Rifana PS, Anton Frison P7 nouvel ecrit

Toujours besoin, personne ne veut de DP

Up

Toujours en recherche de la perle rare

Je vais tout de même continuer à faire des compte rendu de mes monte sur Rifana mais également d'Anton Frison de 16 ans.

Je vais dans un premier temps vous raconter ma rencontre avec Rifana.

Pour vous situer un peu, je monte depuis l'âge de 15 ans et pour moi être propriétaire était un rêve qui de pouvait se réaliser que lors de ma deuxième vie, entendez par là la retraite. Vivant en RP les pensions étant exorbitante, je ne me voyais pas acheter un cheval dans ces conditions. La vie nous réserve bien des surprise.
En 2010 avec mon homme nous décidons de quitter la RP, pas dans n'importe qu'elle condition, je trouve d'abord un emploi dans un rayon de 300km de Paris et de la Vendée (lieu de résidence de ma mère qui avance en âge). Travail trouvé en Sarthe, location trouvée, plus qu'à trouver le Centre Equestre idéal, j'en fait un premier qui ne me conviens qu'à moitié, donc recherche d'un second, bingo c'est le bon (deux fois, vous serez plus tard pour qu'elle raison) ce sera à Vibraye. Les cours sont agréable, une fois obstacle, ils ont même réussi à étancher ma peur, deux fois plat qui me conviens mieux.
Au détour d'une conversation avec B. alors directeur du centre, celui-ci me dit qu'il serai bête d'attendre pour l'achat d'un cheval, que les pensions pré à 160?dans la région font légion.
Me voilà à rêver d'un cheval, de regarder les annonces de vente, je tombe en pamoison devant une jument de 7 ans alors qui ne paie pas de mine, j'en parle à mon conjoint qui prend rendez-vous pour la rencontrer et nous voilà parti un samedi matin.
La rencontre avec la belle fût comme je l'espérai, en selle pas de vice, mais maigre
Ni une ni deux, et sans visite véto (pas bien ) l'homme rempli l'acte de vente et m'achète, oui m'achète mon PREMIER CHEVAL S'en suivi la recherche d'une pension, pourquoi faire simple lorsque l'on peut faire compliqué, vous comprendrez plus tard, à moins que cela ne soit déjà fait. Je trouvais mon bonheur à 5mn de la maison, dans un premier temps, les installations étaient inexistantes, puis je vis l'écurie se monter, le manège et enfin la carrière le tout sur 2 ans. Le transport se fera 1 mois plus tard par un transporteur.
La suite vous la connaissez un peu, surtout si vous avez remontez le post. Depuis 2013 nous sommes passées par des hauts et des bas mais rien de bien dramatique, je prends des cours particulier avec une monitrice qui officie également à Vibraye. Rifana reste tout de même une pisseuse qui est encore capable de me faire patienter une heure pour que je puisse l'attraper, ce malgré que je passe la voir sans pour autant la monter ou la panser, juste remplir son bac d'eau et lui donner granulés ou pommes.

Passons à Anton. C'est mon homme qui l'a rencontré le premier en faisant des transports pour des clients du Haras du Graffard ou pour eux même. Faut dire que le paddock de Totone est près de la maison des proprios du Haras et hennit dés qu'un humain passe, cela à suffit à mon homme pour être sous le charme.

Un matin mon homme me demande si je veux l'accompagner, toujours heureuse de le faire j'accepte, je me prépare en conséquence et en voiture Simone, plutôt en camion
Arrivée au Haras, mon homme m'emmène direct vers Anton me demande ce que j'en pense, comment de pas tomber amoureuse de cette gravure, le proprio me propose de le monter, j'ai pas de bombe, qu'a cela ne tienne il m'en prête une et me voilà sur le dos de cette grande bête majestueuse. Quels que tour au pas, puis au trot, enfin au galop où J avare de compliment dit que ma demande est efficace pas très académique mais efficace. Là encore ni une ni deux mon homme signe le contrat d'achat? La encore sans visite d'achat Une semaine plus tard mon homme fera le transport jusqu'aux écuries. Cela se passait en 2013. Depuis mon homme nous a quitté suite à un cancer, Anton devait être son cheval pour nous accompagner en balade, malheureusement cela ne put jamais se faire, je le regrette vraiment.

Avec Anton les cours, particulier également, les balades, lorsqu'il y en a eu, sont un vrai régal avec lui tout est simple, alors que si compliqué avec Rifana

Fin novembre nous allons quittez cette pension que nous avons monter, grandir, puis péricliter. Nous allons nous retrouvez à mon point de départ, vous le voyez le pourquoi faire simple quand on peu faire compliqué à savoir le Centre Equeste La Bellonière à Vibraye.

Je compte remonter vendredi, après une pause forcé de 15 jours, je vous narrerez donc ma remise en selle et sur quel équidé à la suite

Comme prévu aujourd'hui je me remets en selle. 9h30 départ sous le brouillard, les chevaux sont à peine visible sous cette brume mais c'est très joli. Je prépare mes affaires et me voilà dans le pré de Rifana, qui en bonne poufiasse, ne se laisse pas attraper, pommes, bonbons, seau de granulé rien n'y fait. En désespoir de cause je vais chercher Anton, en espérant que celui-ci m'aide à l'attraper, mais fine mouche Rifana ne se laisse pas prendre au piège. Je prends donc la décision de monter Anton, pour une petite détente aux trois allures et aux deux mains, avec dans l'idée de monter Rifana dans la foulée (et oui je ne lâche pas l'affaire), là encore choux blanc Pour me calmer je range les affaire d'Anton et fait le tri dans mon barda pour emmener le stric nécessaire à la nouvelle pension. Je retourne une dernière fois essayer d'attraper la miss mais rien à faire Je reviendrai demain, mais là je suis dépitée. Ne me dite pas qu'il faut venir la voir sans forcément la monter c'est que j'ai fait tout cet hiver lorsque je venais tous les soirs la nourrir et tous les soir depuis juin pour lui mettre de l'eau donc cela n'a rien à voir c'est une chieuse et puis c'est tout

La monte sur Anton fût un régal, lui est égal à lui même zen dans sa tête

Alors parce que je suis têtu comme une mule, une bretonne, une béarnais, une ch'timi, une rémoise, faite votre choix Après avoir été au club où vont atterrir les loulous, vu Camille la propriétaire, Claire la mono, qui est accessoirement ma mono, je suis retournée aux écuries, comme dit ma mère quand j'ai quelque chose dans la tête je ne l'ai pas ailleurs, pour rattraper la princesse. Il est évident qu'elle ne s'est pas laissé attrapée comme cela, elle a galopé beaucoup et un coup elle a entendu le moteur d'une voiture c'est arrêté, et laissé attrapé Je l'ai donc monté et ai travaillé, l'incurvation sur le cercle aux deux mains, au pas et au trop, ensuite épaule en dedans, au deux mains au pas et au trot. Nous avons également travaillé les cession à la jambe au deux mains, au pas et au trot, a la fin de la cession au trot départ au galop cercle en A que l'on déplace en B ou E selon la main que l'on déplace en C. J'ai également travaillé la reprise de dressage club 3, le 8 janvier au club, il y a un concours je pense m'y inscrire avec les deux. Je fini sur du trot rênes longues. Une Rifana ma fois très à l'écoute

Après ma course poursuite de samedi aujourd'hui c'est du gâteau.

J'arrive au pré, j'appelle Anton, il hennit viens vers moi se laisse attraper un vrai nounours Au pansage égale à lui même rien ne le perturbe, même moi qui fait des photos
Les choses sérieuse commence, non pas tout à fait car une fois à cheval je m'aperçois que je n'ai pas mis mes chaps, donc je redescends les mets. De retour au montoir, Anton trouve que je lui ai fait une mauvais blague donc il me le fait savoir, je me fâche et peu remonter sur son dos.
Nous commençons par faire des cercle au pas au deux mains, puis contre incurvations sur le cercle toujours au pas pour finir par faire des 8 de chiffre dans la largeur, toujours au pas. Passage au trot et nous faisons les même exercices. Cette fois-ci sur un grand cercle nous faisons des transitions montantes et descendantes, ce qui est un peu plus difficile pour moi et lui mais nous y arrivons, nous déplaçons le cercle dans la carrière pour continuer l'exercice sur ces nouveaux cercles. Nous repassons au pas petite pause pour lui et moi, pour pouvoir travailler le galop, départ au galop à gauche, toujours un peu difficile pour moi de trouver ma place de ce côté

Je continue, nous somme donc au galop grand cercle entre B et E, nous déplaçons le cercle en A, sur le cercle passage au trot à un point donné, reprendre le galop à un point donné également le tout au deux mains. Bous repassons au pas pour travailler les déplacements dans la largeur et reprise à main droite ou gauche au choix, ensuite nous travaillons l'allongement au pas sur la piste puis en diagonal, au deux mains et ensuite même travail au trot. Nous reprenons le galop pour travailler les transitions descendantes sur la diagonale et au deux main. nous finissons sur des transitions trot pas trot sur la ligne du milieu, en gardant un cheval droit, puis fin de la reprise sur la ligne du milieu trot pas arrêt.
Comme un concours de dressage est prévu le 8 Janvier au club où ils vont déménager, nous prenons la décision, ma mono et moi de le faire avec les deux. An ton en club 3, car l'on peut la faire au trot enlevé, le trot assis sur Anton c'est pas cela, et club2 pour Rifana.
Ma mono m'a expliqué qu'avec Anton, demandé à la lettre c'est simple l'on demande il donne, mais qu'avec Rifana c'est une autre pair de manche puisqu'il faut demander poliment, y mettre les formes pour que mademoiselle la princesse veuille bien donner et sans avoir la tête au vent.
Une fois m'être occuper du grand, pansage, papouilles et pomme, j'ai grugé la belette. En effet j'ai mis ma voiture là où je la mets quand je n'ai pas l'intention de monté, longe de licol autour de la taille, pomme en main et me voilà dans le pré à l'appelé la féliciter et lui mettre la longe autour de l'encolure l'emmener sur l'air de pansage et ni vu ni connu, mademoiselle a eu droit à un pansage gratuit

Prochaine monte mardi sur Anton, prochain cours mercredi sur Rifana