j'ai trouvé ça
http://www.haras-nationaux.fr/information/accueil-equipaedia/reglementation/vente/vices-caches.html
bon, ça ne couvre pas exactement ton cas
mais il y a quand même cela
au début
Il doit être caché
Selon l’article 1642 du Code civil,
le vendeur n’est pas tenu des vices apparents et dont l’acheteur a pu se convaincre lui-même. La notion de vice apparent est diversement appréciée puisqu’un vice peut être apparent aux yeux d’un professionnel averti et totalement caché pour un profane.
Le vice doit rendre le cheval impropre
Il faut que le vice caché rende le cheval inapte à discipline à laquelle il est destiné au vu du contrat de vente.
et a la fin
En matière de vices cachés, le vendeur qui ignorait l’existence du vice
est simplement tenu au remboursement du prix de cheval et des frais occasionnés par la vente (dépenses liées à la conclusion du contrat comme par exemple le transport ou la visite d’achat). Les dépenses engagées par l’acheteur pour la conservation du cheval sont écartées, c’est à dire que le vendeur ne peut être tenu au remboursement des frais de pension et de maréchalerie.
donc pour moi ce n'est pas un vice caché, puisqu'il avait l'expertise du premier véto qui indiquait bien des lésions
par contre, si tu es tenue au remboursement, c'est avec les frais liés à la vente.
tu peux toujours essayer de négocier en lui disant que tu veux bien reprendre le cheval, à l'amiable, mais que tu n'y es pas tenue (puisque vice apparent) et dans ce cas, sans les frais annexes