netif oui, j'ai connu cette frustration quand le vélo de l'aînée ne rentrait plus dans le coffre. Et comme on n'avait pas la possibilité de transporter les vélos avant d'avoir la nouvelle voiture, on a patienté (heureusement, à la campagne, on pouvait partir à vélo en famille sans avoir besoin d'emmener les vélos ailleurs).
De toute façon, dis-toi qu'à partir du moment où le vélo ne rentre plus dans le coffre, ça devient généralement compliqué de les suivre à pattes. ;-)
Je ne sais pas si ça se voit sur la photo mais mon mari utilise encore un vélo Specialized reçu à ses 12 ou 14 ans (et mon mari aura 39 ans cet été); il a le mérite de tenir la distance (il l'a bien bien éprouvé pendant toute son adolescence) et les années et de continuer à faire le job, mais je trouve que mon homme a l'air d'un crapaud sur une antiquité, ah ah :-p
Tu es toujours dans les déboires de voiture?
lanamour comme je te comprends pour le jardin! Nous n'avons de notre côté jamais douté car on avait la certitude de ne pas vouloir vivre à long terme en ville et que toutes nos projections étaient à la campagne, mais on s'est souvent dit et répété (encore davantage avec le confinement) à quel point on était bien là (pas plus tard qu'il y a 2-3h d'ailleurs, au moment où je dressais la table du dîner à l'extérieur). Ca nous correspond totalement.
Laisse-moi deviner le parfum de la glace de Jeanne... Serait-ce fait de fruits rouges par hasard?
Ouais, je sais, j'suis vachement perspicace comme nana. J'ai du flair!
Les pastilles dont tu parles, j'en avais eu à la pharmacie quand j'avais demandé des pastilles pour stériliser les biberons. La nana n'avait pas compris et m'avait filé ça.
J'ai plein de questionnements sur le sujet de l'accueil. Je suis tiraillée. Mon mari m'en a parlé il y a 15 jours - 3 semaines. Et depuis, je cogite. Il y a des aspects qui me font réfléchir (ce que tu as évoqué sur le besoin d'accompagnement est effectivement un de mes freins... parmi d'autres). Mon mari est du genre "y'a pas de problème, que des solutions", déjà de base, et en l'occurrence ici, il se dit que ce ne sont pas de vrais problèmes au regard de ce qu'eux traversent (ce que je ne peux nier) et que l'accueil chez nous, même imparfait, c'est déjà énorme en termes de soutien dans la situation actuelle. J'admets que je me mets des barrières qui n'ont pas vraiment lieu d'être (d'ailleurs, j'en ai levé certaines, totalement ou partiellement).
Mais il y a une réalité aussi qui me semble très claire même s'il la nie ou botte en touche: c'est moi qui porterais sur mes épaules la quasi-intégralité de la charge mentale et organisationnelle qui viendrait s'ajouter (pas parce qu'il ne s'engage pas, mais parce que notre organisation fait que ma routine serait forcément impactée à beaucoup plus forte raison que la sienne). Indéniablement. Donc lui, de fait, il voit les choses beaucoup plus à la cool que moi.
Puis tout le reste qui est plus de l'ordre de l'émotionnel, de la famille...
On a appris la semaine dernière que des connaissances dont deux de leurs filles sont amies avec notre fille (leur petite 4ème est d'ailleurs venue passer la nuit à la maison de vendredi à samedi) se sont tout de suite positionnés comme accueillants. La famille qu'ils accueillent arrivait justement ce samedi chez eux (mais ils avaient déjà eu deux dames ensemble pour une demande d'hébergement temporaire très court). Mais ils ont la possibilité de leur proposer un espace personnel spacieux qui leur permettait d'y aménager une kitchenette, ce que nous n'aurons pas la possibilité de faire chez nous. Malgré tout, ça me ferait sûrement du bien d'avoir son feedback...