La petite épicerie de village dans laquelle je me rends très régulièrement est ouverte 3h le mercredi après-midi, 3h le samedi après-midi et 2h le dimanche matin (y compris certains fériés) parce que le reste du temps, il fait les marchés de la province pour un producteur de fromages de chèvre bio.
Personnellement, j'y vais aléatoirement sur une des tranches d'ouverture. A priori, il est tout aussi content que les clients le soutiennent le dimanche que le mercredi.
Et de mon côté, ce que je ressens, c'est la satisfaction de soutenir à la fois un petit commerçant de ma commune et des producteurs locaux... même si c'est parfois le dimanche
(EDIT: ce qui ne m'empêche pas d'avoir de l'empathie pour lui et son rythme de vie, reconnaissant volontiers que ça ne doit pas être simple).
socopao l'isolement doit bien compliquer les choses. Et physiquement / logistiquement parlant, et moralement aussi.
Essaie peut-être de lâcher un peu la pression sur ce qu'il y a "à faire"; après réflexion, certains "impératifs" ne le sont peut-être pas tant que cela (par ex: aller rechercher la grande à l'école en est un mais repasser le linge probablement pas autant).
Ca n'enlèvera pas les pleurs mais tu pourrais gagner en sérénité. On ne sait pas être au four et au moulin tout le temps.
Courage!