dorab a écrit le 12/06/2012 à 18h07: |
| | Malheureusement les conventions de stage ne garantissent rien, car mine de rien, c'est toujours l'employeur qui a la maîtrise des choses.
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dans les chevaux, non deja parce qu'un maitre de stage n'est pas un employeur et je peux vous dire qu'a la moindre remarque négative a l'encontre de son maitre de stage, y a toute l'ecole de l'eleve qui vous appelle pour vous descendre et protéger leur élève chéri contre la maltraitance (meme a tort ou sans avoir tous les éléments).
ils rigolent pas avec ça, des maitres de stage y en a des tonnes potentiel, il est simple d'en changer comme de chemise dans le systeme equin et ils ne se privent pas!
dernier en date, j'ai refusé de payer une heure sup a un eleve en formation chez moi parce qu'il avait rien glandé de la journée (arrivé en retard le matin, panne de reveil, pris 2h30 pour bouffer le midi), l'heure sup du soir etant du seul fait de l'eleve et pas vraiment une heure sup au final.
je peux vous dire que j'en ai entendu parler un certain temps de par l'ecole (me traitant d'esclavagiste), tout ça pour qu'au final, l'eleve en question parte faire une autre formation en coiffure... apres seulement deux cessions chez moi
pourtant mes conditions de formateur sont loin de l'esclavage hein, nourri, logé, blanchi, on fait tous les boxes en copeaux le matin et on monte tous a cheval! le stagiaire n'etant pas cantonné au rang de paleu, ou ramasse crotte.
voyez ce que ça m'a apporté!
j'edite car c'est important: le stagiaire en question m'a chanté la messe avant signature des conventions, le stagiaire parfait quoi... ça fait peur au bout de seulement deux cessions de voir comme ça a tourné.