Je vais essayer de détailler un petit peu, même si je n'ai pas le compte-rendu encore, et essayer de répondre à vos questions.
Pour la visite, elle a d'abord regardé comment il marchait sur sol dur, fait trotter, testé la flexion. Elle n'a pas mis longtemps pour dire qu'il y avait un vrai souci. Elle a aussi fait deux radios de l'antérieur, et on a vu des traces légères d'arthrose sur la 2ème phalange, ainsi qu'un mauvais équilibre au niveau des cartilages entre les phalanges.
Ce n'est pas le plus grave, car c'est le tout début, et avec un bon parage cela devrait aider. Elle connait et travaille avec mon maréchal, qu'elle estime et qui aime bosser sur radios, donc pour ça ne ne me fait pas (trop) de souci.
Le véritable problème c'est son dos. Quand elle a vu son état, ça ne l'a pas étonné.
On a discuté des différents traitements possibles, et elle m'a expliqué ce qui était possible et pertinent selon elle. La première étape, c'est la mésothérapie. Injection cutanée par des dizaines d'aiguilles de produits, corticoïdes et anesthésiant si je me souviens bien. C'est pas trop dosé, mais ça permet surtout de complètement décontracter les muscles, car sinon, ils resteront bloqué, et il continuera à souffrir.
Selon sa réaction à la méso, on avisera. Il se peut que ça le décrispe totalement, et à ce moment-là, on reprendra une activité normale ; ça peut aussi n'avoir aucun effet. Voire, carrément révéler une énorme boiterie.
Semaine de repos donc et puis on avisera ensuite. J'ai appelé le maréchal, de toute façon il fallait qu'il passe.
L'arpago & assimilés, je lui en ai parlé, et clairement elle ne me recommande pas. Elle me dit que comme l'équipalazone, ça masque la douleur, donc le cheval ne sait plus... et nous, on ne voit pas non plus.
Elle ne le conseille qu'en cas de crise marquée, et à ce moment-là, c'est repos repos repos.
Pour la suite, si on arrive à trouver le bon traitement, et je croise les doigts très fort pour que la méso fonctionne, il faudra continuer le travail que l'on fait aujourd'hui. Au contraire, il faut qu'il se muscle et que l'entretien soit régulier. Donc notre moyenne de sorties et le travail que l'on fait est tout à fait bien, selon elle. Ça c'est la bonne nouvelle, je n'ai pas fait n'importe quoi.
Pour la petite histoire, la méso ça fait mal (y'a vraiment beaucoup de lignes d'aiguilles), donc elle sédate le cheval. Elle lui a mis une dose normal, et Simbad... bah c'est mon tank. Au lieu de s'endormir à l'attache (son comportement habituel), il s'est mis à faire le fier, tirer sur sa longe, narguer la véto, taper le sol... Un vrai petit couillon...
Du coup il a eu une double dose, et là, ça l'a calmé... J'ai pu lui faire des tonnes de papouilles, sans qu'il puisse s'échapper.
Le boulot, les compléments, le cadre de vie, tout va. Et ça ça fait du bien au moral. Ça fait du bien aussi d'avoir un diagnostic et d'être pris en main.
C'était pas si compliqué que ça, l'arthrose, plein de chevaux (et d'humains) en souffrent... mais fallait le bon œil.
Merci
de 24 ans et il y a aussi Monsieur Galou 29 ans qui leurs tient compagnie et fait quelques sorties en longe également. En septembre 2020, Julie et Luna ont été diagnostiquées cushing. Elles sont sous traitement toutes les deux. 
C'est le seul moment de la journée ou on a un peu de temps, mais c'est aussi le moment ou les T° grimpent et deviennent 
, soleil brulant. 
. Il a un peu hennit , est venu me voir mais niet pour que je le touche . 
. Tête comprise , un vrai moment de détente . 
. 
L'auteur de ce sujet l'a marqué par des "Post-It".
