Addict, je n'ai pas mes parents vraiment à proximité.

Environ 150 km nous séparent, et ils travaillent toujours tous les deux (mon papa à temps plein et loin du domicile, ma maman a pris un 80% quelques temps après la naissance de Marion). Ma maman prend donc congé pour m'aider dans ces cas-là.
Merci pour le soutien.
Hérisson, la poisse!

C'est l'accumulation!
Je compatis pour le fait de l'inquiétude avec tout ça en cours de grossesse. Marion, qui n'avait jamais été malade (à part des gros rhumes) avant cet automne, m'a à peu près tout fait là sur la fin de grossesse et l'après-naissance. C'est beaucoup de stress et d'énergie consumée à une période où on aurait besoin d'être zen et de se reposer. Et probablement encore plus pour toi qui a une grossesse délicate et du repos prescrit par le médecin...
Tu dis à ton mari ce que tu nous dis là? Qu'en dit-il? Sinon, ne peux-tu pas demander à ton mari de t'accompagner au prochain RDV gynéco, histoire qu'il entende bien de la part d'un professionnel de santé que tu as besoin d'aide, que tu dois te reposer, et qu'il doit donc s'impliquer davantage auprès des filles? L'entendre du médecin pourrait être un déclic dans la prise de conscience.
J'espère qu'il va un peu plus t'épauler pour la fin de ta grossesse...
Romain n'a pas revu le médecin (RDV le 26), mais il ne prend presque plus de poids (l'infirmière l'a pesé ce matin), et il dégringole dans les courbes de poids du coup (pas bon signe!), alors j'hésite à avancer le RDV.
Ceci dit, je me demande si ça va vraiment changer quelque chose... L'infirmière me dit qu'ils investiguent rarement par PHmétrie; ils tentent différents traitements pour voir si ça va mieux ou non.
Ce qui est certain, c'est que je suis épuisée de l'entendre pleurer depuis 48h (avant, on avait eu 2 - 3 jours avec un bébé tout paisible). C'est du coup un bébé qui sourit globalement peu aussi... et ça me mine énormément!
J'ai honte, mais j'en arrive à des phases où je le laisse pleurer (puisque de toute façon, dans mes bras, il hurle tout autant) en me disant qu'il va finir par se calmer d'épuisement.
Hier, il a passé la quasi-totalité de la journée dans l'écharpe. Mais je ne peux et ne veux pas faire ça tout le temps (j'adore porter, mais j'aimerais aussi pouvoir paisiblement m'activer à d'autres choses).
Je suis vidée et j'ai la tête comme une passoire...