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Des cavalier(e)s de dressage ?
Posté le 25/08/2025 à 16h40
Allez, installez-vous confortablement, petit pavé en vue, voici un petit compte rendu de notre
Stage simulateur équestre et fonctionnement du cavalier.
Nous étions 8 à 10 chaque jour moi et notre monitrice avons fait les deux jours, les autres ont fait une seule journée. Le programme était de 30 minutes de simulateur le matin, avec des cours d’1h de mise en pratique à cheval l’après-midi, cours à 2 ou 3 suivant les niveaux et attentes.
Et, Étant le moins dormeur et le plus matinal du club, c’est encore moi qui ait ouvert le bal les deux jours.
On commence par une ou deux minutes à chaque allure pour que je m’approprie les sensations du fonctionnement du simulateur, et en même temps l’intervenante pouvait commencer à analyser mon fonctionnement.
Ensuite, on commence le travail au pas, elle me fait raccourcir d’un trou mes étriers, je n’avais pas les talons suffisamment sous la verticale du buste, de pas grand chose mais ça changera beaucoup de choses et c’était apparemment bien plus net sur le simulateur que sur Elvis. Ce petit ajustement m’a redonné un peu plus de marge dans l’articulation de la cheville particulièrement, mais du genou aussi, elle s’est rendu compte que mes chevilles n’avaient pas l’habitude de fonctionner suffisamment et elle m’a donc fait des exercices sans étriers, reculer le bas de jambes et remonter / baisser les pointes de pieds, avant de refaire avec les étrier. Juste grâce à ça, et aux trois allures, j’avais déjà les épaules beaucoup plus déliées.
J’ai eu droit à d’autres exercices aussi pour travailler l’équilibre, pour arriver à ce qu’aux trois allures et dans toutes les situations si possible la tête reste parfaitement de niveau.
N’ayant pas de soucis majeur au pas et au trot, on a fini sur le galop.
Déjà, ça a bien confirmé que, même sur un cheval mécanique totalement neutre, j’ai bien la hanche gauche qui a beaucoup de mal à suivre.
Ce qui était bien, c’est que nous utilisions nos propres selles, ou alors la selle elle qui allait être utilisée à cheval l’après-midi.
J’ai laissé ma place là-dessus, déjà pas mal rincé quand même, ce ne sont « que » 30 minutes, mais sans pause si on encaisse.
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Après notre petit barbecue, je me suis fait guider pour aller chercher Elvis, qui est venu encore une fois plongé son nez dans le licol, pour le préparer au calme dans les écuries où nous n’étions que deux.
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Nous étions deux pour cette séance montée du samedi, une cavalière qui avait déjà eu l’occasion de faire une séance avec moi.
On a commencé les échauffement en refaisant, pour ma part, les même sexercices que le matin, notamment pour mes cheville, marcher tout en décollant les cuisses de la selle et en gardant le fonctionnement du bassin. Gymnastique, aussi, lever et baisser chaque talon en coordination avec chaque postérieur. Quand j’ai chausser les étriers sur Elvis, j’avais presque l’impression d’avoir les talons sur ses hanches MDR ; en revanche, ça m’a beaucoup plus descendu et verticalisé les cuisses, les jambes étaient bien placées avec des réponses beaucoup plus fines du cheval.
Prise du contact là-dessus, il fallait retrouver toute la souplesse trouvée sur le simulateur en essayant d’amener Elvis à être bas et rond. Rien que ça, je l’ai eu en quelques foulées quand il me faut d’habitude au moins un demi manège !
Ensuite on refait nos petits exercices de décontraction des chevilles, des genoux, jusqu’au bout des doigts de mains, puis le petit exercice des quatre positions assis / assis buste vers l’avant / en équilibre / en équilibre nombril vers l’avant épaules au-dessus des chevilles. Je fonctionnait beaucoup mieux, d’ailleurs Elvis n’a jamais varier d’allure ni même de cadence, finalement un vrai métronome.
L’exercice qui m’aura fait faire le plus de nœuds au cerveau aura été au trot et au galop de continuer à fonctionner dans le bassin, sans tourner la tête, et de ne tourner que les épaules au maximum d’un côté puis de l’autre en compensant avec les articulations des coudes et des épaules. J’ai eu droit de faire ce petit exercice au trois allures !
Arrivé là, je commençais à être « un peu » cuit, mais j’ai répondu oui quand elle m’a demandé si il me restait encore un peu d’énergie pour un dernier exercice, on est maso ou on ne l’ est pas !
Donc on est parti pour des transitions dans le galop, moyen, allongé, moyen, rassembler, c’est plutôt super bien passé, j’ai bien la hanche gauche qui a débrayer une fois avec 1, passage au trot évidemment, mais des super sensations et l’impression d’avoir franchi un cap.
On a refait à peu près la même chose le dimanche, mais en allant plus loin pour approfondir.
Nous étions trois dans notre cours du dimanche après-midi, les deux autres ont rendu les armes avant moi, j’ai pu tester quelques cessions aux deux mains dans ces conditions : c’était le jour et la nuit, il faudra que je m’habitue à bien doser, Elvis a beaucoup plus de répondant monté comme ça.
Il n’y a plus qu’à confirmer lors des prochaines séances.
). 
(tchin)
