|  |
Ca relève quand même de la légende urbaine ça (ou de l'exception). Certes un avocat ne s'engage pas sur du résultat (encore que une partie des honoraires peuvent être réglés en success fees) mais il fait une consultation écrite et à un devoir de conseil.
Il faut avoir confiance dans son avocat. La grande majorité ne cherche pas à faire du chiffre à tout va, mais à résoudre des affaires. Pas très gratifiant de n'avoir que des affaires clairement perdues d'avance.
Mais pour avoir confiance, encore faut-il trouver le bon avocat.
Bon courage Carole. |
|
|
je ne trouve pas, j'ai aussi largement constaté cette tendance et je confirme, certains (et ce n'est pas l'exception) poussent à la procédure. faut etre honnete, un dossier ne peut pas etre creusé en un rdv et le "diagnostic" de l'avocat ne peut etre fait que sur les premieres infos souvent incompletes qu'il reçoit lors de ce rdv. je dirais aussi plutot dans ce sens: rares sont les avocats qui ne sont pas derrière nous dès le premier rdv, parce que "tout se tente", "y a toujours une faille", "on peut jouer sur ça" etc... non par malhonneteté mais par ce sentiment de service, de vouloir aider à rendre justice pour leur client dont ils n'ont que la version etc...
Ici un cheval de concours a été acheté, et le cheval a déjà tourné en concours justement donc pour prouver le défaut de conformité, quand bien meme il était au pré lors de l'achat (après tout le vendeur peut dire qu'il était en vacances ou pour des raisons financières ou autre) donc bref, y a des arguments, d'un coté comme de l'autre, je ne pense pas que face à un autre particulier ce soit gagné d'avance, loin de là.
Pour la précision de la promenade sur le contrat, je ne trouve pas ça bizarre. au contraire, plus un vendeur en met sur le contrat niveau aptitude (et la ballade est une aptitude pas donné à tout les chevaux!) plus il se met en position d'obligation de conformité.
Les contrats de vente type pro comme celui de l'institut du droit équin par exemple font mention des aptitudes du cheval et l'usage ou les usages pour lequel il est prévu.
Justement parce qu'un cheval de concours n'est pas forcément un gentil tonton de ballade aussi donc si cet usage est prévu au contrat, le cheval doit répondre à ce critère. C'est plus une protection pour l'acheteur que le vendeur que de le mentionner.