POST OFFICIEL DE L'ÉCRITURE. -nouveau lien-

« Cette impression de vouloir s'envoler, de ne plus toucher terre. Ressentir comme quelque chose qui s'éteins, comme quelque chose qui disparaît. Avoir un pied dans le vide, l'autre sur le rebord de la fenêtre. Fermer les yeux, sauter. Puis ne plus jamais regretter. Entendre des cris perçants, le gyrophare d'une ambulance. Abandonner, rendre les armes. Dire au revoir. »

Texte court, Âme envolée.

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Quand j'vous dis que j'ai pas beaucoup d'inspiration...

Premier jet, en 10 minutes. Pas mal comme sujet pour commencer. Dites moi ce que vous en pensez!

"Lorsque je me réveillais, j’étais allongée sur une surface lisse et dure. Je gardais les yeux clos.
Quelque chose semblait avoir changé. J’entendais les craquements discrets de pas, une seule personne, sur ce qui semblait être un vieux plancher massif.
En tendant l’oreille, je distinguais le bruit du vent dans les feuilles des arbres au dehors. Cependant, en écoutant mieux, je me rendis compte que je distinguais tout.

Le crissement des dents d’un prédateur sur les os de sa proie, les clapotis de l’eau, les bruits de véhicules au loin, la présence de nombreux êtres vivants autour de moi, des animaux, des enfants, quelques adultes, de la musique.

Laissant mon cerveau accomplir sa fonction première, je stagnais dans une immobilité totale afin de me remémorer certains détails qui me semblaient cruciaux.

Je prêtais attention au bon fonctionnement de tous mes membres. Sans effectuer aucun mouvement, les yeux toujours fermés, je pus constater que mes bras fonctionnaient toujours. Mes jambes également, mais différemment.
Prise d’un affreux doute, j’ouvris les yeux et les braquais directement sur mon corps. Horrifiée, distinguant avec peine et douleur mes jambes rassemblées dans un étau d’écailles dorées, un cri long et déchirant me traversa la poitrine.

Quelques secondes plus tard, quelqu’un entra dans la pièce ou je me trouvais, celle-ci s’illumina. On s’empara de moi. Secouée, je me débattis quand une décharge électrique atteint mon cœur. J’eu seulement le temps de graver dans ma mémoire le visage de la femme qui me maltraitait ainsi que je m’évanouis.

Je me réveillais à nouveau, mais cette fois dans un environnement chaud, humide et bruyant. Je ne perdis pas de temps cette fois et ouvris directement les yeux pour me retrouver au-dessus d’un vide de plusieurs mètres avec comme seule réception une piscine d’eau bleutée.
Amorçant un mouvement de recul, je fus retenue et plaquée au sol par la femme de tout à l’heure.

- Si tu ne sautes pas dans cette piscine, c’est le taser. Cinquante mètres ce n’est pas la mort et ça veut dire 50 000 euros pour moi. Taser et torture ou le saut, à toi de choisir. Compris ? Me lança-t-elle.

Si je pouvais en effet choisir la torture à la place de ce saut de la mort, j’étais trop faible pour prendre cette décision.
Jetant un ultime regard à mes jambes, à ma queue de poisson, je plongeais, appréhendant de ne trouver que la mort au bout.

C’est seulement quand j’émergeais à la surface de l’eau, acclamée par le public, que je compris que je venais de me condamner.

J’étais condamnée à effectuer inlassablement le même saut, à être exhibée comme une bête sauvage, un monstre.

Pas assez courageuse pour me l’infliger, je regrettais la mort."

J'adore écrire depuis que je suis toute petite et c'est devenu bien plus qu'un passe-temps... J'ai décidé de combiner cette envie et ce besoin quasi-constent d'écrire à mon travail puisque je me suis tournée vers le journalisme.

J'écris surtout des satires, quelques nouvelles et poèmes, des carnets de route et de voyage, des articles, des critiques de spectacles/films/musique etc..

Mon seul soucis pour l'instant c'est que je préfère garder mes textes pour moi, mon manque de confiance très certainement.
J'ai néanmoins commencé à publier 2/3 petits textes sans réel but mais avec l'envie de les voir ailleurs que dans mes innombrables feuillets; je vous poste un lien ->
http://www.welovewords.com/documents/divergences#

Voici un site où vous pouvez lire des fanfictions sur différents thèmes : http://www.hypnoweb.net/

Ma cousine écrit les fanfictions du quartier de Hawaii 5-0 :http://hawaii-5-0.hypnoweb.net/

Bon je tiens à signaler que ça risque pas d'être littéraire et avec des mots soutenues ou un style d'écriture tel les L , je suis une S et mes textes sont plus souvent des dialogues ou des textes humoristiques avec des mots cru parfois vulgaire je l'avoue et souvent porter dans l'humour noir alors je risque de choquer ceux qui n'aiment pas l'humour noir !
Et j'avoue que mes écrits sont encore un peu brouillon
Mais bon , au moins j'ai prévenue

"On vous apprend que vous êtes un monstre, que faites-vous ? Que devenez vous ?"

" ' Mais t'es qu'un monstre ! ' ' Mais quel monstre ! ' ' C'est horrible arrête. ' ' T'as gâché ma vie , monstre !! '
Voilà à quoi ressemble mon quotidien , insulté et refoulé de tous. Pourquoi me dit on que je suis un monstre ?

C'est simple , c'était dans la nuit du 7 décembre , je surfais sur internet quand je vis cet article :
' Scandale dans la région Nord-Pas-De-Calais , un père accusé d'abus sexuels sur son fils et d'avoir construit un four pour l'y mettre dedans. ' , étant moqueur et de nature provocateur je mis ce lien sur mon facebook accompagné de cette légende :
' Ahah ! Au moins il avait pas froid ce gosse , pis après tout y'avait peut être plus de poulet qui sait ! J'ai déjà fais ça avec celui du voisin il s'en est sortit avec brio !'
Mais apparemment ça n'a fait rire que moi , ça a engendré une vague d'insultes en mon égard. J'avais l'habitude de recevoir ce genre de réactions , provoquant souvent de cette manière , mais mes amies savaient que c'était de la rigolade. Mais cette fois ci c'est allé trop loin , j'avais touché un point sensible.
Voulant me rattraper et remonter dans l'estime de mes amis je décida de mentir...

J'accusa mon frère , et bizarrement , contrairement à mes attentes ceux qui m'insultaient la minute d'avant m'eurent cru et me pardonna.
Sauf qu'un avait décidé d'allait vendre mon frère aux flics , pensant qu'il avait vraiment mis l'enfant du voisin dans le four.
Ce qui m'étonna fortement, connaissant mon frère ils savaient qu'il n'était pas capable de tel chose.
Mais c'était comme ça , je ne pouvais plus retourner en arrière et le mensonge était déjà en route. Sauf que ça , je ne l'ai su que le lendemain car... le lendemain mon frère toqua violemment à ma porte , puis d'un ton énervé me dit , alors que j'ouvris la porte " TOI ! De ta faute j'ai perdu le meilleur plan cul de ma vie ! Tu n'es qu'un monstre , le raté de la famille , le déchets ambulant ! Tu ne merite que de finir dans un four comme le gosse avec lequel t'as décidé de gâché ma vie ! "

A vrai dire ses mots me percutèrent peu , je savais qu'il pensait ça de moi après ce que je lui avais fait mais jamais il ne m'avait parlé comme ça , jamais il n'a été vulgaire contrairement à moi , j'avais là aussi touché un point sensible...
Le lendemain , je recommença à mentir sur un autre sujet , puis sur un autre , un autre et encore un autre , je n'arrêta plus. Sauf qu'en plus d'avoir pris goûts aux mensonges j'ai pris le goûts d'arnaqué les gens.

En plus d'être un provocateur je suis devenu un menteur hors pair. Je gâcha de plus en plus de vie et le problème c'est que j'eus pris le goût à ma nouvelle vie , qui était d'être heureux de voir les autres malheureux. J'étais devenu le pire des monstres."


Bon... J'avais plus trop d'inspi' vers la fin , et on le voit bien ça fait vachement brouillon

maclem a écrit le 19/08/2013 à 11h03: Lien ?

https://www.chevalannonce.com/forums-7485580-le-journal-de-louis-fiction

Voilà un texte que j'ai écris il y a quelques minutes là ^^
Bon c'est encore de l'humour noir , plus trash que le texte précédent mais je trouve bien mieux écrit ! Mais je répéte que si vous n'aimez pas trop l'humour noir ne pas lire mes textes
Finalement je suis plus à l'aise sans thème et quand un sujet me plaît x)
Là j'ai repris une phrase que j'ai vu sur FB qui a été dites par l'archevêque du Mexique , j'ai donc écrit ce texte à partir d'une phrase et de préjugé sur la religion( et aussi sur le préjugé de la consanguinité des nordistes )

" La dernière fois , alors que je couchais avec mon oncle préféré ,je me demandais pourquoi l'archevêque du mexique avait certifié que " L'avortement est pire que le viol ".
Alors pour comprendre j'ai essayé les deux situations , j'ai d'abord regardé ma mère se faire violer par mon voisin pis je lui ai demandé d'avorter le mois d'après et lui ai demandé ce qu'elle avait préféré , ce à quoi elle m'a répondu " Oh tu sais du moment ou ça rentre et que ça sort pour moi c'est pareil ! ' , j'avouerai que ça ne m'a pas aidé sur ma réflexion....
Alors je me suis penché sur l'archevêque , et je ne parle pas du fait que me pencher pour montrer mon cul hein , c'est une façon de parler évidemment.
Il se trouve que ces personnes ne pouvant avoir de relation sexuelles ni d'enfants ont décidés de combinés les 2 pour avoir des relations sexuelles avec des enfants.
C'est alors que mon esprit de scientifique se mit à marcher , nous savons tous que ces personnes sont pour le partage des biens,j'en ai donc conclu que l'avortement empêcherait ces messieurs d'assouvir leur soifs de chair et que cet acte est donc considéré comme égoïste et qu'effectivement le viol est bien plus amusant que l'avortement ! "

L'espoir fait vivre...


Sur le banc, est assise une jeune fille,
celle qui regardait le monde passer devant elle,
elle repense à ce qu'elle a fait...

C'est l'histoire d'une jeune fille à l'âme rempli de désespoir...

Celle qui voulait juste être heureuse,
et en faire des heureux...

Elle se dit, qu'elle a bien fait,
jusqu'à présent où elle le regrettais...

Elle a toujours voulu se faire entendre...
Mais personne n'avait vraiment compris...

C'est l'histoire d'une jeune fille à l'âme rempli de désespoir...

Celle qui voulait juste être heureuse,
et en faire des heureux...

Elle avait gardé espoir,
jusqu'à ce jour là...

Elle n'était plus ce qu'elle était,
celle dont tout le monde connaissait...

C'est l'histoire d'une jeune fille à l'âme rempli de désespoir...

Celle qui voulait juste être heureuse,
et en faire des heureux...

Assise sur le banc, elle revoit toutes les photos,
se disant qu'elle est partie trop tôt...

Mais maintenant c'est trop tard,
à cause de ce malheureux jour...

Où elle a perdu espoir,
où elle s'est coupées les veines...

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Vala, pour ceux qui ont la flemme de cliquer sur mon post

Voici le lien du blog de *je.sais.plus.le.pseudo.mais.il.est.membre.de.CA* :
http://www.histoires-de-jordane.blogspot.fr

maclem a écrit le 20/08/2013 à 02h06: Tu pourrais écrire sur : - Le Suicide - Le divorce - la difficulté de la libre pensé - la difficulté de vivre librement sa religion. Après pas d'autres idées :/ poste ton texte qd tu l'auras fini

Merci pour ces idées ! :)
Je viens de penser qu'il faut que je termine ceci

maclem a écrit le 20/08/2013 à 16h41: Tu peux mettre le 1ere chapitre ? il donne envie d'être lu

Le 1er fait 10 page, je le mets quand même ?

Je mets juste le début :

Chap 1, Voix : June,

""Tu es à moi.
Tu seras toute à moi."

Voici ce que j'entends chaque satané matin depuis que le père de mon amie, Kimberley, est mort. Ces mots me torturent sans cesse, si bien que je finis par me sentir complètement folle, et aujourd'hui ne diffère en rien des autres jours. Même dans le jardin, étendue sur l'herbe aux cotés de mon petit copain, Neymar, je les entends. Nous sommes censés admirer le ciel bleu tout en profitant de la douceur de nos câlins, mais non..."



Voilà, c'est le tout, tout, début. ^^

Sachant que le niveau de langue c'est ma cousine que la faite, (j'avais 13/14 ans et elle 19/20 ans )

maclem a écrit le 20/08/2013 à 18h36: Tu n'es pas obligé de mettre la fin, tu peux le laisser en suspend ...

J'vais essayer mais y a que 50 mots

"Rouge. Elle s'appelait Rouge. On formait le couple idéal, celui dont tout le monde admirait tant, celui qu'on voulait tout imiter.
Mais tout ceci, c'est fini, terminé.
Le couple très apprécié, où corps et âme s'était fusionné, est mort, il n'existe plus.
L'horreur que tout le monde s'est pris plein le cœur, en apprenant ceci, a fait des ravages...
Rouge...Pourquoi maintenant ? Pourquoi ? ..."

Voilà je sais pas quoi mettre après

« Ses sabots martèlent le sol de l'écurie dans un rythme lent, sourd. Ses crins s'entre-mêlant lors de ses mouvements saccadés. Son regard vide, fuyant et à la fois malicieux. Ses petites oreilles aux pointes noires virant d'avant en arrière. Le bruit cessa. Je senti son souffle chaud, court. J'ouvris les yeux. Je ne vis que le noir de ma chambre. Ce n'était qu'un rêve. Un magnifique rêve. »

Sur le vif, donc très mal écris.

musique.

Deuil rouge, amour louche.

Peut importe qui l'on est, la couleur de notre peau, notre tempérament, notre manière de parler, notre manière d'agir avec les autres, nous ne sommes jugé que d'après nos actes, c'est fort dommage. Il y a des jours comme ça, ou notre vie prend une autre tournure, sans qu'on ait notre mot à dire. Des fois, il suffit d'une petite étincelle, et hop, nous vivons des expériences uniques. Il suffit d'un petit élan d'espoir et notre vie change à jamais.

C'est en prenant machinalement son café, que Jeff Harrison, jeune marié de vingt-cinq ans, regarda par la baie vitrée de sa superbe villa. Il pleuvait, pour ne pas changer. Il s'installa derrière son ordinateur et croisa ses bras, en prenant un air grave. Son boulot consistait à faire des rapports aux gens morts. C'est très con. Pourquoi ? Tout simplement parce que les morts étaient morts. Point. Mais pour mieux vous expliquer, il était chargé d'écrire comment mr.X était mort. (mr.x est une personne quelconque, c'est un exemple). Cette fois-ci, il devait écrire sur une personne morte d'une drôle de façon. Il n'avait jamais fait cela auparavant. Il était vraiment sceptique et stressé. Jeff était là. Devant son ordinateur aux couleurs rouges flamboyantes. Il inspira un bon coup et commença à écrire :

Nom du mort : Ally-Jamie Harrison.

Age : 18 ans.

Cause de la mort : Mlle Ally-Jamie Harrison est morte en se coupant la gorge avec plusieurs épines de différentes roses rouges. La cause est : mal-être, profonde dépression... La présumée morte fumait de façon régulière (env. trois paquets par jour) et allait régulièrement en boite de nuit, où elle buvait des litres d'alcools, puis rentrait chez elle complètement saoule.

Elle était en couple avec un jeune homme dont nous ne citerons pas le nom. Ils s'aimaient. Mais le jeune homme décida de la tromper avec une autre. Meurtrie et blessée, Mlle Ally-Jamie décida de se couper la gorge avec le bouquet de roses offert par son petit-ami.
Quelques jours plus tard, elle fut retrouvée morte sur son lit tinté de son sang rouge flamboyant, les roses à ses côtés, la gorge complètement saignante.

Jeff s'arrêta enfin d'écrire. Il relut plusieurs fois, enregistra son texte puis se leva, en soupirant.... Ally-Jamie Harrison était sa petite fille.

J'adore vos textes :o
Bon je me lance... C'est mon avis personnel sur le bonheur, et ce texte est inspiré de ma vie

On essaie tous plus ou moins d'empêcher les autres d'atteindre le bonheur. Peut être parce qu'ont veut y parvenir en premier. Pas en second, pas en dernier mais en premier. On veut y arriver, peu importe les moyens à utiliser, on veut détruire le bonheur de chacun. Lorsque l'ont voit les autres, quand ont voit une personne, cette personne, si proche du bonheur absolu, on remarque qu'elle n'est pas seule, elle est accompagnée. On se dit qu'on à le droit au bonheur nous aussi. J'ai le droit au bonheur moi aussi.
Nous essayons tous de franchir la ligne d'arriver en premier, d'être le vainqueur de la course. On le fait, on détruit le bonheur des autres, on en est conscient ou pas, on ne le sait peut être pas, mais on le fait tous. Tous. Mais il y a une chose dont je suis sûre et certaine, je veux être cette personne. Cette personne si proche de la joie, cette personne si proche d'avoir un véritable sourire sur ses lèvres, cette personne si proche de gagner, d'avancer encore plus dans la vie. Peu importe qui souffrira mais on veut tous avoir droit à la joie. Je veux avoir droit à la joie, au "bonheur absolu". Je veux avoir un véritable sourire sur mon visage. Toi seul à le pouvoir de me faire rire et pleurer. Oui, peu m'importe les conséquences si on a la clef du bonheur. Peu importe les conséquences si on a l'amour. Peu m'importe les risques si tu es à mes côtés. Peut m'importe les dangers si tu es avec moi. Et la vie m'est bien égale si je ne te sais pas amoureux de moi, si je ne te sais pas à mes côtés. Pourquoi ? Parce que la simple clef du bonheur est l'amour et que je suis amoureuse de toi. Oui, c'est réellement toi que j'aime. Alors soit cette personne, celle qui me rendra heureuse. Oui je t'en prie soit cette personne car je sais aujourd'hui que c'est uniquement à tes côtés que je peux être véritablement heureuse.
Lorsqu'une personne est heureuse, une autre est malheureuse. Le bonheur est égoïste, on sacrifie celui des autres pour le sien.

Edit: Désolé, c'est un peu brouillon...