Donc voilà chifney ... Whouaaa super
Et euh sinon à aucun moment je n'ai dit de la faire monter dans le van en lui chanter une berceuse !
Mais commencer par prendre le contrôle de ses pieds par exemple un par un puis avoir un effet d'ensemble et mettre le cheval dans des conditions adéquates, respecter son intégrité physique, des moments de pauses après les pressions, y aller progressivement afin de lui apprendre réellement les choses et pas d'agir par douleur et contraintes. Agir au bon moment et au bon endroit, avoir le bon timing et la bonne cadence. Mais bon visiblement ça aussi c'est trop compliqué à comprendre pour vous tant pis.
En même temps, y a un moment ou les gens n'ont pas tellement envie de discuter point de vu avec une personne aussi désagréable et virulente.
Si tu veux débattre, franchement je pense qu'on est tous ouverts, maintenant ou est le débat quand il est juste question de crier au loup comme tu fais?
Franchement Quiebro, c'est dommage. Tu veux nous convaincre? J'écoute, mais commence par baisser en pression ce serait bien parce que tu es hyper agressive juste sur le fait qu'on n'a pas le même point de vu et si les gens pensent que tu n'as pas compris, c'est parce que tu es dans la caricature et que tu généralise.
Pour le temps d'apprentissage, je veux bien les études sur le sujet que tu as pu lire parce qu'en anglais en tout cas, un peu plus difficile à trouver en français, j'en ai déjà vu passer un certain nombre expliquant justement que le jugement d'un cheval est quasi instantané sur une situation et l'apprentissage qui en découle est extrêmement rapide, question de survie.
Je le vérifie chaque jour dans mon travail, un exercice court, bref, allant droit au but (ce qui ne veut pas dire bruler les étapes) est tout autant productif, sinon plus voir bien plus qu'un exercice étalé dans la longueur.
Agir et poser le contexte dans les toutes premières est donc bien plus en adéquation avec l'instinct du cheval et son mode d'apprentissage et de fonctionnement.
Quand tu fais le parallèle avec nos états de stress et le temps de retour à la normale, toujours sur cette base scientifique, le cheval a un retour au calme et une faculté de passer à autre chose bien plus brève que nous, à condition que dans l'apprentissage nous respections cette chronologie.
Là par contre tu vas pouvoir trouver des études en français sur le fait que prolonger une situation de stress jusqu'à ce que le cheval ait intégré peut avoir des effets potentiellement néfastes sur le plan physiologique et la réponse au stress sur le long terme.
Sur la base de ces éléments, l'avantage de réduire les séance est donc scientifiquement pertinent, non?
De même que l'action du chifney ayant été répété ici, il n'est pas un outil pour faire monter le cheval dans la douleur mais uniquement pour contrer sur une courte durée une attitude dangereuse, on peut très bien ne pas s'en servir, mais il est là au cas ou et ça n'empeche pas d'avoir une démarche d'apprentissage douce pour autant. C'est un "au cas ou".