misti31 a écrit le 13/11/2012 à 11h00: |
|  | Mr d'orgeix parle aux cavaliers de niveau international avec des chevaux ayant un dos fort et des jarrets en béton. Certains de ses disciples d'ailleurs (m duhamel par ex) ne montent en aucun cas de cette facon. Je pense qu'enseigner sa facon de faire ne convient pas a une cavaliere de club dont le prof lui pratiquera une équitation plus classique. Peut importe le debat d'ailleurs a ce sujet. Ouvrez les yeux, toutes disciplines confondues, si vous écartez trop les mains vous ne controlez plus les épaules latéralement, et les chevaux se couchent sur l'incurvation. |
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... Les épaules, c'est tout de même mes épaules qui les contrôlent, non ? Enfin, je dis ça grossièrement, par manque de connaissance technique, mais il me semble si je me tiens, l'épaule interne légèrement reculée pour initier la courbe, le haut du mollet de la jambe externe au contact et que le cercle est suffisamment grand pour le niveau d'équilibre et de souplesse de mon cheval, je n'ai pas besoin de mes mains.
Mais je pense qu'en l'occurrence, ici, c'est à la cavalière de tester ses différentes façons de faire, de se dire que si son cheval résiste, il faut essayer autre chose plutôt que de forcer sa demande.
Et si, vraiment, c'est un souci, c'est à un moniteur présent sur place de dire si oui ou non l'entonnoir est correct. (Mais le problème de cette technique, c'est que, le plus souvent, on a les mains trop près de soi et on ouvre les mains vers le bas, dans les genoux. Alors là, évidement que ça ne passe pas.) Ceci dit, personnellement, je trouve cette technique compliquée à utiliser avec finesse, quand l'indépendance des aides et l'équilibre du cavalier n'est pas parfait.