camandnad
tu pars dans quelle région ?
sinon oui évidemment il y a des risques même si on ne sait pas où en sera l'épidémie d'ici là
je te mets un lien sur le virus mais en très très gros tu as 3 formes : nerveuse, respiratoire et abortive (risque d'avortement chez jument gestante)
La forme nerveuse peut être mortelle
dans la citation je ne t'ai pas mis la forme abortive car j'imagine qu'elle te concerne moins
Citation :
Forme respiratoire
Due principalement à HVE-4 (virus de la rhinopneumonie) mais aussi à HVE-1.
La maladie est d’allure grippale mais avec des symptômes souvent plus modérés (fièvre légère, toux, écoulement nasal) pendant 1 à 2 semaines, plus fréquemment à l’automne et en hiver. Elle peut être plus sévère ou se compliquer de surinfections bactériennes, surtout chez les jeunes chevaux à l’entraînement.
L’infection peut également passer inaperçue, notamment chez les foals et yearlings à l’élevage s’exprimant par un épisode de toux et d’écoulement nasal parfois sans gravité.
Forme nerveuse
Due essentiellement à HVE-1, on parle de myélo-encéphalopathie herpétique (MEH).
Les MEH sont relativement rares (environ 5 foyers par an en France).
Des troubles nerveux variés, mais pas obligatoirement associés sur un même cheval apparaissent. Dans certains cas, un seul cheval est atteint, dans d'autres cas, plusieurs chevaux peuvent être atteints, on peut observer :
troubles de la locomotion pouvant aller jusqu’à la paralysie,
paralysie du pénis,
absence de contractions de la vessie, etc…
Les formes neurologiques graves peuvent entraîner la mort, soit directement, soit les chevaux atteints doivent être euthanasiés.
Après infection, le virus persiste souvent dans l’organisme, sous forme latente, et peut se réactiver pour provoquer à nouveau la maladie.
60 à 70% des chevaux sont porteurs latents.
> La transmission se fait par :
les sécrétions respiratoires des chevaux atteints de forme respiratoire,
contact avec un avorton ou les sécrétions utérines correspondantes dans l’expression abortive.
> Les virus peuvent survivre pendant plusieurs jours dans le milieu extérieur (paille du box, etc…), d’où une contamination possible entre chevaux n’ayant pas de contact direct entre eux, par l’intermédiaire de ces vecteurs de transmission. Cependant, les virus sont sensibles aux désinfectants usuels (savon, crésyl, …).