opentao a écrit le 15/12/2009 à 15h54: |
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je ne sais plus trop je demanderai a hubert il doit se rappeler ou il l as lu (le coup du cheval non predateur et non proie)
quand au comportement de l etalon ou du dominant sur les autres chevaux et bien mes sources sont : une fenetre de chez moi qui donne dans le pré...entre autres
la methode equestre que nous utilisont (lyons) explique cela et je trouve ca assez réaliste par rapport a quand je les observe dans le pré en troupeau |
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opentao si il suffisait de regarder un cheval ou des chevaux dans son pré derrière la maison on serait tous de brillants éthologues.
ici on ne parle pas de méthode. on parle du cheval.
merci.
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- L'éthologie est l'étude du cheval "de l'extérieur"
- la neurophysiologie est l'étude du cheval "de l'intérieur" en fonction de ce qu'on voit à l'extérieur
la neurophysiologie c'est pas considérée par les comportementalistes
Si on considère les inter-actions du cheval avec l'homme on est dans le domaine de l'écologie comportementale.
Il y a divers courants de l'éthologie : objectiviste (Konrad Lorenz) et néo-objectiviste avec plus de recherches neurophysiologistes (utilisation de l'imagerie médicale par exemple).
JC Barrey est un néo-objectiviste.
Pour aller plus loin que les ressemblances anatomiques les scientifiques utilisent la biologie moléculaire.
Ainsi ils ont pu rapprocher la baleine du chameau.
C'est la cladistique.
Les scientifiques pour comprendre le cheval sont remontés jusqu'au Dévonien. Et les poissons cartilagineux.
Un mateux svp pour nous expliquer la notion de chaos déterministe (équation non dérivable).
L'évolution n'est pas adaptative, on a découvert les transformations épigénétiques depuis Darwin.
Pour étudier une espèce domestique, il faut étudier la forme sauvage de l'espèce, ou si elle n'existe plus, le "cousin" le plus proche.
Un éthogramme se constitue en une bonne dizaine d'année.