|  |
le vaccin a une Autorisation de mise sur le marché, donc il est "fini" et il n'est pas en test, mais sous surveillance et études post commercialisation comme TOUT nouveau médicament...
|
|
|
La pharmacovigilance est à mon avis une vaste blague. Déjà y a une sous-déclaration énorme - je le vois autour de moi pour fréquenter des gens atteints de maladie auto-immune, on est tous sous des traitements lourds avec pas mal d'effets secondaires, dès qu'on signale un effet indésirable inconnu on nous répond que "ça n'a rien à voir" ou un équivalent. Immanquablement et à tous, quand bien même tu déclares le truc deux heures après chaque injection, à chaque fois. Du moment que ça n'est pas déjà répertorié, y compris pour les médicaments dont ils nous disent "on a aucun recul dessus", ça n'existe pas.
Donc déjà une fois passé le barrage médical, si t'as de la chance t'as une déclaration de pharmacovigilance et t'arrives au labo. Voir le cas de Roche, qui risque une amende maousse pour avoir "oublié" de traiter 85 000 dossiers d'effets indésirables (portant sur 19 médicaments, et avec sur les 85 000 dossiers 3000 décès dans les "effets indésirables graves" (tu m'étonnes).
Tu as Prescrire, revue indépendante on ne peut plus sérieuse, qui vient de publier une liste de médicaments à éviter à cause d'effets indésirables graves et sans rapport avec le bénéfice attendu, dont certains sont des médicaments très courants et pas nouveaux, genre le Motilium.
Pour les vaccins, tu as en plus des médecins idem, on ne peut plus sérieux, qui estiment que les vaccins ayant un effet sur le système immunitaire, c'est le but, il serait bon de s'interroger sur l'accroissement des maladies auto-immunes et de vérifier qu'il n'y a réellement aucun rapport - la théorie actuelle étant qu'a priori, il n'y a aucun rapport.
J'ai vu un Mots Croisés ou une autre émission du genre sur les médicaments, avec un médécin qui disait que l'ANSM (enfin son ancien nom), si l'on donnait une AMM au cyanure, il lui faudrait trois ans pour le retirer du marché et encore, qu'il était optimiste.
Ca veut dire que t'as trois barrages à dépasser pour qu'un médicament dangereux soit jugé comme tel, trois barrages dont les deux derniers avec des conflits d'intérêts énormes.
Moi j'ai pas suffisamment confiance pour prendre le risque, après je peux comprendre qu'on le prenne mais je ne pense pas que le fait que les autorités ou les fabricants disent que y a très peu de risques veuille réellement dire qu'il y a très peu de risques.