessiné, et je l'aime d'amour. Et comme c'est mon dessin, il peut comprendre. Mais que là, j'ai flashé sur un flash et que j'ai demandé à le modifier pour le faire en manchette, il tilte pas trop. Il ne comprend pas trop comment le dessin de quelqu'un, présenté comme un flash "au premier qui arrive", puisse avoir un effet thérapeutique sur moi.
je suis pas claire, désolée