Le boulot et les chevaux ! (organisation)

corbeau_bleu oui et non, on a tous nos priorités on va dire. Je suis encore plutôt jeune, on verra si l'équilibre travail /repos évolue avec le temps, mais pour le moment il est tel quel et ne bougera pas, et j'aime trop mon travail pour en changer, donc je fais avec.

Pour le temps de trajet, j'ai déjà l'avantage d'être vraiment pas loin. C'est 10 minutes à peine, pas de bouchons, pas de route pénible...
Après, je sais bien que ça implique une relation différente de quand on peut passer plein de temps avec son cheval, mais ça c'est un compromis dont j'ai conscience et qui ne me pèsera pas trop, je pense, pour peu que mon cheval ait une vie satisfaisante par ailleurs (bonne surveillance, des copains et du mouvement...).

chamaska bien sûr, tu travailles bien comme tu veux

C'est juste que moi je ne pourrais jamais travailler autant, même sans avoir de cheval j'ai besoin d'avoir du temps pour moi, et ça rejoint un débat que j'ai eu dans la vraie vie hier, je trouvais que la coïncidences est rigolote

Hello,

Je travaille 39h par semaine, horaires classique de bureau : 9h-18h et 9h-17h le vendredi.
il me faut environ 1h50 porte à porte pour aller au écuries (1h de trajet en train/ métro + je passe chez moi me changer + 20 min de voiture pour aller aux écuries).
Je me mets donc à cheval entre 20h10 et 20h30 les mercredi, 19h10 et 19h30 les vendredi

comme il a été dit, le printemps et l'été c'est pas trop un soucis, il fait beau, ça ne dérange pas de finir tard. Par contre l'hiver c'est la tannée. moi j'ai des phases où je suis démotivée, j'ai pas envie mais en général, quand tu y es .. bon bah t'y es donc tu fais lol. Et parfois je fais une séance un peu plus light si jamais je ne me sens pas de monter.

edit : je monte 4 fois par semaine et fait des CCE une fois par mois

chamaska Pour ma part j'ai des semaines de 38/40h en moyenne, parfois je travaille les week-end mais plutôt rare.
Sur la période printemps-été-automne je travaille mon loulou en général 2 soirs par semaine + le week-end, parfois 3 fois en semaine quand j'ai d'autres projets le week-end mais dans l'ensemble on est sur une base de 4*semaine.
La période hivernale est plus compliquée, j'ai maintenant un boulot assez proche des écuries et assez souple qui me permet de monter un ou deux midi sur ma pause dej', c'est un peu ''court'' mais ça me permet de faire une longe ou un trotting de 40mn sans problème et surtout de voir la lumière du jour.
Après parfois j'ai la flegme et dans ce cas là il ne fait rien en semaine et on profite le week-end, il vit au pré H24 et n'a clairement pas besoin de travailler pour être bien...
Dans mon cas (c'est un choix de ma part) je passe par contre tous les jours aux écuries nourrir et gérer les couvertures, sauf en cas d’empêchement ou ma coach ou une amie gère sans problème.
Concrètement si ton futur loulou à une vie au pré ou est au moins sortie à la journée en entière et que l'hiver tu lève le pied sur le travail, franchement lui ne va surement pas s'en plaindre
Et comme tu as plus de temps aux beaux jours, tu pourra en plus passer des moments de meilleure qualité avec lui au final.

J’ai du mal à comprendre ton organisation boulot.
8h-18h30, c’est presque des horaires de bureau. Si tu n’as qu’un jour de repos par semaine, je compte une heure de pause-repas /j, ça fait plutôt 60h. Tu as des journées à trou ?

Mon cheval est au pré à l’année, dans des pensions avec carrière éclairée mais généralement pas de soins assurés hormis la distribution de bouffe. Je passe parfois en coup de vent vérifier que ça va même quand je n’ai pas le temps de monter.

L’été ça m’arrive d’aller monter tôt, en raison de la chaleur. C’est la course. Je suis à l’écurie à 6h30 max, pour être à cheval vers 7h. Si je fais une séance normale, même en jetant mon cheval au pré en descendant, je démarre ma journée de taf un peu en retard.

Le midi, c’est pire. En prenant 2h de pause, ça me laisse un peu plus d’1h sur place. Avec un arthrosique qui a besoin de 30min d’échauffement au strict minimum (avant de galoper)… on fait une détente C’est pratique pour les soins par contre.

Je préfère y aller le soir et ne pas me presser, quitte à rentrer chez moi à 23h. Et je gère ma semaine de façon à partir avant 18h au moins une fois.

Après, si tu es lève-tôt, c’est sympa le matin. Je l’ai fait pendant des années pour les galopeurs parce que « pas le choix ». J’allais monter avant d’aller en cours ou au taf. Faut assurer la journée de taf jusqu’au bout en étant sur le pont depuis 5h du mat’ (si tu fais de la route, attention).

Sauf que le cheval ne garde sa condition physique qu'avec un travail très régulier et bien construit dans le temps. C'est comme un athlète, si le rythme d'entrainement/travail est cassé, ça se dégrade.
Donc tu peux acheter un cheval tip top prêt à l'emploi, mais si tu ne gardes pas le rythme, il ne le restera pas longtemps.



PLus les périodes d'inactivités sont longues, plus la remise en route doit être progressive avec un planning de travail régulier avant de retrouver "le niveau" d'avant la pause.




quoiqu'on fasse il y a 24 h dans une journée et pas une de plus.
Donc il faut faire des choix.




A une époque, avant d'avoir mes juments, je montais 11 à 13 heures par semaine des chevaux de propriétaire. Je bossais aussi à temps complet en ville avec des horaires imposés (donc indisponible de 8h à 18h) je résidais à 20 KM de mon boulot et 40 km des deux écuries où je montais, les deux écuries étant elle-même distantes de 40km. L'écurie où je montais en semaine étant à 20 km environ de mon travail.
Donc même si je ne bossais théoriquement pas autant que toi, mais avec les trajets, ça doit à peut près revenir au même en terme de "temps restant". J'y allais direct après le travail, 3 fois par semaine, j'avais 2 chevaux au travail et un en plus dont je m'occupais. J'arrivais vers 18h30 ou un peu plus à l'écurie (embouteillage ou départ plus tardif du travail), j'en repartait vers 21h30 ou 22h... j'arrivais chez moi vers 22h30/23h....
Le week end je montais le samedi matin (10h à 12h ou plus selon si je montais un ou deux chevaux, dont un en cours) dans cette même écurie, l'après midi dans la seconde (j'avais 1 à 2 chevaux, je travaillais soit en carrière soit j'allais balader, j'y allais dans la foulée de l'autre et jusqu'à 18h environ). Et je retournais dans la seconde le dimanche après midi pour l'après midi...

Voilà quelle était mon organisation

Ensuite, j'ai eu ma première jument et j'ai déménagé sans le village de la seconde écurie où je l'avais mise en pension. Travail a temps complet en ville à 30km de là mais tous les soirs j'allais la voir et le week end, je m'occupais d'elle samedi et dimanche, plus encore des chevaux de proprio que je continuais à monter et mon cours du samedi matin dans l'écurie 1.
J'ai refais un hiver avec les chevaux de proprio en semaine dans l'écurie 1 en plus puis j'ai arrêté.

Je ne suis pas du matin, donc sauf en cas de stage ou de randonnée où je bondissais sans problème aux aurores de mon lit avec enthousiasme le week end, je n'ai jamais envisager de monter avant le travail et entre midi et deux c'était inenvisageable à cause des temps de trajets. De toutes façon je n'aime pas avoir un horaire contraint lorsque je m'occupe des chevaux. je préfère finir tard mais avoir la liberté de mon temps car pour moi, avoir en tête une heure de départ c'est ce qui provoque souvent des tensions avec les chevaux et des pertes de patience, donc j'évite. S'il Pompon commence à ne pas vouloir être attrapé au pré ou a besoin de 45 min de pansage je veux pouvoir m'y consacrer correctement sans avoir un compte à rebours dans la tête.

Aujourd'hui je suis sur place, les chevaux vivent autour de chez moi, je les vois et ai des contacts tous les jours, après mon travail et le week end, je leur consacre mes rtt, mes congés, et pourtant je ne monte/travaille plus qu'avec ma jument que une à 3 heures par semaine et pas toutes les semaines.

solange27


Cette phrase + la grosse charge de travail me laissent penser qu'elle est véto mais je me trompe peut-être ^^'

Un cheval au travail, ça doit s'entretenir un minimum.

Perso, j'ai bien vu avec des objectifs concours, c'est une organisation de travail, donc non, pas juste une ou 2 monte/semaine vite fait et ça ira bien. Sinon pas cool pour Pompon qui est sollicité +++ soudainement. Plutôt, on bosse 3-4 fois (monté, en cours, à pieds) + une sortie extérieure et de façon assez régulière, ce qui fait qu'en concours le dimanche, c'est juste une monte à l'extérieur avec sa cavalière plus stressée que d'habitude.

Si c'est juste profiter du cheval, ça sera à toi de gérer le fait d'y aller assez régulièrement pour que le cheval soit en mesure de faire ce que tu lui demanderas.




C'est tout à fait envisageable, mais plutôt dans l'optique, pension pré de base déjà. Comme ça, le cheval est déjà intégré, et toi tu connais déjà la pension qui sait que ces mois-là, le cheval est à surveiller ++ par eux.
Pour la remise au travail, ça sera à toi de gérer pour bien la faire.

Attention à un truc :
Si tu es proprio, tu as des "devoirs" envers ton cheval.
Donc, s'il y a des soins à faire, il faut soit payer la prestation, si la pension est capable de prendre en charge, soit les faire toi-même, et bien sûr, Pompon ne va pas forcément se blesser/tomber malade quand ça t'arrange. Et bien sûr, être disponible pour les décisions avec le véto et c'est souvent sur place que par téléphone (ou tu peux louper des trucs). Ca serait plutôt le contraire...




Pour toi, un élément important sera le choix de la pension.
Que si tu es trop fatiguée, imprévu au boulot, ou autre... et bien, pas de mouron à te faire, le loustic est sorti que tu viennes ou pas. Donc pension pré, tu es tranquille de chez tranquille pour les sorties. Ou box/pré/paddock pour au moins les 5 jrs de la semaine ou plus, si tu as besoin de +.
Attention aux pensions qui te disent, sortir les chevaux tous les jours et tu te retrouves à devoir aller sortir ton cheval comme tu peux, car dans la vraie vie, dès qu'il pleut/neige/vente/gèle un peu fort, les chevaux font placard (si box/paddock par ex.)

Pour les sorties courtes, à toi gérer le travail, ça peut être longe ou détente rapide le matin, si tu n'as qu'une heure entre arrivée et départ à l'écurie. Et garder les séances plus poussées pour le week-end et/ou le soir de la semaine où tu peux t'y consacrer.

Bien sûr, tu as aussi l'option DP, sachant que c'est un +, et que tu dois pouvoir t'organiser sans, car les DP, ça va et ça vient.

Sinon, sache que pour les mois d'hiver, l'option midi est pas mal, tu auras juste à t'organiser un casse croût' de 10/11h ou 14h.
Pour ma part, j'ai un cours et une monte libre sur ma pause de midi. Un peu speed, mais ça se fait bien. Et j'ai beaucoup moins de mal à y aller qu'aller à mon cours de 19h.

Pour concilier vie pro intense et cheval, je pense que le choix de la pension est clé.
J'habite à 5min de l'écurie, et ça me fait gagner beaucoup de temps. Et j'ai 100% confiance en la gestion. En ce moment mon cheval prend une tonne de médicaments et je sais qu'ils sont religieusement donnés.

J'aime bien avoir une dp sur mon cheval, pour qu'il soit travaillé régulièrement. Ainsi si je monte 3x par semaine j'ai un cheval qui est travaillé 6j/7 et je peux en profiter à fond. Mais comme j'ai une bonne pension, au pire si je n'ai pas de DP il fait un peu de gras et j'ai des séances moins fun.

J'ai un cheval malade en ce moment que je dois sortir chaque jour, et finalement je trouve ça moins sympa que d'y aller juste 3x mais à fond.
Là j'ai du monter dans la grande piste seule 2 jrs de suite, me suis fait chier. Alors que quand j'espace mes séances j'y prend plus de plaisir.

Je quitte le travail à 18h, je vais à l'écurie vers 19h, je rentre pour 20h30.
1h30 ça me suffit. Le week end je reste plus longtemps.
Mais je ne vais pas à l'écurie en mode "vie sociale". J'y vais, je prépare, je sors mon cheval, basta.

Quand je suis en télétravail je vais monter sur mon heure de table, pareil je prends 1h30 et je mange devant mon pc ensuite.

Le matin je n'y arrive pas c'est pas pour moi.

Franchement, combiner travail et cheval n'était pas trop compliqué dans mon cas, combiner travail/cheval et bébé c'est plus challenging et je sors mon chronomètre.

Mais ça fait 10 ans que j'ai deux chevaux et je ne regrette pas, ils sont montés 3-4x par semaine chacun, je monte 3-4x par semaine et je peux me faire plaisir.

Ce que je me refuse aujourd'hui c'est le temps de trajet. J'habite à 20 min de mon boulot et on est au max du périmètre, et l'écurie doit être à distance faisable à pied.

chamaska 40/45 h de boulot / semaine, j'habite a 10 min de mon travail, 25 min des ecuries et l'ecurie est a 35min de mon travail.

Beaucoup de trajets, beaucoup de fatigue (le soir en semaine souvent ma jument ne fait rien, je suis trop fatiguee, et l'hiver le fait qu'il fasse nuit n'aide pas !)

J'ai fini par decider de ne plus bosser a temps plein, j'ai demande une apres midi par semaine. Je perds 10% de mon salaire mais tant pis, j'ai trop envie de profiter de ma jument avant qu'il ne soit trop tard (elle a 16 ans cette annee).

shiho j'ai deux heures, théoriques car ce n'est finalement jamais deux heures pleines, à midi et je ne bosse pas le samedi après-midi sauf astreinte =)
C'est aussi pour ça que l'option "midi" me tente un peu, c'est jouable, j'ai peu de trajet et je peux y aller directement du boulot, faut juste être de retour à l'heure.

Je n'arrive pas à répondre à tout le monde personnellement, mais merci à tous ceux qui interviennent !!

La pension éventuellement ambiance "vacances au pré" pendant les périodes plus dures, je ne l'entendais pas autrement que dans la pension habituelle, histoire en effet de ne pas dépayser le cheval. Et c'est possible à organiser, dans les faits. Le top ça resterait d'avoir aussi une demi-pension de confiance.
Quant aux objectifs dans le travail, ils dépendront sans doute du temps que je peux consacrer au dit travail. Je suis plutôt branchée dressage, mais progresser lentement ne me dérange pas. Je sais aussi déjà que je ne ferai pas de concours. Pas que ça ne m'intéresse pas, mais je n'ai pour le coup juste pas envie de consacrer mes week-ends libres à la compétition.

Je bosse entre 40 et 50h par semaine, avec des périodes de pointe à plus. Mon cheval est en pension à 5min de mon travail (c'est important pour la suite).

L'été j'y vais le soir et je rentre tard chez moi. On est en Savoie donc l'hiver il fait vraiment froid, du coup j'y vais entre midi et 2. En 2h de temps, c'est minuté, mais je passe 45min à cheval donc ça se fait pas mal. Et je mange de retour au bureau.

J'ai eu une période compliquée ou je faisais 8h-20h au bureau, l'hiver, et ou j'allais monter de 6 à 8. Bon je suis pas du matin et ponichon non plus donc ça s'est bien passé parce que c'était ponctuel (2 mois quand même la blague) mais sur le long terme je pourrais pas.

Je précise que j'ai un cheval assez expansif, qui a besoin de sortir très régulièrement, que par conséquent j'y vais quasi tous les jours. Si besoin il peut ponctuellement être monté par la pension mais ce n'est pas quelque chose que j'ai mis en place de façon systématique.

Et même si tu dis que ce n'est pas un souci, pour être en plein dedans en ce moment, le cheval en clinique à 1h de route, avec la clinique ouverte de 15 à 18, avec en plus de gros soucis de boulot... c'est difficile à gérer

Sujet qui me plait bien, j'ai la même réflexion en ce moment.
J'ai un cheval en DP, il est sympa, mais...ce n'est pas le coup de foudre et surtout les balades en solo restent assez difficiles pour lui (il reste toujours gérable, mais toujours stressé ). Et moi ma grosse passion à cheval c'est d'aller découvrir des chemins inconnus. Mon petit DP est très , très routinier.
Par contre il dresse bien (enfin travail sur le plat à mon niveau ) et j'aime bien aussi.
En dehors de ça je prends un cours par semaine en CE

Côté boulot je suis en moyenne à 45 h par semaine, avec des déplacements ponctuels (il faut jongler pour rattraper le cours du CE ensuite ), je commence très tôt le matin (7h) mais pour le moment j'ai mon vendredi après midi.

J'ai déjà été propriétaire, avec de gros horaires également. Je commençais à 6h, voire à 5h du matin et ne finissais pas avant 17h et c'était avant les 35h. Mon poney était en pension, la pension gérait tout, et il était au pré tout le temps. Sauf éventuellement le week-end l'hiver où il restait parfois à l'écurie s'il était mouillé en rentrant de la sortie du samedi. Franchement c'était là qu'il était le mieux, même si je ne montais pas en semaine ou très rarement, je pouvais faire de grandes balades le week-end sans soucis. Ensuite plusieurs déménagements, il a toujours été en box -paddock, mais seul, et clairement cela lui convenait moins. Et du coup je le trouvais moins facile.

Pour moi il a toujours été impératif que la pension gère le véto (vaccin...), le maréchal....Bon aujourd'hui si je passe proprio j'aurais envie d'être là, au moins pour rencontrer le pro qui vient. Mais si la pension fait un passage groupé, et que cela tombe quand je ne peux pas venir , et bien je ne viendrai pas.

Donc si, et je ne suis toujours pas décidée , je franchis le pas, le point déterminant sera la pension. Et là, d'envisageables pas trop loin de chez moi, il n'y a pas pléthore.
C'est tout de même une sacrée réflexion que de devenir proprio de cheval. Quand je pense que je me suis décidée en un rien de temps pour mon poney, et que je n'ai jamais, jamais, jamais regretté .

Coucou

j'étais dans la même reflexion , je fais beaucoup d'heure, je ne rentre pas de bonne heure , mais j'arrive quand même a passer aux écuries le soir , et si un jour je n'y arrive pas parce que j'ai pris des bouchons et qu'il est vraiment tard tant pis. Le plus délicat c'est l'hiver, maintenant que les paddock et les prés commencent a être accessibles c'est beaucoup plus facile.
On arrive plus facilement a partager les installations avec les autres proprios et cavaliers , on peut mettre les chevaux quelques heures avant de les rentrer , et si on a pas le temps de monter ou de longer ça ne pose pas trop de soucis.

Pour avoir bossé dans de nombreuses écuries, auprès de nombreux proprios, il y'a aussi des services par la pension qui existe pour se soulager.

Et malgré que le tableau sur la pension travail ait été peint en noir sur le post, c'est pas le cas partout, loin de là.

Perso, j'ai été confronté à une majorité de proprios qui ne pouvaient venir que 3-4 fois par semaine voir que le week-end.
Souvent des chevaux typés sport donc au travail voir sortant en concours sur des épreuves correctes

Donc, dans ma profession j'ai géré et je gère encore le travail des chevaux de proprios aussi bien pour les entretenir physiquement que les faire avancer dans le boulot.
Et les proprios sont plus tranquilles, ils savent que leurs chevaux travaillent tel jour, que si ils ont un imprévu, ils peuvent nous appeler et rajouter une séance montée ou une longe.

Bref, il y'a de plus en plus de pensions qui gèrent le suivi travail du cheval. Le cavalier avance le travail, entretien le cheval et encadre le propriétaire quand il est là. C'est un vrai partenariat qui trouve preneur et fonctionne bien. Alors ça a un coût, mais c'est un vrai confort pour tout le monde