|  | La fourchette doit amortir, pas soutenir c'est ça que je veux dire, il ne doit pas uniquement s'appuyer sur la fourchette, mais sur l'ongle qu'il a autour, le fer évite donc l'usure de cette pour protéger la totalité de la face externe du pied.
La partie du sabot qui repose sur le sol est nommée surface plantaire. Elle est concave et ouverte vers l'arrière. Son pourtour est formé par la partie inférieure de la paroi, qui constitue la surface réellement portante du pied.
Une usure trop importante de la corne induit une douleur, qui à terme, provoque des boiteries. Dans ce cas, les équidés recherchent spontanément les sols plus tendres et minimisent leurs déplacements, diminuant ainsi l'usure.
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Pour amortir quelques chose, il faut quand même qu'il y est un contact. C'est physique.
Le soutiens ce fait principalement par la paroi du sabot
La fourchette, c'est comme les coussinet des chiens et chat. Ca a pour role d'amortir, alors si on suit ton raisonnement, comme ca ne doit pas soutenir, on va mettre des fers au chien et chat
en gras: ok alors on va faire une comparaison avec les pieds des humains. On est en hiver, on a tous passer notre temps dans des chaussure confortable avec des grosses chaussette, et a la maison on avait presque tous des pantoufles au pied.
Les beaux jours reviennent, on met des sandales et on recommence a marcher pied nu dans la maison.
Au début on sent la moindre asperité, et la sangle de la tong entre les orteille est un peud oloureuse, doc on evite des les porter H24 et on choisit le type de sol ou l'on pose nos petons.
Mais 1 mois après,on peut porter H24 nos tong sans ressentir aucune douleur, on peut marcher pied nu dans la maison sans être gener par les asperité et on peu aussi marcher dehors (sur du bitumes, dans de l'herbe) sans être sensible des pieds, tout simplement parce que notre peau c'est épaissis et de la corne c'est formé pour proteger nos petons.
C'est la même chose avec le cheval, l'usure prématuré de la corne est du a un travail inadapté sur un sol inadapté avec une adaptation inadapté, donc des "cavalier" ignorants des besoins réelles du cheval