Bon... Samedi, on finit de préparer les murs et on protège la pièce avant de mettre une couche de primer. Enfin, c'est ce qu'on croyait !
Super satisfaits du rendu après cette couche, on attaque la couche de finition hier. Et là... Le drame!
On trouve dès le départ qu'elle ne semble pas couvrir, qu'elle s'étale d'une façon particulière, et on réalise après quelques mètres carrés que le rendu n'est même pas blanc (contrairement à la couche d'hier). Or on a choisi leur blanc le plus pur parmi toutes les variantes proposées (et c'est bien ce nom-là qu'on a sur la facture).
Au départ, on essaie de se rassurer en pariant sur le fait que ce sera peut-être différent une fois sec.
Spoil: non, c'est pire! Ça fait une vieille teinte de vieux blanc défraîchi. Limite, on dirait une pièce dans laquelle on a fumé pendant 30 ans. On a arrêté le massacre à la mi-journée.
Je suspecte que, lors de la préparation, les seaux aient été mal étiquetés, inversant les deux. Et que dès lors, ce qu'on a mis comme primer était en fait la peinture de finition.
Ou alors, autre possibilité : la peinture de finition est défectueuse / a eu un souci au moment de la confection (et le primer est tel qu'il doit être).
En tout cas, il y a clairement quelque chose de foireux. Mon mari va se rendre sur place aujourd'hui. L'erreur est humaine et ça ne nous rendra de toute façon pas tout le temps perdu, mais on espère ne pas y laisser notre culotte avec (il y en avait quand même pour 700 balles de peinture pour une couche de primer et juste une couche de finition!).
Bref, ça aurait dû être fini ce weekend (je n'aurais plus eu que le radiateur à repeindre mercredi puisque j'ai décidé de le faire aussi)... On a donc du retard qu'on va difficilement pouvoir éponger avant la prochaine échéance.