| mira74 a écrit le 07/03/2012 à 17h18: |
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On ne sait pas très bien compris alors.
Je ne suis pas de cet avis, pour moi on a pas de distinction à faire entre un cheval de trait né pour mourir et un pur sang ou trotteur qui part au couteau. Mais en même temps, je ne suis végétarienne, donc je considère que tous les animaux sont des êtres vivants qui souffrent (que ce soit cheval de trait ou de sang, mais même un veau ou un poisson) et à partir de là, je ne conçois pas que nous, les hommes, nous nous considérons comme supérieur si nous continuons d'infliger autant de souffrance alors que des alternatives existent. Du moins, on pourrait, si on le voulait diminuer la souffrance des animaux lors du transport et de l'abattage, mais ça c'est une question de rentabilité... |
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Et pourtant, c'est sacrément différent.
Le cheval de trait (elevé pour la viande) nait en troupeau et vivant le plus souvent dans de grands espaces.
Le trotteur lui travaille, donne tous ce qu'il a (meme des fois plus) et pour tout remerciement, il est comdamné a mort.
Tout comme le vieux papi du CE du coin qui trop vieux ou boiteux est envoyé au premier camion.
Etre ou non VG n'a rien a voir las dedans (d'ailleurs je le souligne de nouveau, etre vegetarien(ne) deplace le problème mais ne le solutionne pas.
Je ne suis pas végétarienne (mais je ne mange pas de cheval), j'en suis a mon deuxième sauvetage, le trotteur qui ayant trop donné (tendons des antérieurs flingués) etait promis au camion et demi-trait (moitié percheronne) elevé exprès pour la viande et dont le destin etait tracé depuis la naissance.
Avant de jeter la pierre, combien en avez-vous sauver des chevaux partant au couteau ?