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Vie aprés la mort? vos avis.
Posté le 16/06/2012 à 19h19
estello
Posté le 16/06/2012 à 19h19
Il est évident que pour le corps, l'enveloppe charnelle il ne se passe rien après la mort, si ce n'est qu'elle se décompose!
Mais pourquoi nier la suite de l'âme?
Il n'y a donc pas assez de témoignages pour que l'on prenne enfin conscience qu'il y a bien une "vie" après la mort?
Des exemples on en a tous, on a tous un proche qui a vécu une expérience "paranormale". On refuse d'y croire, on se trouve des prétexte, on veut rester terre à terre, rationnel parcequ'au fond, on à peur, on la tous la trouille de disparaître et de n'être plus rien!
Je suis convaincue, que l'âme sort du corps mais ne meurt pas.
Encore des exemples, une femme perd sa fille, elle décide d'aller voir une médium, la médium lui dit, votre fille aimer faire du piano, et vous avez un piano chez vous, alors surtout, ne nettoyez jamais ce piano ni la chaise, laissez la poussière se déposer, et vous verrez...
Les semaines passent, la poussière se dépose, puis un jour, plus rien, le piano et la chaise sont propre. Elle repart alors chez la medium, et celle ci lui dit que c'est sa fille qui a fait ça. Elle lui dit maintenant, que le soir, il faudra qu'elle prenne un papier et un crayon, qu'elle vide son esprit et pense à sa fille, ça a été très long, il a fallu des mois et des mois, puis petit à petit la main a commencé a faire des gribouilli, puis ecrire des mots, des phrases. L'esprit de sa fille prenait possession de la main de la mère!
Au fil des années la fille faisait passé des messages, pour sa mère, et pour ses proches, par exemple elle a fini par dire "tu dirais a mon amie que je l'aiderais, mais pas pour gagner au loto" la mere a donc telephoné a cette amie, et elle a allusciné car justement, elle avait fait une seance de spiritisme et elle avait demandé si elle pouvait lui donner les chiffres du loto!
Tout le monde peut prendre contact avec un proche défunt, il faut juste le vouloir et y mettre le temps.
On a peut être tous des demandes de l'au de là. On les refuse ou on ne se rend pas compte. On est tellement accaparé par nos soucis, par notre petite personne qu'on se ferme sur les autres formes du "vivant".